La politique comme beaucoup de gens connus nous trompe. Est – ce normal ? sont-ils tous connus pour toujours maintenir cette peur aux dépens des mouvements ?

Un mouvement c’est comme une position politique – elle ne dure qu’un temps ( et ) fait en sorte de toujours servir les mêmes personnes. Parfois ses mouvements divisent les religieux. C’est du satanisme ( et ) vous comprendrez pourquoi.

L’avocat ( ? ) des femen plaiden non coupable pour les actes commis dans les églises ↓

https://www.youtube.com/watch?v=LxBqRSks9g4

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1 – Caroline Fourest – Bibliographie

2 – Qui Finance le Femen

3 – Dieu donné – Caroline Fourest

 1 – Caroline Fourest – Bibliographie :

 Caroline Fourest est une essayiste et journaliste française, née le 19 septembre 1975 à Aix-en-Provence.

Militante féministe, elle est également engagée sur les thèmes de l’égalité, de la laïcité et des droits de l’homme.Rédactrice en chef de la revue ProChoix, elle donne des cours à l’Institut d’études politiques de Paris.

Caroline Fourest, découvre durant l’adolescence son homosexualité, ainsi qu’une conscience politique qui l’amène « à militer pour les droits des minorités ».

Après avoir étudié à Aix-en-Provence dans un collège privé catholique, elle s’installe à Paris à l’âge de 14 ans.

Elle est diplômée en histoire et en sociologie de l’EHESS. Elle est également titulaire d’un DESS de communication politique et sociale, obtenu à la Sorbonne. Elle y a étudié la communication de crise (réactions aux boycotts et aux rumeurs), à laquelle elle a consacré un livre : Face au boycott.

Années 1991-2000 :

Elle est présidente du Centre gay et lesbien de Paris de mai 1999 à mars 2000.

En 1997, elle fonde la revue ProChoix avec Fiammetta Venner (sa compagne, qui a cosigné avec elle de nombreux textes) et Moruni Turlot.

Éditée par une association du même nom, cette revue s’est donné pour objet de « défendre les libertés individuelles contre toute idéologie dogmatique, liberticide, essentialiste, raciste ou intégriste ». Ses thèmes de prédilection sont la protection de la laïcité, les droits des femmes et des homosexuels.

Le nom ProChoix provient de l’anglais prochoice utilisé par les mouvements en faveur du droit à l’interruption volontaire de grossesse. La revue ne se limite cependant pas à la question de l’avortement.

En 1998, elle coécrit, avec Fiammetta Venner, Le guide des sponsors du FN. Utilisant de nombreuses sources écrites (publications proches du Front national, documents officiels), le livre dresse la liste de nombreuses entreprises ayant financé ce parti. Il remet également en cause certaines enquêtes précédentes, par exemple concernant le boulanger Lionel Poilâne.

En 1999, elle publie, à nouveau avec Fiammetta Venner, Les Anti-PACS ou la dernière croisade homophobe, une enquête sur les mouvements anti-PaCS, leurs liens avec la droite catholique radicale, et Christine Boutin.

En annexe, le livre rend aussi publique la liste des maires ayant signé la pétition contre le PaCS.

En 2000, Caroline Fourest publie un livre aux éditions Golias, Foi contre choix : la droite religieuse et le mouvement pro-life, qui étudie la montée en puissance et l’inspiration « pro-vie » ou anti-avortement d’organisations chrétiennes et de leurs alliés du Parti républicain, actifs dans l’entourage de George W. Bush..?

Années 2001-2010 :

En 2003, elle coécrit Tirs croisés avec Fiammetta Venner sur la « laïcité à l’épreuve des intégrismes juif, chrétien et musulman ». Le livre ne porte pas sur la religion en tant que telle mais plutôt sur l’« intégrisme », que les auteurs définissent en introduction comme « l’emprise autoritaire, nécessairement politique, qu’exercent certains groupes sur la vie en société au nom de la religion ».

Le livre conclut que si l’intégrisme musulman est bien le plus virulent des trois intégrismes, « ce surcroît de nocivité n’a rien à voir avec la religion mais avec l’instrumentalisation de la religion ».

En l’occurrence, selon les auteurs, le phénomène serait dû au fait qu’un nombre élevé de pays à majorité musulmane ne sont pas réellement sécularisés. Pour les deux auteurs, si l’intégrisme musulman est aujourd’hui plus dangereux, la raison n’est pas dans le Coran, mais dans l`absence de laïcité et le manque de démocratie existant dans certains pays arabes et/ou à majorité musulmane.?

9_fourest - livre Tir croisé - juif - musulmans

Après avoir dénoncé presque exclusivement l’extrême droite et l’intégrisme chrétien pendant plus de dix ans, Caroline Fourest dénonce en 2006 dans ses livres – Frère Tariq et La tentation obscurantiste – ce qu’elle désigne comme les rapprochements entre une partie de la gauche et les mouvements islamistes.

Dans Frère Tariq, Caroline Fourest propose une interprétation du discours de Tariq Ramadan, à partir de lectures et d’écoutes de ses livres et cassettes. Selon elle, Tariq Ramadan tient une sorte de « double discours », relativement libéral lorsqu’il s’exprime dans les médias et fondamentaliste et réactionnaire quand il s’exprime devant ses partisans musulmans. Tariq Ramadan affirme qu’elle multiplie les approximations, les erreurs historiques et les mensonges, tandis que d’autres vantent sa rigueur, lui attribuant d’avoir été la première à analyser toutes ses déclarations. L’ouvrage est salué par Bernard-Henri Lévy.

Catherine Coroller du quotidien Libération est moins laudative comparant l’essai aux « charges qui, par leur violence et leur parti pris, affaiblissent le propos de leurs auteurs ». Pour le journaliste Michel Collon, beaucoup plus sévère, le livre est « un résumé d’amateurisme journalistique et de mensonges ordinaires ».

En 2005, elle obtient avec Fiammetta Venner le Prix national de la laïcité, remis par le Comité Laïcité République, une association dont le président Patrick Kessel est l’ancien Grand-Maître du Grand Orient de France, les récompensant « pour leurs actions contre tous les fondamentalismes religieux et leurs avatars liberticides, ainsi que pour leur engagement face à l’extrême-droite ».

La Tentation obscurantiste a obtenu le Prix du livre politique 2006 de l’Assemblée nationale  au premier tour de scrutin, par 80 % des membres du jury composé de journalistes. Le livre pose cette question :

« la complaisance voire la fascination pour l’islamisme — une idéologie réactionnaire, intégriste et totalitaire — a-t-elle sa place à gauche ? ».

Les deux précédents livres de Caroline Fourest, Tirs croisés (coécrit avec Fiammetta Venner) et Frère Tariq étaient finalistes les années précédentes.

Elle continue son travail sur l’intégrisme chrétien, notamment dans Charlie Hebdo.

En 2007, Caroline Fourest a publié un livre intitulé Le Choc des préjugés, prenant le contre-pied de la thèse du choc des civilisations, décortiquant les amalgames et réfutant un à un les préjugés aussi bien sécuritaires que victimaires. Le livre, très sévère à l’égard du bilan de Nicolas Sarkozy, propose aux responsables politiques de remettre la question sociale au cœur des politiques pour sauver le vivre-ensemble.

En septembre 2009, Caroline Fourest et Fiammetta Venner quittent la rédaction de Charlie Hebdo ; « l’audace se cherche ailleurs », expliquent-elles alors.

Elle est chroniqueuse dans l’édition du samedi du journal Le Monde de 2007 à juillet 2012  et pour les radios France Culture et France Inter. Elle anime ensuite, en 2012-2013, la chronique de France Inter Ils changent le monde. Elle participe également, en tant que chroniqueuse, à l’émission de télévision Semaine critique ! (France 2) de septembre 2010 à juin 2011.

Caroline Fourest cosigne avec Antoine Sfeir plusieurs textes dénonçant le « péril islamiste » et elle accuse Reporters sans frontières de soutenir des journalistes tunisiens « de tendance islamiste », « au nom d’une liberté de la presse qui ne devrait connaître aucune frontière, pas même celle de l’incitation à la haine ».

En 2011,

Elle participe à la création en mars 2012 du Collectif Roosevelt 2012 avec l’aide de Stéphane Hessel, Edgar Morin et de nombreux intellectuels et personnalités publiques de la société civile et politique. Ce collectif présente 15 propositions pour éviter un effondrement économique, élaborer une nouvelle société et lutter contre le chômage endémique et créer une Europe démocratique.

10_Fouret et le collectif roosevelt 2011 - Logo_125

Le Collectif Roosevelt est un mouvement citoyen français né en 2012, structuré autour d’une association loi de 1901 et de groupes locaux.

Pour reprendre une expression de Stéphane Hessel et Edgar Morin3 (qui font partie des fondateurs du mouvement), le Collectif Roosevelt vise « une politique du vouloir-vivre et re-vivre, qui nous arrache à une apathie et à une résignation mortelles« .

Le Collectif Roosevelt s’inspire de la démarche volontariste et interventionniste de l’ancien président américain Franklin Delano Roosevelt pour sortir de la crise de 1929, le « New Deal » (ou Nouvelle donne en français). Il agit selon deux modalités principales : d’une part, en promouvant quinze propositions de réformes économiques et sociales auprès des parlementaires, des partenaires sociaux et des gouvernements, d’autre part en animant des groupes locaux qui organisent formations, débats et conférences, dans l’esprit de l’Education populaire.

Fin 2012,

Elle prépare pour France 2 un documentaire sur les militantes féministes ukrainiennes FEMEN. Filmant une action militante non autorisée contre une manifestation autorisée de l’Institut Civitas opposée au projet de légalisation du mariage et de l’adoption pour des couples de même sexe, elle a été prise à partie et insultée par des participants au défilé, et affirme avoir été tabassée.

À la suite de la plainte qu’elle a déposée, quatre individus ont été placés en garde à vue.

L’Alliance générale contre le racisme et pour le respect de l’identité française et chrétienne (AGRIF), proche de l’extrême-droite, porte également plainte contre les FEMEN pour « violences aggravées, en réunion, en préméditation, sur mineur de moins de 15 ans, avec armes, et en raison de l’appartenance des manifestants à la religion catholique et injures en raison de l’appartenance des manifestants à la religion catholique », et contre Caroline Fourest pour « complicité de violences aggravées ».

Dans son livre consacré à Tariq Ramadan, elle affirme que « [le] message [de ce dernier] vise moins à faire connaître l’islam qu’à rendre plus acceptable l’islamisme ». Elle lui reproche de chercher « des journalistes suffisamment naïfs ou complices pour devenir les relais de [sa] propagande ». Caroline Fourest affirme également qu’il aurait fait interdire la pièce Mahomet de Voltaire, en 1993. Tariq Ramadan a répondu à cette accusation, la qualifiant de « mensonge éhonté ».

Toujours dans son livre sur Tariq Ramadan, Caroline Fourest affirme que Saïd Ramadan, le père de Tariq Ramadan et l’un des dirigeants des Frères musulmans, qui s’était réfugié en Arabie saoudite, auraient, en 1962, supervisé la création de la Ligue islamique mondiale, et que celle-ci a été encouragée pour que les États-Unis comptent sur l’Arabie saoudite « pour combattre le Pacte de Bagdad conclu entre Nasser et les Soviétiques » (p. 73), ce qui selon Alain Gérard constitue une erreur historique.

À la suite de la publication du livre Le guide des sponsors du FN en 1998, Caroline Fourest et Fiammetta Venner sont condamnées pour faute civile au titre de l’article 1382 du code civil.

11_Fouret - livre livre [consacré à Tariq Ramadan

Le 9 octobre 2012, à la suite de la publication de l’ouvrage Marine Le Pen, celle-ci fait condamner Caroline Fourest par le tribunal correctionnel de Paris pour diffamation. L’éditeur ainsi que Fiammetta Venner (coauteur du livre) sont eux aussi condamnés. Ils ont décidé de ne pas faire appel de cette condamnation, car sur 14 points poursuivis, ils ont perdu sur 4 passages, qu’ils jugent mineurs et ne remettent pas en question les points importants du livre.

En outre, selon eux, en appel, aucun témoin ne peut être entendu. Certains de ces témoins, cités dans le livre, étaient poursuivis comme eux. En faisant appel, toute la procédure aurait été réenclenchée et cela leur aurait fait courir le risque de ne plus être relaxés, sans pouvoir cette fois se défendre à la barre.

Elle commentera et détaillera ce jugement dans son blog, le 19 octobre 2012, sur les raisons qui les ont poussés à ne pas faire appel.

Le livre continuera néanmoins à être publié, sans les passages considérés comme diffamatoires lors du procès. Par la suite, un livre de poche, intitulé Marine Le Pen démasquée, revu et augmenté, sera publié.

Prix :

  • Prix du scénario du festival Cineffable pour Safia et Sarah.
  • Prix national de la laïcité 2005 pour Tirs croisés. La laïcité à l’épreuve des intégrismes juif, chrétien et musulman.
  • Prix du livre politique 2006 pour La Tentation obscurantiste.
  • Prix Jean-Zay – Laïcité et République 2006 pour La Tentation obscurantiste.
  • Prix Condorcet-Aron pour la Démocratie 2008, Bruxelles.
  • Prix Adrien-Duvand de l’Académie des sciences morales et politique (2010) du « meilleur ouvrage sur l’éducation civique et morale dans une démocratie » pour La Dernière Utopie.
  • Prix Fetkann (2010)

2 – Qui Finance les Femen ?

Femen est un groupe féministe d’origine ukrainienne, fondé à Kiev en 2008 par Anna Hutsol, son actuelle présidente, Oksana Chatchko et Alexandra Chevchtchenko.

Le groupe devient internationalement connu en organisant des actions, essentiellement seins nus, dans le but de défendre les droits des femmes, ce qui le conduit aussi à s’impliquer sur plusieurs autres sujets, notamment pour la démocratie et contre la corruption, la prostitution ou encore l’influence des religions dans la société, au départ uniquement dans l’Ukraine post-soviétique.

Les militantes de Femen sont ainsi adeptes volontaires d’un féminisme radical qu’elles appellent « sextrémisme ». Le mouvement Femen s’affirme athée, antireligieux, et reproche à la laïcité d’être « une façon d’accepter l’inacceptable ».

Le mouvement Femen est tantôt associé à la troisième vague féministe, tantôt considéré comme un élément de ce qui pourrait être une « quatrième vague féministe », à l’instar du mouvement SlutWalk (« marche des salopes ») qui a débuté au Canada en 2010, ou encore inscrit dans une lignée post-féministe représentative de l’asservissement et de la propriété publique du corps des femmes, et ce, jusque dans leurs luttes.

Les Femen sont également l’objet de nombreuses critiques, tant pour leurs méthodes que pour leurs messages et leurs sources de financement, émises par des personnes ou groupes aux prises de position socio-politiques très diverses.

Membres et financement :

Fin 2010, Femen compte environ 300 membres.

Le financement de Femen est, selon elles, assuré par les activistes, par la vente de produits à l’effigie de Femen, ou par dons privés. Femen bénéficie aussi de donations de personnes privées comme l’Allemand Helmut Geier (également connu comme DJ sous le pseudonyme DJ Hell), la femme d’affaires allemande Beate Schober(résidant en Ukraine et possédant une entreprise de relocalisation professionnelle), et l’homme d’affaires américain Jed Sunden (fondateur du groupe de presse ukrainien KP Media (en) comprenant le journal Kyiv Post).

En septembre 2012, une journaliste d’une télévision ukrainienne, qui a infiltré le mouvement pendant plusieurs semaines, sous-entend que le groupe serait financé par des représentants des milieux d’affaires européens et américains, tout en reconnaissant n’avoir pas trouvé de preuve suffisante permettant d’étayer ses suppositions.

La journaliste dit avoir découvert que les militantes ukrainiennes seraient payées 1 000 dollars (environ 765 euros) par mois (soit trois fois le salaire moyen ukrainien) et qu’un voyage et les frais d’une opération menée à Paris en 2012 ont été entièrement payés par l’organisation et se chiffreraient à 1 300 dollars (environ 1 000 euros) par jour et par personne.

En décembre 2013, la députée UMP Valérie Boyer pose une question au gouvernement sur le financement des Femen, en s’interrogeant également sur leurs « motivations profondes » ; elle mentionne en particulier des possibles « subventions et aides en nature, comme le prêt de locaux, accordées par des collectivités locales telles que la Mairie de Paris ».

Objectifs et combats :

Le combat central de Femen est la promotion des droits des femmes, mais le groupe lutte aussi pour d’autres causes, plus ou moins liées au féminisme :

En faveur de la démocratie et des droits humains (notamment, pour la liberté de la presse et contre la corruption, la pauvreté, la violence conjugale ou encore des formes de discriminations telles que le sexisme, le racisme ou l’homophobie) et contre l’industrie du sexe (prostitution, tourisme sexuel, agences matrimoniales internationales, pornographie) et l’influence des religions dans la société.

Ses militantes attaquent ce qu’elles considèrent comme « les valeurs patriarcales qui imprègnent la plupart des sociétés industrialisées ». Ce combat passe notamment par une lutte contre l’influence des religions.

3 – Dieu donné – Caroline Fourest :

Dieu donné ne semble pas gêner au sujet de Fourest et ses revendications – En France Ont peut cracher sur les musulmans et les juif au Nom de la liberté d’expressions ??

Bizarre ou coïncidences , dieu donné attend la lumière.

Dieudonné et sa bande… de qui s’agit-il ?C

Quand les hommes cesseront de se mentir , ils cesseront de mentir aux autres. Ce sera le commencement de la véritable humanité.C’est ce que nous défendons.

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Paix et sincérité à tous !

Eveil-delaconscience

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