Comme la plupart du temps vos politiciens vous mentent, imaginez bien qu’il en est de même pour les entreprises qui feront la guerre contre quelque chose qui n’a jamais existé. HAARP est un néologisme – Voir SURA en Russie et les articles en vigueurs : Dans plusieurs brevets et livres au sujet de Haarp et du changement climatique, comme le livre de Louis cousteau «Les anges ne jouent pas de cette HAARP» l’atteste, on y découvre que Nikola tesla étudiait déjà les ondes radios et leurs transmissions en 1920.

Le Rapport du 11 août 1987 de BERNARD EASTLUND  »HAARP » PATENT 4686,605 ( USA ) atteste aussi que l’on peut modifier le climat à l’aide de transmission électromagnétique. On pouvait alors décuplé des ondes gravitationnelles aéroportés avec des accélérateurs de particules ou bien une machine comme HAARP..

Pour ce faire : ils passent avant tout par le mensonge, le prétexte d’agir sur une chose, lorsqu’en réalité il n’y a aucunement lieu. Vous pouvez prendre cela comme une main mise, un pouvoir.

Dans cet article, je vous met à disposition de nombreux liens qui feront automatiquement la liaison des propos émis dans le cours de mes publications : ne croyez point qu’une entreprise va dépenser plus de 1millions d’euros pour étudier les aurores boréales, ceci relèverait de l’hypocrisie.

Sur terre, Il n’existe pas une station, mais de nombreux appareils qui ont la capacité d’étudié les propriétés ionosphérique ( IRI ), tout en injectant des ondes qui auront pour fonction d’être cohérentes entre elles.

Réf : Ensemencement / Bio aérosols / US PATENT N° 504834 / Louis Cousteau HAARP / HIPAS / LOFAR / POKERFLAT.

Pour faire la collaboration des spécificités incluses a ce procédé, nous vous invitons avant tout à comprendre l’effet que peut avoir une onde sur le climat, l’être vivant : Avoir les brevets en vigueur dont les anges ne jouent pas de cette HAARP ( Livre de Louis Cousteau de 400pages en PDF ci-dessous ), ne nous stipule pas forcément comment ils procèdent pour arriver à cet finalité.  » Des scientifiques comme Delgado ou encore le Dr Robert Becker ont réussi à démontrer que des ondes de types ELF identiques à celles utilisées par HAARP, couplées avec l’emploi de courant alternatif, génèrent des fréquences « où la plupart des fonctions cérébrales profondes de l’être humain peuvent être manipulées de l’extérieur avec des résultats très tangibles ».

Livres : Les anges ne jouent pas de cette HAARP – PDF ( 400 pages ) : HAARP -LESANGESNEJOUENTPASDECETTE-HAARP.SSSS

Documentaires :

https://www.youtube.com/watch?v=dY-XMyJHq54

Le Projet HAARP

Pure recherche scientifique affirment les militaires; étape supplémentaire et risquée dans les tentatives militaires de manipuler l’environnement à des fins hostiles, rétorquent quelques scientifiques et des organisations écologistes ou pacifistes.
A première lecture, rien ne distingue pourtant HAARP des installations de recherches ionosphériques déjà en fonctionnement. Sauf le gigantisme des puissances évoquées, et le contrôle exclusivement militaire du projet. D’où les inquiétudes et la perplexité qu’il suscite, amplifiées encore par la langue de bois, ou les silences, des autorités militaires. HAARP n’est-il que la partie émergée de nouveaux projets militaires, préludes à une nouvelle course aux armements? HAARP risque-t-il de provoquer des dommages irréversibles ou majeurs à l’environnement? Ou bien n’y a-t-il vraiment aucune raison de s’inquiéter?

Les modifications de la biosphère à des fins militaires, ou à d’autres fins hostiles, sont interdites par une Convention de 1977, dite la Convention ENMOD. Pourtant, le concept de Environmental Warfare fait bien partie du langage et des manuels militaires. Depuis le début des années 90 cependant, alors que se développe aux Etats-Unis une Revolution in Military Affairs (RMA) sensée adapter les forces armées à leurs missions du 21ème siècle, les références aux techniques de modifications environnementales se multiplient.

Ces nouvelles missions, ou Future Warfare  ( 2025 ), reposent sur une domination dans l’air et dans l’espace, et nécessitent une maîtrise optimale de l’information, de l’environnement et des moyens de communication, ainsi que de nouvelles classes d’armes à énergie dirigée. Vue sous cet angle, une intensification des recherches militaires sur les propriétés ionosphériques et les ondes électromagnétiques n’a rien de surprenant.( ? )

Les installations du HAARP

utilisent notamment la technologie IRI (ionospheric research instrument) et des techniques radioélectriques afin de comprendre les mécanismes complexes qui gouvernent l’ionosphère, région de la haute atmosphère. Un des objectifs, par excitation via des ondeshaute fréquence (HF), est d’étudier l’impact de l’ionosphère sur les communications longues distances.

L’installation utilise un réseau d’antennes phasées comportant 180 antennes dipôle. La puissance rayonnée est de 3,6 MW PEP pour une puissance PAR (puissance irradiée) maximale allant de 420 à 3 800 MW, selon la fréquence (respectivement de 2,75 à 9,5 MHz). La gamme de fréquence HF utilisable sur cette installation s’étendant en effet de 2,75 à 10 MHz. Occasionnellement les radioamateurs sont amenés à participer à ce projet en communiquant des rapports d’écoute lors de tests effectués sur 3,3, 3,39 et 6,99 MHz.

Le physicien américain Bernard Eastlund est considéré comme l’un des inventeurs de la HAARP. Voir ce lien –

« Successeur terrestre du projet Star Wars (Guerre des étoiles) ,

le HAARP serait, par ses extraordinaires puissances et polyvalence, « l’arme ultime » des États-Unis.

– scanner les entrailles de la Terre à la recherche de bases secrètes,
– d’interrompre toute forme de communication hertzienne
– d’influencer les comportements humains,
– de modifier la météorologie
– de griller les avions dans le ciel comme le ferait un vulgaire four à micro-ondes .
– de provoquer des tremblements de terre
– de provoquer des explosions aussi puissantes qu’une bombe nucléaire.

_ Lire la suite _ _ PDF ( 64 pages ) → 1_USA & Haarp_et_co

Date de publication : 20 août 1991

Inventeurs : Peter Koert

https://www.youtube.com/watch?v=4gjz1uqX9Ac

Autre application de la technologie HAARP :

Transmettre sans l’apport d’un câble électrique de fortes quantités d’énergie d’un point à l’autre. Utile, par exemple, pour ravitailler à distance les batteries électriques d’un sous-marin.

Mais il reste un domaine d’application, encore plus effrayant dont les militaires américains pourraient tirer parti grâce au programme HAARP. Vu le passif de l’Air Force et surtout de la CIA en matière d’expérimentations chimiques et bactériologiques. Il est concevable que les militaires n’aient pu résister à la tentation de faire de HAARP une arme polyvalente. On se souviendra en effet des terribles expériences secrètes réalisées sur de pauvres soldats conscrits qui consistaient à leur injecter d’énormes quantités de drogues pour modifier leur comportement. Ou encore les expériences pour influencer les activités cérébrales avec des ondes : dès 1952, le Dr Jose Delgado, professeur à Yale, avait découvert que l’on pouvait affecter le comportement émotionnel et la façon de penser d’un individu par l’utilisation de certaines fréquences et certaines ondes.

La NSA Signals Intelligence a la capacité exclusive de surveiller les informations à distance et de manière non invasive du cerveau humain par numériquement décodage des potentiels évoqués dans le 30-50 Hz,

5 milliwatts émissions électromagnétiques du cerveau. L’activité neuronale dans le cerveau crée un modèle électrique déplaçant qui a un flux magnétique changeant. Ce flux magnétique met un 30-50 Hz constant, 5 milliwatts électromagnétique (CEM) vague. Contenu dans l’émission électromagnétique du cerveau des pointes et des modèles dits «potentiels évoqués». Chaque pensée, réaction, commande moteur, événement auditif et l’image visuelle dans le cerveau correspond un « potentiel évoqué » ou un ensemble de «potentiels évoqués». L’émission de champs électromagnétiques du cerveau peut être décodé dans les pensées actuelles, des images et des sons dans le cerveau du sujet.

NSA SIGINT utilise EMF-transmis stimulation cérébrale comme un système de communication pour transmettre des informations (ainsi que les messages du système nerveux) aux agents de renseignement et aussi de transmettre aux cerveaux des sujets d’opérations secrètes (à un niveau non perceptible).

EMF Brain Stimulation fonctionne en envoyant un signal électromagnétique codé de façon complexe et pulsée pour déclencher des potentiels évoqués (événements) dans le cerveau, formant ainsi des images sonores et visuelles dans les circuits neuronaux du cerveau. EMF stimulation cérébrale peut aussi changer cerveau-Unis d’une personne et affecter le contrôle du moteur.

Cambio_climatico_(french)

Deux voies cerveau électronique Link est fait par le suivi à distance des informations audio-visuel neural lors de la transmission du son au cortex auditif (en contournant les oreilles) et de transmettre des images claires au cortex visuel (sans passer par les nerfs optiques et des yeux). Les images apparaissent sous forme de flotter écrans 2D dans le cerveau.

Deux voies cerveau électronique référence est devenu le système de communication ultime pour le personnel de la CIA / NSA. Surveillance neurale à distance (RNM, la surveillance à distance des informations bioélectrique du cerveau humain) est devenu le système de surveillance ultime. Il est utilisé par un nombre limité d’agents de la US Intelligence Community

Le DrNickBegich, coauteur de l’ouvrage Angels dont’ playthisHaarp, maintenant traduit en français titré

 » Les anges ne jouent pas de cette HAARP » chez Louise Courteau Éditrice, n’hésite pas à affirmer qu’un des buts du programme HAARP est de mettre sur pied une telle arme « il est douteux que les organisateurs du programme HAARP n’aient jamais discuté de ce type de recherches. Selon mes sources, tous ceux qui sont impliqués dans le programme visent le développement de ce genre d’application ».

Des scientifiques comme Delgado ou encore le Dr Robert Becker ont réussi à démontrer que des ondes de types ELF identiques à celles utilisées par HAARP, couplées avec l’emploi de courant alternatif, génèrent des fréquences « où la plupart des fonctions cérébrales profondes de l’être humain peuvent être manipulées de l’extérieur avec des résultats très tangibles ».

Certaines ondes peuvent en effet provoquer l’apparition dans
le cerveau de substances neurochimiques qui génèrent, nous explique le Dr Begich, « un vaste arsenal de réponses et de comportements émotionnels ou intellectuels tels que des sentiments de peur, de dépression, de désir, d’amour, etc. ».

Ce type de technologie ne rebute absolument pas les stratèges du Pentagone, loin s’en faut. Pour preuve,
on peut lire dans une revue à circulation interne (The revolution in military affairs – Stategic Studies Institute- US Army War College)

qui n’est pas censée tomber entre des mains civiles la conception suivante :

Nos valeurs changent et la technologie s’ouvre sur de nouveaux horizons. Il y a peu, pendant la guerre froide, les opérations psychologiques et l’armement psychologique étaient encore primitifs.

Alors que nous entrons de plain-pied dans l’ère de l’électronique et de la bioélectronique, il devient nécessaire de réévaluer les barrières morales et éthiques que nous avons posées en interdisant (toute technologie) pouvant manipuler l’esprit de nos ennemis, tant à l’intérieur du pays qu’à un niveau international…

Dès que cela sera possible, nous encouragerons des entreprises privées ou semi-privées à développer une technologie appropriée… Nous pouvons agir de même avec les nouveaux types d’armements comme les armes biologiques incapacitantes et les armes psycho-technologiques avancées…».

Bouclier global

L’utilisation des ondes et de leurs propriétés électromagnétiques est une arme terriblement efficace. Le Dr Rosalye Bertell affirme que les USA expérimentent à l’insu de tous et surtout au mépris des conventions internationales, ce genre d’armement depuis plus de quarante ans.

Se sont succédé ainsi une série de projets : « Argus » (1958), « tarfish » (1962), « Solar Power Satellite » (1968 et 1978), « Space Shuttle Experiments »

(1985), « Mighty Oaks » (1986) ou « Desert Storm » (1991), qui avaient tous pour but de jouer avec l’ionosphère ou avec certaines ondes pour différentes raisons : rupture des communications de l’ennemi, armes à plasma, etc.HAARP est donc le dernier chapitre en date de ces projets.Les USA auraient même l’intention de développer un véritable réseau de stations similaires à travers le globe afin de créer de la sorte un bouclier modulable total.

Ainsi, il existe d’autres complexes de recherches sur l’ionosphère comme à Puerto Rico, en Norvège à Tromsoe, au Pérou à Jicamarca, en Russie (près de Moscou) ou encore à Nizhny Novgorod, en Ukraine ou dans le Tadjikistan ..

« HAARP est une arme de destruction massive, capable de déstabiliser des systèmes agricoles et
écologiques au niveau mondial ». « La guerre climatique est susceptible de menacer l’avenir de l’humanité, mais elle a été exclue des rapports du GIEC, qui a reçu le Prix Nobel de la Paix en 2007 ».Rarement reconnu dans le débat sur le changement climatique mondial, les conditions
météorologiques dans le monde peuvent maintenant être modifiées dans le cadre d’une nouvelle génération d’armes électromagnétiques sophistiquées.

Les États-Unis et la Russie ont développé la capacité de manipuler le climat à des fins militaires. Des techniques de modification de l’environnement ont été appliquées par l’armée US pendant plus d’un demi-siècle.

Le mathématicien étasunien John von Neumann, en lien avec le Département de la Défense des États-Unis, a débuté ses recherches sur la modification des conditions météorologiques à la fin des années 1940, au plus fort de la Guerre Froide, et il prévoyait des « formes de guerre climatique encore inimaginables ».

Pendant la guerre du Vietnam, les techniques
d’ensemencement des nuages ont été utilisées à partir de 1967 dans le cadre du projet Popeye, dont l’objectif était de prolonger la saison des moussons et de bloquer les voies
d’approvisionnement ennemies le long de la route de Ho-Chi-Minh-Ville [NDT : À l’époque de la guerre du Vietnam, Ho-Chi-Minh-Ville était connue sous le nom de Saïgon].

L’armée US a développé des fonctionnalités sophistiquées qui permettent de modifier les conditions climatiques de manière sélective. La technologie, qui est actuellement perfectionné dans le cadre du programme HAARP, High-frequency Active Auroral Research Program [En français :

Recherches dans le domaine des hautes fréquences appliquées aux aurores boréales], est un appendice de l’Initiative de Défense Stratégique, « la Guerre des Étoiles. » D’un point de vue militaire, HAARP est une arme de destruction massive, qui opère à partir de l’atmosphère externe, capable de déstabiliser des systèmes agricoles et écologiques partout dans le monde.

La modification des conditions météorologiques, selon le document de l’US Air Force intitulé AF

2025 Final Report, « offre aux combattants de guerre un large éventail d’options possibles pour faire échec ou pour contraindre un adversaire »,

des capacités, dit-on, de déclencher des inondations, des ouragans, des sécheresses et des tremblements de terre : « La modification des conditions météorologiques va devenir un élément de la sécurité intérieure et de la sécurité internationale et elle pourrait se faire de manière unilatérale… Elle pourrait avoir des applications offensives et défensives et pourrait même être utilisé comme moyen de dissuasion.

La capacité de générer des précipitations, du brouillard et des tempêtes sur Terre ou de modifier la météo spatiale,… de même que la création de conditions météorologiques artificielles sont une partie d’un ensemble intégré de technologies [militaires] ».

En 1977, une Convention Internationale a été ratifiée par l’Assemblée générale des Nations
Unies qui interdit, « un usage militaire et toute autre forme d’utilisation hostile des techniques de modification environnementale ayant des effets étendus, durables ou graves.

Elle a défini les techniques de modification environnementale, comme « toute technique
pour changer, grâce à une manipulation délibérée des processus naturels, la dynamique, la composition ou la structure de la Terre, y compris ses biotopes, sa lithosphère, son
hydrosphère et son atmosphère, ou de l’espace intersidéral »

Bien que le fond de la Convention de 1977 a été réaffirmé dans la Convention cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC) signée au Sommet de la Terre à Rio en 1992, le débat sur la modification météorologique à des fins militaires est devenue un tabou scientifique. Les analystes militaires sont muets sur le sujet. Les météorologistes n’enquêtent pas sur cette question et les écologistes se concentrent sur les émissions de gaz à effet de serre, en vertu du Protocole de Kyoto.

Il n’est pas non plus question de la possibilité que les manipulations climatiques ou
environnementales fassent parties d’un agenda militaire ou des service de renseignement, alors qu’il est tacitement reconnu qu’elles font partie du débat plus large sur les changements climatiques sous l’égide de l’ONU.

HAARP :

Créé en 1992, HAARP, basé à Gokona en Alaska, est un réseau d’antennes de forte puissance qui transmettent par ondes radios haute fréquence, d’énormes quantités d’énergie dans l’ionosphère (la couche supérieure de l’atmosphère). Leur construction a été financée par l’US Air Force, l’US Navy et l’Agence pour les projets de recherche avancée de défense [Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA)]. Exploité conjointement par le Laboratoire de recherche de l’Air Force et le Bureau de la recherche navale,

HAARP constitue un système de puissantes antennes capable de créer « des modifications locales contrôlées de l’ionosphère ». Selon son site Internet officiel, www.haarp.alaska.edu, HAARP sera utilisé

« pour induire un petit changement localisé dans la température de l’ionosphère, afin que les réactions physiques puissent être étudiées par d’autres instruments située sur le site ou à proximité du site de HAARP »,

Mais Rosalie Bertell, la présidente de l’Institut international des affaires de santé publique
[International Institute of Concern for Public Health], a déclaré que HAARP fonctionne comme « un gigantesque appareil qui peut causer d’importantes perturbations dans l’ionosphère, ce qui crée non seulement des trous, mais de longues incisions dans la couche protectrice qui empêche les radiations mortelles [en provenance de l’espace sidéral] de bombarder la planète.

» Le physicien Dr Bernard Eastlund l’a appelé « le plus grand appareil de chauffage de l’ionosphère jamais construit ». HAARP est présenté par l’US Air Force en tant que programme de recherche, mais les documents militaires confirment que son objectif principal est « d’induire des modifications ionosphériques », en vue de modifier les conditions météorologiques et de perturber les communications et les radars.

Selon un rapport de la Douma d’État russe : « Les plans étasuniens visent à réaliser des
expériences à grande échelle sous le Programme HAARP et à créer des armes capables de rompre les lignes de communication radio et les équipements installés sur les engins spatiaux et les fusées, pour provoquer de graves accidents dans les réseaux d’électricité et dans les oléoducs et les gazoducs. Ils ont aussi un impact négatif sur la santé mentale de régions entières »

Une analyse des déclarations émanant de l’US Air Force nous fait penser à l’impensable : les manipulations clandestines de phénomènes météorologiques, des communications et des réseaux d’électricité comme arme de guerre mondiale, permet aux États-Unis de perturber et de dominer des régions entières. La manipulation météorologique est l’arme préventive par excellence

». Elle peut être dirigée contre des pays ennemis ou des « pays amis » à leur insu, et être utilisée pour déstabiliser les économies, les écosystèmes et l’agriculture. Elle peut également déclencher des ravages sur les marchés financiers et les marchés de produits. La perturbation dans l’agriculture crée une plus grande dépendance de l’aide alimentaire et des grains de céréales de base importés des États-Unis et d’autres pays occidentaux.

HAARP a été élaboré dans le cadre d’un partenariat anglo-étatsunien entre Raytheon Corporation qui possède les brevets de HAARP, l’US Air Force et la compagnie British Aerospace Systems (BAES).
Le programme HAARP est l’un des nombreux programmes de collaboration dans le domaine des systèmes d’armement entre les deux géants de la défense.

Le programme,

HAARP a été lancé en 1992 par Advanced Power Technologies Inc (APTI), une filiale de la société Atlantic Richfield (ARCO). APTI et ses brevets HAARP ont été vendus en 1994 par ARCO à E-Systems Inc. ESystems Inc, engagé par contrat pour la CIA et le Département de la défense des États-Unis, est équipé du « Doomsday Plan [NDT : le plan de l’Apocalypse] », qui autorise le Président à gérer une guerre nucléaire.

Le tout a été par la suite acquis par Raytheon Corporation, une compagnie qui compte parmi les plus importants fournisseurs de renseignement dans le monde.

La compagnie British Aerospace Systems (BAES) a été impliquée dans le développement plus sophistiqué du réseau d’antennes HAARP, dans le cadre d’un contrat signé en 2004 avec l’Office de la Recherche Navale [Office of Naval Research].
L’installation de 132 émetteurs de fréquence élevée a été confiée par BAES à sa filiale
étasunienne, BAE Systems Inc. Selon un reportage publié en juillet par Defense News, le
programme a été entrepris par la division de Guerre Électronique de BAES.

En septembre, elle a reçu de l’Agence pour les projets de recherche avancée de défense (DARPA) la principale récompense pour la réalisation technique de la conception, la construction et l’activation du réseau d’antennes HAARP. Le système HAARP est pleinement opérationnel et à bien des égards, il éclipse les systèmes d’armes stratégiques conventionnels existants.

Bien qu’il n’existe pas de preuve formelle de son utilisation à des fins militaires, les documents de l’US Air Force laissent entendre que HAARP fait partie intégrante de la militarisation de l’espace.
En vertu de la CCNUCC, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) a pour mandat « d’évaluer les informations scientifiques, techniques et socioéconomiques utiles pour la compréhension des changements climatiques.

» Ce mandat comprend une guerre écologique.« La géo-ingénierie » est reconnue, mais les applications militaires implicites ne sont ni l’objet d’analyse politique ni l’objet de recherche scientifique dans les milliers de pages des rapports du GIEC et des documents connexes, qui pourtant sont appuyés sur l’expertise et les contributions de quelque 2500 scientifiques, décideurs et écologistes. »La guerre climatique » est susceptible de
menacer l’avenir de l’humanité, mais elle a été exclue des rapports du GIEC, qui a reçu le Prix Nobel de la paix en 2007.

Le GIEC

14 janvier 1999

En 1999, le Parlement européen accède à la demande de certains
parlementaires de faire toute la lumière sur cette « affaire HAARP » qui de toute
évidence leur échappe.

Ils rédigent donc un texte officiel qui, malheureusement
mais comme on pouvait s’en douter, restera lettre morte. Cependant rien n’est
jamais totalement inutile lorsqu’on veut connaître la vérité, et cette action reste
à disposition dans les archives de l’Union comme preuve pour notre mémoire
collective qui en a bien besoin… A notre tour maintenant de nous réveiller !

GIEC Schéma

S’agissant des aspects légaux des activités militaires :
page 11 :

considère que le projet HAARP (High Frequency Active Auroral Research Project), en raison de son impact général sur l’environnement, pose des problèmes globaux et demande que ses implications juridiques, écologiques et éthiques soient examinées par un organe international indépendant avant la poursuite des travaux de recherche et la réalisation d’essais, déplore que le gouvernement des États-Unis ait à maintes reprises refusé d’envoyer un représentant pour apporter un témoignage sur les risques que comporte pour l’environnement et la population le programme

HAARP financé actuellement en Alaska, durant l’audition publique ou à l’occasion d’une réunion subséquente de sa commission compétente, demande à l’organe chargé de l’évaluation des choix scientifiques et technologiques (STOA) d’accepter d’examiner les preuves scientifiques et techniques fournies par tous les résultats existants de la recherche sur le programme HAARP aux fins d’évaluer la nature et l’ampleur exactes du danger que HAARP représente pour l’environnement local et global et pour la santé publique en général, invite la Commission à examiner les incidences sur l’environnement et la santé publique du programme HAARP pour l’Antarctique,

en coopération avec les gouvernements de Suède, de Finlande, de Norvège et de la Fédération de Russie, et à faire rapport au Parlement sur le résultat de ses investigations,
demande en particulier que soit établi un accord international visant à interdire au niveau global tout projet de recherche et de développement .

Tant militaire que civil, qui cherche à appliquer la connaissance des processus du fonctionnement du cerveau humain dans les domaines chimique, électrique, des ondes sonores ou autres au développement d’armes, ce qui pourrait ouvrir la porte à toute forme de manipulation de l’homme, un tel accord devrait également interdire toute possibilité d’utilisation réelle ou potentielle de tels systèmes…

HAARP – Un système d’armement modifiant le climat page 21 :

Le 5 février 1998, la sous-commission sécurité et désarmement du Parlement a procédé à une audition portant notamment sur HAARP.

Des représentants de l’OTAN et des États-Unis avaient été conviés à la réunion. Ils ont toutefois choisi de ne pas venir.

La souscommission a déploré que les États-Unis n’aient envoyé aucun représentant à l’audition et qu’ils n’aient pas saisi l’opportunité de faire des commentaires sur le matériel présenté(p24).

A quoi ça sert ?

Officiellement, les scientifiques qui travaillent sur cet émetteur radio mégalomaniaque, veulent étudier l’ionosphère. Officieusement, HAARP va tirer parti de l’ionosphère pour en faire une arme à énergie.

L’ionosphère est cette couche située au-dessus de la stratosphère, constituée de particules ionisées hautement chargées en énergie et qui démarre à une altitude moyenne de 48km, pour se terminer à 600 km de notre surface terrestre. Cette couche à haute densité énergétique, est vitale pour notre planète car elle joue un rôle fondamental de bouclier, au même titre que la couche d’ozone. Elle nous protège des dégagements nocifs du soleil.

L’ionosphère « capture », entre autres choses, les particules chargées
électriquement et nées des « vents et tempêtes » solaires et galactiques. On sait par ailleurs que les recherches menées depuis un siècle par une série de scientifiques ont mis en évidence le fait que ce « manteau énergétique » protégeant la Terre pouvait, avec une technologie appropriée, devenir une arme stratégique de toute première importance.

HAARP se fonde sur les recherches de Bernard Eastlund, qui s’est lui-même inspiré des travaux de Nikola Tesla, un scientifique croate, inventeur de génie du début du siècle, à qui l’on doit le courant alternatif (combattu par Edison, favorable au courant continu) et le courant triphasé…

Tesla mit notamment au point un procédé permettant de transférer de hautes quantités d’énergie électrique, sans l’apport de câble, sur une distance de 42 km, et il consacra une bonne partie de ses recherches à « l’énergie ionosphérique » et aux phénomènes électromagnétiques. Ses travaux furent financés, canalisés, puis censurés pour des raisons financières par le banquier JP Morgan et la société Westinghouse (voir « remarquable génie Nikola Tesla et comment mener une guerre biologique et psychologique »).

Un peu moins d’un siècle plus tard, Bernard Eastlund, n’a fait qu’adapter les premiers travaux de Tesla dans le domaine de l’énergie électromagnétique. Et c’est ainsi que ce chercheur déposa douze brevets, entre 1987 et 1994, qui constituent l’ossature du programme HAARP et de ses technologies dérivées en matière d’armements.

Le vrai propriétaire et exploitant de ces brevets n’est plus Eastlund (qui a fini par être éjecté du projet pour des raisons obscures), mais bien la société Apti-Arco, un consortium pétrolier derrière lequel se profilent la Navy, l’Air Force et le Départment of Défense US.

Depuis le dépôt des brevets Eastlund, toute la recherche dans le domaine de l’énergie électromagnétique, par exemple à des fins médicales, est bloquée. C’est donc un vaste champ hautement prometteur de la science et de la médecine qui a été ainsi monopolisé par des intérêts liés à l’armée américaine.

Comment cela fonctionne-il ?

Toute la technologie contenue dans le programme HAARP revient, grosso modo, à pointer vers l’ionosphère un faisceau d’ondes (comme le ferait un émetteur radio), à hautes fréquences (HF), afin de voir ce qui s’y passe.

Le bombardement d’une zone donnée de l’ionosphère avec ces HF a pour effet de créer un énorme miroir virtuel qui agit comme une antenne. Cette « antenne » virtuelle réémettra des fréquences extrêmement basses (ELF : extremely low frequency) vers la Terre.

Pour employer une image, outre l’effet d’antenne virtuelle ainsi déployée dans le ciel, on crée une sorte de four micro-ondes géant dans un territoire donné de l’ionosphère. Malheur aux avions et aux missiles qui passeraient dans le ciel à ce moment-là.

Selon la puissance des émetteurs, on pourrait tout aussi bien affoler les systèmes de guidages électroniques, radars et autres appareils radio de ces missiles et aéronefs que de les griller.

Par ailleurs, grâce à l’antenne virtuelle constituée d’ondes ELF, on peut véritablement scanner la croûte terrestre à des profondeurs extrêmes, pour en faire une sorte de radiographie.

De la sorte, les militaires US sont fiers d’affirmer que grâce à HAARP, plus aucun pays ne pourra leur cacher l’implantation de bases secrètes souterraines abritant des armes nucléaires…

Selon des études de spécialistes US en armement, on pourra également communiquer avec les sous-marins en plongée profonde situés dans des coins reculés des océans, détecter puis détruire tout missile ou avion, même furtif, s’engageant dans l’espace aérien des USA.

Le but ultime étant de générer un bouclier protecteur global capable de faire le tri entre les cibles ennemies, nucléaires ou conventionnelles, et de les « traiter » de la façon adéquate. Enfin HAARP a surtout pour but d’empêcher toutes les communications radio et satellites ennemis dans une zone précise. En plus, avec l’aboutissement de ce programme, les USA pourront rendre leur propre système de communication quasiment inviolable. Voilà pour la version officielle.

Les buts occultes :

Sur la base des travaux et brevets d’Eastlund, d’autres scientifiques, chercheurs, journalistes et militants écologistes se sont engagés dans un véritable jeu de détective avec l’armée US afin de déterminer d’autres aspects non avoués par l’Air Force et la Navy du programme HAARP.

Parmi ceux-ci, le Dr Rosalie Bertell, une scientifique de haut niveau qui, naguère, avait été désignée comme expert par l’administration Reagan pour étudier les effets du projet d’armement « Star Wars ». Elle est aujourd’hui consultante pour le Parlement européen sur HAARP.

Ou encore le Dr Nick Begich, un écologiste convaincu et Jeanne Manning, une journaliste indépendante qui s’est spécialisée dans les recherches sur les énergies dites « non conventionnelle », qui sont coauteurs d’un livre anti-HAARP au titre évocateur : « Angel dont’ play this HAARP », qui a fait grand bruit outre – Atlantique et qui révèle, sur la base de données sérieuses, les applications occultes du projet.

Le fruit de leur enquête a été corroboré par d’autres scientifiques comme le Pr Zielinski, un physicien allemand spécialisé dans l’électrodynamique quantique ou le chimiste américain

Richard Williams :

La liste des détracteurs scientifiques de HAARP est innombrable.

Pensées contrôlées

Selon ces scientifiques, les militaires n’en étaient, à la fin des années 90, qu’à la phase expérimentale de leurs travaux, mais les résultats déjà enregistrés sont très prometteurs.

Ainsi, grâce à l’injection de fortes quantités d’énergie dans l’ionosphère, on pourra influencer la météorologie pour provoquer des effets bénéfiques dans une région donnée ou cauchemardesque dans une autre.

Comment ?

Tout simplement en modifiant la circulation des vents en haute atmosphère là o ils entrent en interaction avec l’ionosphère.

On pourra également provoquer la libération soudaine d’une énorme quantité d’énergie en imitant, par exemple, le flash provoqué par une explosion nucléaire à haute altitude.

Un type d’action militaire qui ne relève en rien de la science-fiction puisqu’elle a déjà été utilisée sur le terrain en 1991 au cours de la guerre du Golfe et de l’opération « Desert Storm ». Selon le périodique militaire officiel .

Defence News (n°19 du 13 avril 1992), les États-Uni s avaient déployé sur le champ de bataille une arme à impulsion électromagnétique (EMP Weapon).

Le but de cette arme est double :

il permet, comme le fait une explosion nucléaire, d’empêcher toute forme de communication radio chez l’ennemi et a un effet redoutable en matière de guerre psychologique. On comprend mieux dans ce cas pourquoi des dizaines de milliers de soldats irakiens se sont rendus sans combattre.

https://youtu.be/HO3a5jYVFFE

inventer des armes climatiques et faire la guerre contre quelque chose qui n’a jamais exister relève de l’hypocrisie.

Quand les hommes cesseront de se mentir , ils cesseront de mentir aux autres. Ce sera le commencement de la véritable humanité.

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Paix et sincérité à tous !

Eveil-delaconscience

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