Introduction 

1 Regardons ce que wikipédia nous dit sur les nanorobots :

2 Applications en médecine

3 Formes et approches

4 Vous le savez certainement pas

Introduction 

Plus vous regarderez le monde dans lequel vous vivez, plus vous constaterez que les choses qui vous entourent deviennent de plus en plus petites. Elle ce standardise automatiquement au fil du temps, et ceci, en totale ignorance des effets qui en résulteront : Les systèmes à ondes comme les armes à énergies, les portables cellulaires, les caméras, les objets connectés, l’intelligence artificielle ( IA ), les nanorobots, les puces RFID  ainsi que tous les domaines de votre vie «peuvent désormais vous asservir mais aussi vous surveiller quotidiennement .»

«Les armées innovent des techniques ( stratégies ) avec l’argent public pour faire la guerre et tuer des gens, ne l’oubliez jamais.»

Ce que je vous partage ici, résume ( en outre) mes autres publications concernant la médecine et les innovations satanique de BIG PHARMA :

première publication « Nanotechnologie (1) Définitions + étude des phénomènes et de la manipulation de la matière aux échelles atomique moléculaire »

Deuxième publication : Nanotechnologie (2) : Comment avoir un échantillon de référence grâce à la nanotechnologie, avec des machines moléculaires ou des nanorobots dans le corps ?

troisième publication Nanotechnologie (3) des Cellules : trouver des méthodes compatibles avec le système immunitaire de l’organisme afin de ne pas perturber la reproduction des cellules

1 Regardons ce que wikipédia nous dit sur les nanorobots :

Un nanorobot ou nanites est un robot dont les composants sont à une échelle naine (10-9 mètres)

Fabriqué grâce aux nanotechnologies émergentes. Plus particulièrement, la nanorobotique fait référence au domaine d’ingénierie qui s’intéresse au dessin et à la construction des nanorobots, dont leurs dimensions varient entre 0,1 et 10 micromètres et qui ont des composants nains, moléculaires ou à base d’ADN.

En général de telles machines sont à l’étape de recherche, mais quelques appareils moléculaires ont été mis à l’épreuve. Un exemple est un détecteur ayant un interrupteur de 1,5 nm de largeur, capable de compter des molécules précises dans un échantillon chimique.

Les nanorobots pourraient trouver leur première application utile dans la médecine, servant à repérer et anéantir des cellules cancéreuses.

Une autre application possible serait de détecter des produits chimiques toxiques dans l’environnement et mesurer leur concentration. L’université Rice a créé une voiture à molécule unique avec des buckminsterfullerènes en guise de roues, produite par un processus chimique.

Une autre définition serait un robot capable d’interactions précises avec des objets microscopiques, ou capable d’effectuer des manipulations à l’échelle naine. De tels appareils appartiennent plutôt à la microscopie ou microscopie à sonde locale.

Par conséquence, même un grand appareil, tel qu’un microscope à force atomique peut se considérer comme un outil nanorobotique lorsqu’il est configuré à effectuer des manipulations à l’échelle naine. Également, on peut ajouter à cette catégorie des robots de grande taille capables quand-même de bouger avec une telle précision.

2 Applications en médecine

Des applications dans le domaine médical sont envisageables. Par exemple, le système animé par des fibres musculaires pourrait aider les patients dont les nerfs phréniques sont endommagés, ayant donc du mal à respirer, à utiliser leurs propres fibres cardiaques, en forçant leur diaphragme à se contracter. Placés dans le corps humain, ces bio-robots feraient fléchir un matériau piézo-électrique plutôt qu’un fil de silicium et l’émission de décharges de quelques millivolts stimulerait les nerfs phréniques.

Parmi les plus intéressantes applications hypothétiques des nanorobots, on dénote la construction de nanomachines hypercomplexes et multifonctionnelles qui permettraient la reconstruction de tissus vivants par une simple injection sous-cutanée. Ces nanorobots, assez petits pour entrer dans une cellule vivante, pourraient remplacer ou réparer les organites, modifier les acides nucléiques — donc le code génétique

— ou effectuer d’autres tâches impossibles sans une micro-chirurgie invasive. On peut aussi s’imaginer que les nanorobots pourraient guérir les cancers, en détruisant les cellules qui dégénèrent.

Théorie nanorobotique

Selon le physicien Richard Feynman, c’était son ancien étudiant de troisième cycle et collaborateur Albert Hibbs qui lui avait d’abord suggéré (env. 1959) l’utilisation des machines menues (envisagées par Feynman) à des fins médicales.

Hibbs suggéra que certaines machines réparatrices pourrait rapetisser jusqu’au point où il serait théoriquement possible de (comme le dit Feynman) avaler le médecin. L’idée se trouva incorporée dans sa dissertation de 1959 titré Il y a plein de place au fond.

Puisque ces robots seraient d’une taille microscopique, il en faudrait sans doute une grosse quantité en collaboration afin d’effectuer des tâches sur une échelle macroscopique.

Une discussion théorique approfondie, traitant des questions de dessin (détection, alimentation, orientation, maniement, déplacement et calculs faits à bord) est présentée dans le contexte médical par Robert Freitas. Certaines discussions restent au niveau de l’irréalisable et n’approchent pas du niveau du génie spécifique.

3 Formes et approches

 

  • Biopuce
  • Machine nucléique
  • À base de bactéries

Exemple en œuvre

La revue britannique New Scientist, dans son numéro du 28 février 2004, a annoncé que le chercheur américain Carlos Montemagno et ses collègues de l’université de Californie (Los Angeles) ont mis au point un nanorobot animé à partir d’un muscle cardiaque de rat. Cette « machine », constituée d’un fil de silicium en arc de voûte au-dessous duquel sont attachées les fibres cardiaques, n’est pas plus épaisse qu’un cheveu humain.

Ce nanorobot a pu ramper à une vitesse de l’ordre de 40 micromètres par seconde grâce au glucose, source d’énergie du muscle. En pliant et dépliant la voûte, la contraction et le relâchement des fibres musculaires permettent ainsi le mouvement.

En Science-fiction :

Les nanorobots sont un thème récurrent dans les univers de science-fiction.

Les essaims de nanorobots, y compris les réplicateurs au cœur du brouillard utilitaire ou de la gelée grise, se dépeignent dans plusieurs œuvres de science-fiction telles que Star Trek, Stargate ou l’Au-delà du réel.

Certains partisans de la robotique naine, en réponse à l’émoi suscité par la supposition d’une gelée grise, soutiennent que des nanorobots capables de se répliquer en dehors d’une usine close ne constituent nullement un volet nécessaire de la technique, et que l’autoréplication si jamais mise au point, pourrait être dotée de sauvegardes de sûreté. De plus, ils affirment que leurs plans actuels du développement et utilisation da la fabrication moléculaire ne comprennent pas de réplicateurs en liberté.

Mise au point de « nano-araignées » capables de se mouvoir sur un circuit d’ADN :

Les nanosciences viennent de se doter de leur premier prototype de robot. Une équipe constituée de chercheurs de l’Université de Colombia, de l’Université d’Etat d’Arizona, de l’Université du Michigan et de l’Institut de Technologie de Californie (Caltech) a en effet synthétisé, « programmé » et observé un assemblage biologique complexe de 4 nanomètres de diamètre, présentant les principales caractéristiques des robots produits à l’échelle macroscopique. Cet assemblage est ainsi capable d’analyser son environnement, de déterminer une marche à suivre en fonction des résultats de cette analyse et enfin d’agir en suivant ce plan.

L’assemblage comprend un élément central constitué d’une protéine appelée streptavidine, qui possède quatre emplacements, symétriquement répartis, qui lui permettent de se lier avec une haute affinité à une autre protéine appelée biotine. La streptavidine constitue le « corps » du robot sur lequel viennent se greffer quatre « pattes » constituées chacune d’un brin d’ADN portant une molécule de biotine afin d’assurer la jonction.

Trois de ces pattes sont constituées d’ADN enzymatique, qui peuvent se lier et couper de l’ADN au niveau de séquences particulières. La quatrième sert à ancrer le robot à son point de départ. Afin de tester le robot, les chercheurs ont mis au point un circuit d’ADN en utilisant la technique de repliement de l’ADN mis au point par Paul Rothemund à Caltech en 2006 (voir BE Etats-Unis 28, « Pliage et auto-assemblage de l’ADN pour créer des nanostructures » [1]).

Ceci leur a permis de créer un support plan, d’environ 100 nanomètres de côté et 2 nanomètres d’épaisseur, sur lequel faire évoluer ce robot. En utilisant les dernières avancées du Pr. Rothemund en matière de construction de nano-échaffaudages d’ADN (voir BE Etats-Unis 198, « Origami d’ADN et nano-échaffaudages » [2]) il leur a alors été possible de créer une piste sur le support, en positionnant avec précision des brins d’ADN perpendiculairement à la surface. Chacun de ces repères peut être reconnu, hybridé et sectionné par l’une des pattes du robot.

Une fois le repère identifié et sectionné, il est relâché dans le milieu, libérant ainsi la patte du robot, qui est dès lors libre de chercher un nouveau substrat. De proche en proche, les repères indiquent ainsi avec précision au robot ce qu’il doit faire (commencer son déplacement, avancer, tourner, s’arrêter) et constituent ainsi l’équivalent des commandes envoyées à un robot standard.

Ce modèle de robot a été mis au point il y a plusieurs années déjà par Milan Stojanovic à l’Université de Columbia, mais, en l’absence de repères définis, le mouvement du robot était alors aléatoire et plus réduit (seulement 3 « pas » contre une centaine pour le modèle développé actuellement). Bien que le concept soit dans une phase très précoce de son développement, il serait à terme possible de créer des systèmes thérapeutiques tels que des nano-robots parcourant la surface des cellules et prenant ou non la décision d’injecter leur charge en fonction de la présence de marqueurs spécifiques témoignant du développement d’une maladie.

Une autre utilisation pourrait être l’assemblage de molécules complexes, mimant les chaînes de montage automatisées à l’échelle macroscopique. Il leur serait également possible de s’assembler pour réaliser des tâches plus complexes. Le principal avantage de tels agents est qu’une fois programmés, ils sont capables d’effectuer leur tâche de façon autonome et ne nécessitent donc plus d’intervention humaine.

- [1] « Pliage et auto-assemblage de l’ADN pour créer des nanostructures », BE Etats-Unis 28, 30/03/2006 : http://www.bulletins-electroniques….

- [2] « Origami d’ADN et nano-échaffaudages », BE Etats-Unis 198, 05/03/2010 : http://www.bulletins-electroniques….

- Article dans Nature (abonnement requis pour accéder à l’article intégral) : http://www.nature.com/nature/journa…

Vous le savez certainement pas

Les films, dont certaines séries relatent que les petits robots remplaceront certainement les animaux dans quelques années ( ? ) – Est-ce un hasard de prévenir ce qui se passera à l’avenir ? Ceci est une propagande de plus, pour vous faire concevoir à quelque choses que vous ne voulez pas, mais qui sera quand même mis à disposition car, vous laisser les sorciers ( les entreprises qui se prennent pour dieu – APPLE GOOGLE DARPA aux états-unis avec les portables et les robots ? ) manipuler votre vie dont les choses qui vous entourent en permanence.

Les abeilles ont disparus car vous avez mis en place des élites qui n’ont que faire de l’environnement et des êtres vivants. Vous n’avez rien fait, ils font désormais ce qu’il veulent sur cette terre. C’est un peu comme les robots intelligent ( un portable à aussi des micros puces ) dans nos taches du quotidien qui prennent le dessus sur nos vies, mais aussi  les robots butineurs ( Les abeilles et si c’était que sa… ont disparus, elle ne butinerons plus !  ), la PUCE RFID qui est désormais disponible pour les être humains : personne n’en voudra, pourtant elle est déjà la… il suffit juste de laisser le temps faire les choses et appliquer la propagande et la terreur pour la mettre en place.

Attention : Eveil-delaconscience met en avant «les nanorobots» afin de bien comprendre que toutes les techniques inclus à la société ne sont tous autre qu’un miroir illusoire remplie de supercherie moderne : un miroir qui vous oblige à consommer, mais aussi vous faire dire → c’est une évolution et j’ai le dernier appareille existant, ce qui est faux → Les armées dont certaines entreprises vous revendent seulement ce qu’ils veulent bien vous faire voir. Nous sommes comme des oies que l’on gave avant de les tuer : comme les premières personnes que mettons au front lors d’une guerre, ils se font tuer en premier.

Références :

spiders at the Nanoscale : Molecules that behave like robots, Kathi Svitil, Caltech Newsroom, 12 Mai 2010,

http://media.caltech.edu/press_rele…

https://fr.wikipedia.org/wiki/Nanorobot

https://www.youtube.com/watch?v=bDZsDk4h5aI

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Paix et sincérité à tous !

Eveil-delaconscience

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