Croire « que les Hommes innovent les meilleurs technologies quand il s’agit de faire la guerre, c’est croire que les guerres rapportent de l’argent et permettent d’innové encore plus d’armes et de médicaments (produits chimiques) pour soi-disant soigné les gens. » Sachez, que les dossiers « Secret Défense » innovés par les armées ( et entreprises pour certaines, gouvernementale) ne sont pas divulgué aux publiques 30ans après sa création- brevet déposer.  Voir références. Transparence – IFSA, CADA, Transparence et secret [archive], actes du Colloque colloque du 25e anniversaire de la loi du (en partenariat avec le journal Le Monde, et sous le haut patronage du président de la République), La documentation française, 334 p.

L’expression « secret défense » ou « secret Défense » est utilisée pour définir un niveau d’habilitation d’accès à un document gouvernemental ou militaire restreint par une loi ou un règlement à un groupe spécifique de personnes pour des raisons de Sécurité nationale (ou supra nationale éventuellement).

Je vais parler ici, de dissonance cognitive et faire le lien entre « DARPA (

Defense Advanced Research Projects Agency) https://www.darpa.mil/ ( sur les brevets du Contrôle mentale ») et José Delgado en 1950 sur les implant cérébraux. https://fr.wikipedia.org/wiki/Jos%C3%A9_Delgado

La neurophysiologie est l’étude des fonctions du système nerveux, reposant sur tous les niveaux de description, du niveau moléculaire jusqu’au niveau le plus intégré des réseaux neuronaux.

Y aurait-il « un lien », un rapport entre « ces deux innovations », à « des dates différentes ? »

Avez-vous déjà entendue parler des recherches de José Delgado, sur les  implants cérébraux ?

José Delgado contrôlait le cerveau d’un taureau dès 1950 et savait manipulé le comportement à l’aide d’électrodes et implants cérébraux. DARPA; 60ans plus tard sort des brevets sur « Un implant posé sur le cerveau qui va leur permettre de communiquer avec des équipements biocompatibles ». Des armes, des moyens de communication ou un exosquelette contrôlé par la pensée.

« 1950 et 2016 ? »

Les dates vous paraissent lointaines, mais à travers cette recherche, on apprendra que des technologies ( techniques, innovation moderne) existent bien, et qu’elles ne sont pas médiatisés 60 après.

Pour certains sujet, on oublie vite : Nous effaçons ce qui à existé( le passé), ignorons ce qui  existe dans le présent, « modifions le présent pour ne pas voir et pouvoir continuer à ignoré le monde dans lequel nous vivrons. »

Qui savait que les implants cérébraux existait ?

En réalité, il n’existe pas une étude, mais de milliards de documents, des Brevets, qui ont été appliqués et ne sont pas mentionnés comme un implant. Nous pouvons considérer de l’aluminium, des adjuvants chimiques doté d’un matériel à l’échelle nanométrique ( nanomatériaux métallique de zinc, de carbone, ou de quelconque division chimiques), comme un implant; c’est en vous, vous ne le savez pas et ne pouvez le voir –  « les nanotechnologies inclus dans les vaccins » (ou technologies thérapeutiques) nous permettent soi-disant de nous soigner, ce sont pourtant, des produits chimiques (en communication) « qui interférent avec l’intelligence artificielle « ( ou algorithme informatique). Les Puces font de mêmes, elles interférent ensemble et permettent Le contrôle mental – votre cerveau est branché et connecté via des réseaux qui communiquent ensemble- Interaction. Les recherches sur les NBIC (« la biotechnologie « à travers la médecine ») soignent les patients avec des produits chimiques, « aucune étude et effet de toxicité existe sur les nanoparticules ou interface neuronales. »

Qu’il soi animale ou humain, des recherches on été faites sur « le cerveau et la manipulation des masses » dès les années 1930 à aujourd’hui.

Je reparlerais des nouvelles recherches dans ce domaine à travers mon site et ferons les liens ensemble, prenez note de ce qui sera dit dans cette publication, intitulé « L’armée américaine investit 60 M$ pour mettre au point un soldat cyborg ». D’autres liens se feront.

Publication en 2 parties.

  1. 1950 : MrJosé Delgado
  2. 2016, DARPA  – L’armée américaine investit 60 M$ pour mettre au point un soldat cyborg

1950 : « Travaux de MrJosé Delgado sur le cerveau d’un animal »

José Delgado (né José Manuel Rodríguez Delgado), né le à Ronda et mort le à San Diego, est un neurophysiologiste, pionnier dans la technologie des implants cérébraux.

Travaux de José Manuel Rodríguez Delgado (1950)

Il étudie la médecine à Madrid où il sera professeur associé de physiologie. Il rejoint l’université Yale en 1950 dans le laboratoire de John Farquhar Fulton qui travaillait alors sur la lobotomie. Il y expérimente chez l’animal, puis chez l’homme, la stimulation électrique du cerveau, ou E.S.B. (Electrical Stimulation of Brain), ainsi que la lecture de certains signaux cérébraux. La stimulation et la lecture des signaux sont faites grâce à des électrodes implantées dans certaines parties du cerveau, pour constituer des implants cérébraux. Dans un premier temps, les électrodes sont reliées par un fil à un circuit électrique externe, puis, en raison de problèmes d’hygiène et de déplacement, il met au point un système radiocommandé : le « stimoceiver ». Il écrit en 1952 son premier article sur le sujet. Delgado affirma que « le transmetteur peut rester dans la tête d’une personne durant toute sa vie. L’énergie pour le faire fonctionner est transmise par les ondes radio », il faisait peut-être référence à une batterie rechargeable par induction électromagnétique.

En stimulant ainsi différents sites du cerveau, il parvient à plusieurs effets, sur la motricité, sur les émotions et l’humeur, et sur d’autres points.

Motricité

Delgado pouvait contrôler des animaux comme des « jouets électriques »1, en pressant différents boutons, il pouvait ainsi faire ouvrir et fermer les yeux à un singe, lui faire tourner la tête, bouger la langue et les lèvres, provoquer un grognement, le faire éternuer, bailler, augmenter ou diminuer fortement la quantité de nourriture consommée, faire tomber en sommeil profond ou maintenir éveillé, modifier le rythme cardiaque, il pouvait également forcer un chat à se lécher y compris durant son sommeil et le forcer à lever une patte. Avec des stimulations dans l’hypothalamus, il pouvait contrôler la dilatation des pupilles « aussi facilement qu’un objectif d’appareil photo ».

Delgado fit également des expériences sur des humains, et réussit à forcer quelqu’un à plier les doigts, le signal électrique envoyé dans le cerveau étant supérieur à la volonté du patient (cobaye) de garder les doigts tendus1,2.

Delgado teste sa trouvaille sur un taureau furieux: sa seule arme: un boîtier. Des électrodes ont été implantées dans le cerveau du taureau. Delgado pousse juste un bouton de son boiter de contrôle et instantanément, l’animal stoppe sa charge et est devenu aussi doux qu’un agneau.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jos%C3%A9_Delgado

2016 L’armée américaine investit 60 M$ pour mettre au point un soldat cyborg

60 millions de dollars sur 4 ans, c’est le montant que la DARPA va injecter dans le programme de recherche NESD (Neural Engineering System Design) Il s’agit d’une interface neuronale qui pourrait bien « équiper » les soldats américains dans le futur. Un implant posé sur le cerveau qui va leur permettre de communiquer avec des équipements biocompatibles. Des armes, des moyens de communication ou un exosquelette contrôlé par la pensée, c’est l’objectif visé par l’armée américaine.

Un implant neuronal de 1 million d’électrodes sur un centimètre cube

Voici quelques années, les images de Cathy Hutchinson, une patiente tétraplégique ont fait le tour des médias. Grâce à un implant cérébrale, celle-ci parvenait à contrôler un robot afin d’effectuer des tâches simples.L’interface neuronale directe (IND ou BCI pour brain-computer interface) qui a été posée sur le cerveau de Cathy Hutchinson qui a été conçue par l’équipe de recherche BrainGate compte 96 électrodes. L’ambition de la DARPA, bras armé de l’armée américaine dans la recherche, va bien au-delà. L’implant dont elle souhaite disposer dans 4 ans devra compter… 1 million d’électrodes.

Une électrode par neurone afin de permettre des interactions élaborées

Une telle puce qui ne devra mesurer qu’un centimètre cube permettra une bien meilleure résolution et donc sera potentiellement capable d’interactions bien plus complexes que les implants actuels ou chaque électrode correspond à plusieurs milliers de neurones. Une électrode pour un neurone, c’est l’objectif du projet.

La DARPA travaille sur ce type d’implant depuis les année 70. Avec le programme NESD et son budget plus que confortable, les chercheurs devaient pouvoir faire un bond en avant dans le domaine des interfaces neuronales directes. Début février 2016, la DARPA a réuni à Arlington les entreprises et chercheurs susceptibles de participer au programme afin de leur présenter les objectifs du NESD. Rendez-vous en 2020 pour voir l’implant à l’oeuvre si la DARPA trouve un cobaye prêt à se voir greffer cette puce neuronale « haute définition ».

Références :

« Bridging the Bio-Electronic Divide », Communiqué de la DARPA, 19 janvier 2016

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jos%C3%A9_Delgado

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Paix et sincérité à tous !

Eveil-delaconscience

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