Introduction

Le satanisme, ça existe : vous pouvez voir les œuvres plus couramment aux États-unis dans leurs temples maçonniques où bien les Musées. Washington idolâtre Baphomet, une création de ELIPHAS LEVI – UN KABBALISTE, et FRANC MÂCON.

Alphonse-Louis Constant, dit Éliphas Lévi, né le à Paris, où il meurt le , est un ecclésiastique français et une figure de l’occultisme. Auteur de nombreux essais, il était aussi peintre.

source : https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89liphas_L%C3%A9vi

ALLEZ VOIR A WASHINGTON AVANT DE PARLER SANS SAVOIR – ALBERT PIKE, CRÉATEUR DU KLU KLUX KLAN, ÉTAIT AUSSI SATANISTE ET UN PION SUR L’ÉCHIQUIER.

Franc-maçonnerie aux États-Unis

La franc-maçonnerie a joué un rôle important dans la politique américaine des origines jusqu’à nos jours. De nombreux politiciens ont assumé et assument au grand jour leur appartenance à l’ordre maçonnique. George Washington, le premier président des États-Unis, fut l’initiateur de cette tradition américaine en posant avec les décors maçonniques pour un portrait officiel. Seize autres présidents,également francs-maçons, ont leur portrait au Mémorial maçonnique d’Alexandria (Virginie).

Toutefois, l’influence de la franc-maçonnerie dans la vie politique américaine est aujourd’hui en déclin. Au cours des trente dernières années, ses effectifs seraient passés de quatre millions de membres à environ deux millions. On constate que depuis Gerald Ford, plus aucun président n’appartient à l’ordre.

Mais cette transparence n’empêche nullement les hostilités nombreuses de la classe politique en soi. À titre d’exemple, le Parti chrétien adoptera une ligne explicitement antimaçonnique dans les années 1820 menaçant d’interdire officiellement les loges en vue de son élection.

source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Franc-ma%C3%A7onnerie_aux_%C3%89tats-Unis

En FRANCE, il existe aussi la GLDF – GRANDE LOGE DE FRANCE, nous en reparlerons ultérieurement, n’imaginez pas QUE Wikipédia et les organismes en parleront.

Adoré LUCIFER c’est comme aimer SATAN :  ce sont des néologismes qui appartiennent désormais aux sociétés privées et qui relève de la kabbale – ésotérisme sacré – ne vous détrompez point.

En passant par l’ésotérisme, le mysticisme à voir diverses idéologies proant le satanisle, je vouspporte quelques base, c’est a vous chercher la suite. Les informations proviennent de Wikipédia. vous ferez la différence, entre ce que je vous partage et ce que wikipédia ose bien vous retranscrire – une partie du puzzle.

Les personnages

Les sociétés ( qui se raccroche à cette idéologie)

Les divers moyens de propagande ( Doctrine)

Les démons ( Illusion

les livres maçonnique –

la CIA avec la manipulation mentale. que je décris, ne seront pas cités ici, ils seront partagées dans d’autres publication.

Ne vous faites jamais enfermer dans quelque chose d’illusoire.

Suite partie 2.

Le Satanisme : Partie 1 :

Il existe deux sortes de satanismes. L’une, théiste, que l’on peut considérer comme du « catholicisme inversé ». La seconde, moderne, est une philosophie.

Le sataniste traditionnel croit en Satan, qu’il considère comme Lucifer, le Porteur de Lumière. On y honore Satan comme une divinité.

Des rituels sont pratiqués dans un but d’élévation spirituelle ainsi que pour faire avancer le royaume de Satan.

illuminés de l'année 2013 fran macon

Le Satanisme LaVeyen est une philosophie qui se distingue du culte de Satan (voir Luciférisme ou Satanisme), car il ne s’agit pas du culte d’une entité divine ou démoniaque mais d’une « croyance » de l’égo et de l’individualisme, c’est-à-dire que le but premier de cette philosophie satanique est de croire en soi-même.

Cette philosophie a été développée par Anton Szandor LaVey, qui prône la totale liberté des hommes de ne pas suivre les dogmes religieux, ni de vénérer aucune divinité et d’être leur propre dieu. LaVey est le fondateur de l’Église de Satan et l’auteur de la Bible satanique.

Pour LaVey Satan est le symbole de la nature humaine c’est une force naturelle plutôt que surnaturelle contrairement au satanisme théiste qui reconnaît le Satan comme un divinité.

Prologue :

Les Dieux du sentier de la main droite se sont chamaillés et querellés depuis l’age des temps. Chacune de ces Déités et leurs prêtres et prêtresses respectives, ont tenté de prouver la sagesse de leurs dieux dans les mensonges.

L’age glacière de la pensée religieuse peut seulement durer un temps limité dans ce grand projet qu’est l’existence humaine. Les Dieux de la sagesse profane ont fait leur temps, et le millénaire est devenu réalité, chacun ayant son propre sentier divin vers le paradis, en accusant les autres d’hérésie.

Les religieux jouent le jeu du diable pour remplir leurs tabernacles et payer les hypothèques de leurs temples.

Ils ont trop longtemps étudié la vertu et la justice de leurs dieux. Ils joignent les mains dans une unité fraternelle et dans leur désespoir vont au Walhalla pour leur dernier grand conseil oecuménique.

Les corbeaux de la nuit avancent pour appeler Loki qui mis le feu au Walhalla avec le trident de l’enfer.

Le crépuscule est là. Un rayon de lumière nouvelle est né de la nuit et Lucifer s’est levé une nouvelle fois pour dire: « Voici l’age de Satan, Satan dirige le monde! ». Les dieux des injustes sont morts, voici l’aube de la magie et de la sagesse, de la prise de responsabilité. La chair prévôt et une grande église doit être bâtie, consacrée en son nom.

Le salut de l’homme ne doit plus dépendre du reniement de lui-même.

  • Satanisme (ou « satanisme théiste », ou encore « satanisme spirituel ») : courant religieux qui vénère les anciens anges déchus et leur chef incontesté, Satan.
  • Satanisme (ou « satanisme LaVeyen ») : forme de religion ou de philosophie développée par Anton Szandor LaVey, et pour laquelle Satan n’est pas un dieu.

Le satanisme théiste ou encore spirituel est un courant religieux qui vénère les anciens anges déchus et leur chef incontesté, Satan.

Il est à différencier du satanisme LaVeyen, représentant Satan comme une force de la nature.

Doctrine et origines :

Le sataniste traditionnel croit en Satan qu’il considère comme Lucifer (Lux, cis=lumière;fer, o=porter en latin), le Porteur de Lumière. Il honore Satan comme son dieu personnel. Il pratique des rituels dans un but d’élévation spirituelle ainsi que pour faire avancer le royaume de Satan.

Le satanisme traditionnel puise ses sources dans différentes civilisations : mésopotamienne, babylonienne, égyptienne et la longue lignée de mages ayant empruntés la voie de la main gauche depuis des millénaires.

C’est ainsi qu’il progressa et se développa au cours des siècles

Le sataniste traditionnel est donc l’opposé d’un satanisme qui ne verrait en Satan qu’un substitut à l’homme tel qu’il est envisagé par le Satanisme de LaVey. Même s’il respecte la nature et les esprits de la nature, le satanisme historique ne réduit pas Satan à une simple force de la nature.

Organisation :

Comme tout culte le satanisme traditionnel regroupe plusieurs tendances spécialement aux États-Unis. Il dispose d’une hiérarchie bien définie[réf. nécessaire] pour chaque loge ou ordre. L’initiation est basée sur différents degrés. Il a ses propres dogmes et une rituélie.

En France, une étude menée par la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires dont quelques éléments ont été rendus publiques en mars 2008, estime le nombre d’adeptes à 25 000 personnes dont 80 % sont âgés de moins de 21 ans, chiffre annoncé qui mène à une polémique, puisque M. Olivier Bobineau, membre du groupe Sociétés, religions, laïcités du CNRS, un temps associé aux travaux de la Miviludes, maître de conférence à Sciences-Po, et enseignant à l’Institut catholique de Paris, le conteste avec force, ne dénombrant qu’une centaine de satanistes avérés en France.

Toutefois, depuis quelques années, des groupes plus ou moins structurés ont éclos tels que : la fédération satanique française, la légion satanique française, l’église philosophique luciférienne, l’ordre secret du dragon noir. Ces groupes sont, pour la plupart, à classer dans le satanisme rationaliste ou Laveyen, sauf pour « l’ordre secret du dragon noir » qui se proclame d’un satanisme traditionnel et anti-cosmique.

Bibliographie :

  • La bible satanique de Anton Szandor LaVey (Satanisme LaVeyen)
  • Le satanisme. Quel danger pour la société ? écrit sous la direction d’Olivier Bobineau (étude menée sur le satanisme LaVeyen)
  • Le Codex tenebrarum et le Codex daemonorum diffusés par l’Ordre secret du dragon noir

Articles connexes :

Satan :

« Satan » (hébreu : שָׂטָן sāṭān ; grec ancien : Σατανάς Satanás ; araméen : ܣܛܢܐ sāṭānā’ ; arabe : شيطان Šayṭān signifiant l’« accusateur » mais aussi l’adversaire) est un terme dont les origines remontent aux fois abrahamiques, traditionnellement appliqué à une race diabolique, ou djinn selon l’islam, nommée par le qualificatif de messager (aggelos en grec et « ange » en français), un démon, ou une divinité majeure et crainte dans les croyances polythéistes.

Origines du concept :

Satan, figure chaldéenne empruntée par les juifs esclaves de Babylone qui ont assimilé le mot qui définit une fonction judiciaire (celle d’accusateur), ne nomme pas un dieu mais présente une divinité qui en assiste une autre dans le jugement de Job.

Le terme est employé en hébreu et signifie adversaire, comme un accusateur ou un procureur dans un tribunal hébraïque. L’hébreu ne connaît ce terme qu’en tant que nom commun, désignant une fonction, et non un être bien déterminé.

Cependant, suite au vocatif utilisé par Jésus, Vade retro, satana ! (Marc, VIII.31-33), Satan est devenu le nom propre « diabolique » du Diable. Improprement un nom d’ange lui a été attribué, celui de Samaël, ainsi que le rapportent de nombreuses traditions post-bibliques et hors de la Bible.

Le terme arabe qui renvoie à Satan est Šhayṭān (الشيطان). Il n’est pas un nom propre, mais désigne une certaine catégorie de créatures tentatrices. Dans le Coran, le principal tentateur est nommé Iblis, créé de feu, qui refuse de se prosterner devant Adam.

Le diable a plusieurs autres dénominations dans l’islam. Le terme Satan dérive du mot shaitan qui découle lui-même du nom de la divinité égyptienne Seth.

Satan dans la Bible :

1_Satanisme - Le Codex Gigas

Les écritures hébraïques évoquent le satan à plusieurs reprises, et le nomment dans trois livres :

le Livre de Job, le premier livre des Chroniques, et le Livre de Zacharie. Toutefois, contrairement aux chrétiens, les juifs n’associent pas le Na’hash au satan bien que celui-ci, ayant fomenté une rébellion contre Yahvé en Éden, pourrait être considéré comme son adversaire.Dans le Nouveau Testament, il est aussi connu par l’expression latine : Vade retro Satanas (« Arrière, Satan ! ») extraite de Matthieu, 4,10 (Vulgate de Jérôme), lors de la tentation de Jésus dans le désert. Il est également cité dans le passage correspondant de l’évangile selon Marc :

« Aussitôt, l’Esprit poussa Jésus dans le désert, Où il passa quarante jours, tenté par Satan » (Marc 1,11 et Marc 1,12), ainsi que dans un autre passage, dans l’évangile selon Luc : « Jésus leur dit : Je voyais Satan tomber du ciel comme l’éclair ! » (Luc 10,18).

Judaïsme :

Du fait du monothéisme strict, tel que l’enseigne la Torah d’Israël, l’autorité divine ne se partage pas et en ce sens le « diable » n’existe pas : il existe une instance appelée « le satan », avec l’article défini parce que ce n’est pas un nom propre mais une fonction, dont l’objet est d’éprouver toute réussite afin de l’authentifier (voir par exemple le début du livre de Job où le satan participe à l’assemblée des anges).

Satan apparaît également comme une figure allégorique dans le troisième chapitre du livre de Zacharie.Dans cette vision Satan lutte avec l’ange du Seigneur pour l’âme de Josué, le grand prêtre d’Israël . Cette vision est habituellement comprise comme une allégorie politique qui symbolise la lutte entre Néhémie (l’ange) et Sanballat le Horonite (le diable) pour l’influence sur le sacerdoce du petit-fils de Josué, Eliaschib.

Au cours de la période intertestamentaire, d’autres points de vue de Satan ont commencé à circuler dans le judaïsme. Par exemple, le texte pseudépigraphique Apocalypse de Moïse contient une légende sur la façon dont Satan a été transformé en ange de lumière et a travaillé avec le serpent pour tromper Ève.

Après la destruction du Second Temple en 70, et la révolte de Bar-Kokhba en 132, le judaïsme rabbinique a rejoint le point de vue strictement monothéiste de la Bible hébraïque. Par exemple, Tryphon le juif critiquait les idées de Justin le Martyr concernant les Nephilim du Genèse ch.6 comme blasphématoire, mais, en fait, les croyances de Justin trouvent leur source dans les mythes juifs, comme le Livre d’Hénoch.

Dans le judaïsme rabbinique Satan est tour à tour le tentateur, l’accusateur et l’exécuteur, mais en toute chose, c’est la seule volonté du Yahvé Un et Unique (selon la volonté d’un culte unique et non d’un dieu unique) qui est visée et qui en fin de compte se réalise.

Christianisme :

Satan est traditionnellement associé à Belzébuth ou Baal-Zébub (le dieu Baal dit « Seigneur des mouches ») par les Pharisiens dans les Évangiles, au dieu romain Lucifer (d’après la traduction latine du livre d’Isaïe mais pour laquelle Voltaire fait remarquer qu’Isaïe s’adresse au roi de Babylone et qu’il ne s’agit pas, en dépit de l’appellation commune « porteur de lumière », du dieu romain du même nom), et à Méphistophélès au Moyen Âge.

D’après Voltaire, Satan n’aurait donc pas la faculté de changer d’apparence, de séduire et de terrifier.

Les textes et les œuvres d’art (les tympans des cathédrales par exemple) le représentent sous des traits différents : le serpent qui tente Ève, n’est pas nommé par le nom de satan dans les passages de la Genèse, le personnage hybride mi-homme, mi-bouc médiéval (hérité du Pan antique), le dragon (combattu par l’archange Michel selon l’Apocalypse de Jean), le Léviathan

toutes ces représentations reproduites par des artistes ne sont peut être que l’accusation divine mythologique refoulée par certaines sectes d’origine juive qui n’acceptaient plus le pouvoir de la justice humaine de Rome par extension historique à Babylone.

Au Moyen Âge, on imaginait que Satan présidait le sabbat des sorcières.

Satan est aussi appelé « Prince de ce monde » par le Christ.

Témoins de Jéhovah :

D’après les Témoins de Jéhovah, Satan le Diable est un être spirituel bien réel. Il fut un ange créé parfait par Jéhovah, mais voulant dominer les humains à sa place, Satan s’est rebellé contre lui en mentant à Eve au jardin d’Eden, afin qu’elle pèche contre Dieu. (Évangile de Jean 8:44) C’est Satan qui domine le monde actuellement (2 Corinthiens 4:4 ; I Jean 5:19) et qui est le chef des démons.

Mormons / Saints des Derniers Jours :

Les Saints des Derniers Jours croient que le Diable est un fils spirituel de Dieu qui s’est rebellé contre lui, tandis que Jésus Christ est le fils spirituel aîné et le seul Fils engendré dans la chair.

Christadelphes :

Les Christadelphes sont presque l’unique groupe parmi les chrétiens à énoncer comme article de la foi que Satan n’existe pas ; le mouvement religieux rejette l’idée d’anges déchus et croit que Satan se rapporte simplement à n’importe quel adversaire ; il se rapporterait au sens figuré au péché et à la tentation humaine. Ils estiment que la tentation du Christ dans le désert est tout simplement une allégorie d’une période de préparation, et que les trois tentations se trouvent dans l’Évangile de Jean aussi.

Représentation Satanique :

1. Satan représente la complaisance, au lieu de l’abstinence.

2. Satan représente l’existence matérielle, au lieu de promesses spirituelles irréalistes.

3. Satan représente la sagesse sans détour, au lieu de l’hypocrisie dans laquelle leshommes se complaisent.

4. Satan représente la bonté pour ceux qui le servent, au lieu de l’amour gaspillé pour les ingrats.

5. Satan représente la vengeance, au lieu de tendre l’autre joue.

6. Satan représente la responsabilité pour le responsable, au lieu du défilement.

7. Satan représente l’homme comme un autre animal, quelquefois meilleur, quelquefois pire que ceux qui marchent à quatre pattes.

8. Satan représente tout ce qui peut être appelé péchés et qui peut mener à une gratification mentale, physique et émotionnelle.

9. Satan a été le meilleur ami que les églises aient connu, et le sera à jamais.

Satanisme 2ème Partie

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