Introduction

Sociabilisation

Adaptation (alimentaire)

Adaptation Technologique

Le transhumanisme est un mouvement culturel et intellectuel

Selon les philosophes

Buts du transhumanisme

Éthique

Introduction

Pour comprendre ce que je vais dire dans mon rapport sur « Le Transhumanisme en 2015 – Sociabilisation et adaptation », vous devez d’abord avoir fait des recherches sur le Transhumanisme et les diverses idéologies qui en découlent.

Plus vous donnerez de l’importance à une chose, plus elle prendra de la place, ce qui favorise parfois, à effacer les choses derrières vous.

Sociabilisation

La sociabilisation dépens surtout, de comment l’être humain s’adapte en société. Les nouvelle technologies avancent et font aussi partie de la sociabilisation, mais sous forme matériel. Le scénario, permettant cette adaptation, peu être scénarisé et adapter de façon à modifier un être humain (dans ses taches du quotidien- dans sa façon de concevoir le monde).  Les nouvelles technologies et développement modifient déjà les citoyens – c’est une forme d’adaptation. Selon la loi ( le système), La sociabilité est la capacité d’un individu ou d’un groupe d’individus à évoluer en société. 

Évoluer veut-il dire nécessairement qu’il faut effacer le passé ?

Évoluer veut-il dire nécessairement qu’il faut scénarisé le futur pour pouvoir avoir une mainmise et modifié le présent afin de le joindre avec les différentes étapes qui mèneront à la feuille de route ?

L’ONU a écrit une feuille de route pour les décideurs : voir AGENDA 2030

L’OMS a écrit une feuille de route pour les décideurs : codex alimentarius https://www.eveil-delaconscience.com/codex-alimentarius-ou-comment-les-ong-soccupent-des-produits-alimentaires/

 

 

 

Adaptation (alimentaire)

Adaptation Technologique

Selon le rapport de Ray Kurzwweill, ex pdg de GOOGLE, L’HUMANITÉ passe de L’HUMAIN 1.0 À 2.0.

l’adaptation : est l’une des choses à laquelle vous avez déjà donner votre confiance. Vous vous êtes adapté : Il faut quand même faire attention à ne pas être manipulé et avoir pris pleinement conscience des effets que peuvent résulté vos décisions.

On comprendre alors que c’est une bonne chose. Parfois, que c’est une mauvaise chose pour mon avenir.

L’homme Transhumaniste ( parfait ou «homme machine », appeler cette évolution comme vous le voudrez… ): provient d’aldous huxley dans « ses mémoires pour L’UNESCO », QUI A INVENTÉ LE terme transhumanisme, des projets émis par DARPA, GOOGLE et ses compères philanthropes qui financent toutes les recherches depuis des années.

Voir Google et l’intelligence artificielle et LA PUCE RFID.

  1. Ils vous donne des choses… § objets, nouvelles technologies )
  2. Vous jouez avec la vie, apprenez et prenez ceci comme un jeu
  3. ils innovent encore et encore
  4. La cause à fait son effet – vous êtes à leur solde

C’est en regardant le passé que l’homme veut se perfectionner, mais c’est aussi en créant le désordre qu’il y a à nouveau de l’ordre. »

La sociabilisation : Processus qui fait entrer ou qui maintient une personne dans la société.

Le transhumanisme est un mouvement culturel et intellectuel

Le transhumanisme est un mouvement culturel et intellectuel international prônant l’usage des sciences et des techniques, ainsi que les croyances spirituelles afin d’améliorer les caractéristiques physiques et mentales des êtres humains. Le transhumanisme considère certains aspects de la condition humaine tels que le handicap, la souffrance, la maladie, le vieillissement ou la mort subie comme inutiles et indésirables.

Dans cette optique, les penseurs transhumanistes comptent sur les biotechnologies et sur d’autres techniques émergentes. Les dangers comme les avantages que présentent de telles évolutions préoccupent aussi le mouvement transhumaniste.

Le terme « transhumanisme » est symbolisé par « H+ » (anciennement « >H ») et est souvent employé comme synonyme d’« amélioration humaine ». Bien que le premier usage connu du mot « transhumanisme » remonte à 1957, son sens actuel trouve son origine dans les années 1980, lorsque certains futurologues américains ont commencé à structurer ce qui est devenu le mouvement transhumaniste. Les penseurs transhumanistes prédisent que les êtres humains pourraient être capables de se transformer en êtres dotés de capacités telles qu’ils mériteraient l’étiquette de « posthumains ».

Pour résumer la FAQ Transhumaniste  un des documents transhumanistes les plus reconnus, le transhumanisme est défini comme suit :

  • La promotion de l’amélioration de la condition humaine à travers des techniques d’amélioration de la vie, comme l’élimination du vieillissement et l’augmentation des capacités intellectuelles, physiques ou psychologiques.
  • L’étude des bénéfices, dangers et de l’éthique de la mise en œuvre de ces technologies.

Ainsi, le transhumanisme est parfois considéré comme un posthumanisme ou encore comme une forme d’activisme caractérisé par une grande volonté de changement et influencé par les idéaux posthumanistes. En France, ce mouvement est principalement représenté par l’Association française transhumaniste. Il existe des groupes de réflexion, comme Neohumanitas, en Suisse, qui encouragent la réflexion et la discussion sur les conséquences socio-éthiques de l’utilisation des biotechnologies sur l’être humain et qui abordent certains enjeux du transhumanisme. Le grand nombre d’approches transhumanistes différentes sont reflétés au sein même de ces différents groupes.

La perspective transhumaniste d’une humanité transformée a suscité de nombreuses réactions, tant positives que négatives, émanant d’horizons de pensée très divers. Francis Fukuyama a ainsi déclaré, à propos du transhumanisme, qu’il s’agit de l’idée la plus dangereuse du monde, ce à quoi un de ses promoteurs, Ronald Bailey, répond que c’est, au contraire, le « mouvement qui incarne les aspirations les plus audacieuses, courageuses, imaginatives et idéalistes de l’humanité ».

Selon les philosophes

ayant étudié l’histoire du transhumanisme, son transcendantalisme s’inscrit dans un courant de pensée remontant à l’Antiquité : la quête d’immortalité de l’Épopée de Gilgamesh ou les quêtes de la fontaine de Jouvence et de l’élixir de longue vie, au même titre que tous les efforts ayant visé à empêcher le vieillissement et la mort, en sont l’expression. La philosophie transhumaniste trouve cependant ses racines dans l’humanisme de la Renaissance et dans la philosophie des Lumières. Pic de la Mirandole appelle ainsi l’homme à « sculpter sa propre statue » et même avant lui Plotin : « Si tu ne vois pas encore ta propre beauté, fais comme le sculpteur d’une statue qui doit devenir belle : il enlève ceci, il gratte cela… De la même manière, toi aussi, enlève tout ce qui est superflu, redresse ce qui est oblique » (Énnéades). Plus tard, Condorcet spécule quant à l’application possible des sciences médicales à l’extension infinie de la durée de vie humaine. Des réflexions du même ordre se retrouvent chez Benjamin Franklin, qui rêve de pouvoir interrompre et relancer le cours de la vie en temps voulu. Enfin, d’après Darwin, « il devint très probable que l’humanité telle que nous la connaissons n’en soit pas au stade final de son évolution mais plutôt à une phase de commencement ». Il faut en revanche mettre à part la pensée de Nietzsche qui, s’il forge la notion de « surhomme », n’envisage absolument pas la possibilité d’une transformation technologique de l’Homme mais plutôt celle d’un épanouissement personnel.

Nikolai Fyodorov, un philosophe russe du XIXe siècle, soutenait l’idée d’un usage de la science à des fins d’extension radicale de la durée de vie, d’immortalité ou de résurrection des morts. Au XXe siècle, le généticien J.B.S. Haldane, auteur de l’essai intitulé Daedalus: Science and the Future paru en 1923, est un pionnier influent de la pensée transhumaniste. En ligne directe avec le transhumanisme moderne, il annonce les considérables apports de la génétique et d’autres avancées de la science aux progrès de la biologie humaine et prévoit que ces avancées seront accueillies comme autant de blasphèmes et de perversions « indécentes et contre nature ». J. D. Bernal spécule quant à la colonisation de l’espace, aux implants bioniques et aux améliorations cognitives qui sont des thèmes transhumanistes classiques depuis lors.

Le biologiste Julian Huxley, frère d’Aldous Huxley, semble être le premier à avoir utilisé le mot « transhumanisme ». En 1957, il définit le transhumain, bien que le concept qu’il désignait diffère sensiblement de celui auquel les transhumanistes font référence depuis les années 1980. Il définit le transhumain comme un « homme qui reste un homme, mais se transcende lui-même en déployant de nouveaux possibles de et pour sa nature humaine » :

« La qualité des personnes, et non la seule quantité, est ce que nous devons viser : par conséquent, une politique concertée est nécessaire pour empêcher le flot croissant de la population de submerger tous nos espoirs d’un monde meilleur. »

Le « meilleur des mondes » de Julian Huxley n’est pas si éloigné du « brave new world » d’Aldous Huxley. Il s’agit bien d’améliorer la « qualité » des individus, comme on améliore la « qualité » des produits. Julian Huxley était en effet un des biologistes à l’origine du Manifeste des généticiens, signé par de nombreux généticiens prestigieux en 1939, qui prônait un eugénisme « de gauche », où l’amélioration des conditions sociales est présentée comme la condition de la réussite et de l’efficacité d’une politique eugéniste.

Au début des années 1960, la question des relations entre les intelligences humaines et artificielles, qui est une des thématiques centrales du transhumanisme, est abordée par l’informaticien Marvin Minsky. Dans les décennies qui suivent, ce domaine de recherches continue de voir apparaître d’influents penseurs, comme Hans Moravec ou Raymond Kurzweil, tantôt officiant dans des travaux d’ordre technique, tantôt spéculant sur l’avenir technologique, à la manière du transhumanisme. L’émergence d’un mouvement transhumaniste clairement identifiable commence dans les dernières décennies du XXe siècle. En 1966, FM-2030 (anciennement F.M. Esfandiary), un futurologue qui enseigne les « nouveaux concepts de l’Homme » à la New School de New York, commence à qualifier les personnes qui adoptent des techniques, des styles de vie et des conceptions du monde signalant une transition vers la posthumanité de transhumains (mot-valise formé à partir de « humain transitoire ») En 1972, Robert Ettinger contribue à la conceptualisation du transhumanisme dans son livre Man into Superman. En 1973, FM-2030 publie le Upwingers Manifesto pour stimuler l’activisme transhumaniste.

Les premiers transhumanistes se reconnaissant comme tels se rencontrent au début des années 1980 à l’Université de Californie à Los Angeles, qui devient le centre principal de la pensée transhumaniste. À cette occasion, FM-2030 tient une conférence sur son idéologie futuriste de la « Troisième Voie » (Third Way). Dans les locaux de EZTV, alors couramment fréquentés par les transhumanistes et futurologues, Natasha Vita-More présente un film expérimental, Breaking Away, daté de 1980, sur le thème d’humains rompant avec leurs limites biologiques et avec la gravité terrestre, s’en allant dans l’espace. FM-2030 et Vita-More commencent rapidement à organiser d’autres réunions transhumanistes à Los Angeles, rassemblant notamment les étudiants de FM-2030 d’une part et le public de Vita-More d’autre part. En 1982, Vita-More rédige le Transhumanist Arts Statement (Traité d’Arts Transhumanistes), et, six ans après, produit une émission de télévision sur la transhumanité, TransCentury Update, suivie par plus de 100 000 téléspectateurs.

En 1986, Kim Eric Drexler publie Engines of Creation: The Coming Era of Nanotechnology (deux sens possibles : Les rouages de la création : l’ère nouvelle de la nanotechnologie ou Engins de création :…), qui analyse les perspectives liées aux nanotechnologies et aux assembleurs moléculaires, et fonde l’Institut Foresight. Les bureaux de Californie du sud de l’Alcor Life Extension Foundation, la première organisation à but non lucratif effectuant des recherches sur la cryonie, œuvrant pour sa promotion et la mettant en œuvre, devinrent également un lieu de regroupement privilégié des futuristes. En 1988, le premier numéro d’Extropy Magazine fut publié par Max More (en) et Tom Morrow. En 1990, More créa sa propre doctrine transhumaniste qu’il exprima sous la forme des Principles of Extropy (« Principes de l’Extropie »), et jeta les bases du transhumanisme moderne en lui donnant une nouvelle définition :

« Le transhumanisme est une classe de philosophies ayant pour but de nous guider vers une condition posthumaine. Le transhumanisme partage de nombreuses valeurs avec l’humanisme parmi lesquelles un respect de la raison et de la science, un attachement au progrès et une grande considération pour l’existence humaine (ou transhumaine) dans cette vie. […] Le transhumanisme diffère de l’humanisme en ce qu’il reconnaît et anticipe les changements radicaux de la nature et des possibilités de nos vies provoqués par diverses sciences et techniques […]. »

En 1992, More et Morrow fondent l’Extropy Institute qui a pour but de densifier le réseau social futuriste et de promouvoir une réflexion collective sur les courants idéologiques émergents et les nouveaux comportements en organisant une série de conférences et, surtout, en rédigeant un carnet d’adresses : en conséquence, la pensée transhumaniste se voit diffusée pour la première fois, pendant la période d’essor de la cyberculture et de la contreculture cyberdélique. En 1998, les philosophes Nick Bostrom et David Pearce fondent la World Transhumanist Association (WTA, Association Transhumaniste Mondiale), une organisation non gouvernementale d’échelle internationale œuvrant afin que le transhumanisme soit reconnu comme digne d’intérêt par le milieu scientifique comme par les pouvoirs publics. En 2002, la WTA modifie et adopte la Déclaration Transhumaniste (The Transhumanist Declaration). La FAQ Transhumaniste, conçue par la WTA, donne deux définitions formelles du transhumanisme :

  1. « Le mouvement culturel et intellectuel qui affirme qu’il est possible et désirable d’améliorer fondamentalement la condition humaine par l’usage de la raison, en particulier en développant et diffusant largement les techniques visant à éliminer le vieillissement et à améliorer de manière significative les capacités intellectuelles, physiques et psychologies de l’être humain.
  2. L’étude des répercussions, des promesses et des dangers potentiels de techniques qui nous permettront de surpasser des contraintes inhérentes à la nature humaine ainsi que l’étude des problèmes éthiques que soulèvent l’élaboration et l’usage de telles techniques. »

Anders Sandberg (en) un universitaire et éminent transhumaniste, a recueilli d’autres définitions similaires. Le Dr Anders Sandberg croit que « le transhumanisme est la philosophie qui dit que nous pouvons et devrions nous développer à des niveaux supérieurs à la fois physiquement, mentalement et socialement, en utilisant des méthodes rationnelles » tandis que le Dr. Robin Hanson croit que « le transhumanisme est l’idée que les nouvelles techniques vont probablement tellement modifier le monde d’ici un siècle ou deux que nos descendants ne seront plus ‘humains’ sous de nombreux aspects ».

Les représentants de la WTA considéraient que les forces sociales constituaient un frein potentiel à leurs projets futuristes et qu’il fallait, par conséquent, statuer sur la position à adopter face à elles, mais toutes les organisations transhumanistes ne partageaient pas ce point de vue.

En particulier, un problème posé était celui de l’accès équitable des individus de classes sociales et de nationalités différentes aux techniques d’amélioration humaine. En 2006, après une lutte politique dans les rangs du mouvement transhumaniste entre la droite libertarienne et la gauche libérale, la WTA, sous l’égide de son ancien directeur James Hughes, a adopté une posture plus proche du centre-gauche. Toujours en 2006, le conseil d’administration de l’Extropy Institute mit un terme à ses activités, déclarant que sa mission était « remplie, dans l’essentiel » (« essentially completed »). La WTA a donc pris la place de principale organisation transhumaniste dans le monde. En 2008, afin de changer son image, la WTA adopta le nom de « Humanity+ » afin de donner une image de plus grandes valeurs humaine. Humanity Plus publie H+ Magazine, un périodique publié par R. U. Sirius et qui présente des actualités et des idées du transhumanisme.

Buts du transhumanisme

Bien que théoriciens et partisans du transhumanisme cherchent à exploiter la raison, la science et la technologie afin de contrer la pauvreté, la maladie, le handicap et l’insuffisance alimentaire dans le monde, le transhumanisme, lui, se distingue par l’intérêt particulier qu’il porte à l’application des techniques à l’amélioration du corps humain à l’échelle individuelle. Beaucoup de transhumanistes contribuent activement à l’estimation des apports possibles des techniques futures et des systèmes sociaux innovants à la qualité du vivant en général, tout en recherchant la réalisation pratique, par l’élimination des barrières congénitales du physique et du mental, de l’idéal d’égalité aux sens légal et politique.

Les philosophes transhumanistes soutiennent non seulement qu’il existe un impératif éthique de perfectionnisme, impliquant que les humains s’efforcent au progrès et à l’amélioration de leur condition, mais aussi qu’il est possible et souhaitable que l’humanité entre dans une ère transhumaine, où les humains auront le contrôle de leur évolution. Dans une telle ère, l’évolution naturelle serait remplacée par une transformation délibérée.

Certains théoriciens, comme Raymond Kurzweil, considèrent que le rythme du changement technologique est en train de s’accélérer et que les cinquante prochaines années verront apparaître non seulement des avancées technologiques radicales, mais aussi une singularité technologique, un point d’inflexion qui changera la nature même de l’homme. La plupart des transhumanistes considèrent cette rupture comme désirable, mais mettent en garde contre les dangers inhérents à une accélération brutale du progrès technologique. Ainsi, ils jugent nécessaire la responsabilisation de tous les acteurs de ce progrès pour éviter toute dérive grave. Par exemple, Bostrom a abondamment écrit sur le risque existentiel lié à la préservation de la santé future de l’humanité, y compris sur les risques qui pourraient découler de l’émergence des nouvelles techniques.

Éthique

Les transhumanistes s’engagent dans des approches interdisciplinaires pour comprendre et évaluer les possibilités de dépasser les limitations biologiques. Ils s’appuient sur la futurologie dont les divers domaines de l’éthique tels que la bioéthique, l’infoéthique, la nanoéthique, la neuroéthique, la roboéthique, et la technoéthique proviennent principalement mais pas exclusivement d’une philosophie utilitariste, et d’une perspective libérale du progrès social, politique et économique. Contrairement à beaucoup de philosophes, critiques sociaux, et activistes qui placent une valeur morale sur la préservation des systèmes naturels, les transhumanistes voient au mieux le concept spécifique de ce qui est « naturel » comme problématiquement nébuleux, et au pire comme un obstacle au progrès. En relation avec cela, beaucoup des principaux défenseurs du transhumanisme jugent les critiques de ce dernier provenant de la droite et de la gauche politique, comme « bioconservateurs », ou « néo-luddistes », ce dernier terme faisant allusion au mouvement social du XIXe siècle de l’anti-industrialisation, opposé au remplacement des travailleurs humains par des machines.

Courants de pensées

Il y a une variété d’opinions au sein de la pensée transhumaniste. Beaucoup des principaux penseurs transhumanistes ont des vues qui sont constamment révisées et en développement47. Quelques courants distinctifs du transhumanisme sont identifiés et listés ici dans l’ordre alphabétique :

  1. L’abolitionnisme (impératif hédoniste) (en)
  2. Le transhumanisme démocratique, synthèse de la social-démocratie et du transhumanisme.
  3. L’extropianisme
  4. L’immortalisme fondé sur l’idée que l’immortalité est technologiquement possible et désirable.
  5. Le postsexualisme (en), la recherche de l’élimination volontaire du genre dans l’espèce humaine par l’application de biotechnologies et de technologies de reproduction assistée.
  6. Le singularitarianisme fondé sur l’idée qu’une singularité technologique est possible et souhaitable.
  7. Le technogaïanisme (en), une démarche écologique fondée sur l’idée que le progrès technologique peut permettre de restaurer l’écosystème notamment par le biais des technologies alternatives.
  8. L’uplifting, également connu sous le nom de transbiologisme, considère que l’humanité a le devoir d’amener les autres espèces au même niveau « d’intelligence » et de « civilisation ».
  9. Le transhumanisme libertarien (en)
  10. https://fr.wikipedia.org/wiki/Association_fran%C3%A7aise_transhumaniste
 

https://www.youtube.com/watch?v=lhjUDeqBhZw

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Paix et sincérité.

Eveil-delaconscience

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