Ils existent sur terre, dans la mer, mais aussi dans la lave, des créatures miniatures qui se cachent… Parfois elles peuvent s’expliquer grâce aux recherches pousser, mais aussi à l’aide de référencements minutieux.

Quand les personnes ne connaissent pas, ils le définissent avec des sujets qu’ils ont appris à l’école ou en apprentissage, croyant que tout ce qui existe dans les livres est la seule vérité.

L’être humain ne peut pas tout savoir, pourtant, nous avions tous iles jours des personnes qui croient en leurs illusions.

Pour Eveil-delaconscience, Les RODS :

1 Ne sont pas des insectes

2 N’ont pas une morphologie – encore analyser, prouvant la rapidité et leu role sur terre.

3 La forme des RODS, ne se rapproche pas des oiseaux, mais d’inventions humaines – un genre de Mini robot – Nanorobot a l’échelle millimétrique, étant capturé par vidéo.vOUS SEREZ ÉTONNÉ DE SAVOIR CE QUE FAIT DARPA – LA MDECINE AVEC LES NANOROBOT – XENOBOT OU OBJET CONNECTÉ AVEC L’ IA.

4 l’œil ne voie pas la forme ( la vitesse est trop rapide – ce qui ne veut pas dire que ce sont des insectes, car les rods ne se posent pas sur :

une pierre,

un rocher,

ou le sol

ILS SONT SEULEMENT CAPTURÉ QUAND ILS VOLENT.

Rods – Vidéo :

Propagande au sujet des RODS SUR INTERNET :

Les fulgures (« Rods » en anglais) font partie des dernier-nés de la cryptozoologie.

Ils s’agirait de créatures volant si vite dans les airs que l’œil humain ne serait pas capable de les voir. Certains pensent cependant qu’ils ne sont rien d’autres que des artefacts engendrés par le déplacement à vive allure de certains animaux.

La quasi-totalité des observations de fulgures se sont faites par enregistrement vidéo, peut-être en raison de la capacité des appareils vidéo à produire des artefacts lorsqu’ils enregistrent le vol rapide d’animaux, insectes ou oiseaux. La toute nouvelle popularité des fulgures est le fruit d’une nouvelle exposition médiatique.

Observations :

On a recensé des fulgures aux États-Unis, au Japon, au Canada, en Chine, en Irak et dans plusieurs pays européens. José Escamilla s’est proclamé spécialiste mondial des fulgures, et dispose d’une large gamme de vidéos.

  • En français, les fulgures tirent leur nom de la vitesse fulgurante qui caractérise leur vol. Ils utiliseraient une membrane oscillante disposée autour d’un axe central pour se déplacer à très vive allure.
  • En anglais, Rod signifie perche ou bâtonnet.

BIZARRE?

Explication scientifique :

Pour d’autres, les fulgures ne seraient que des artefacts ou les conséquences du passage à vive allure, et près de l’objectif de la caméra, des insectes de la famille du sphinx, des phasmes proches de l’espèce Heteropteryx dilatata ou petits oiseaux très rapides, proches des colibri.

Les « Rods »: ça buzze dans le monde des Ovnis :

Mais c’est quoi un Rod?

Le Post de Buffalo « Ai-je photographié des extraterrestres? » a suscité beaucoup d’intérêt: il a été lu plus de 28 000 fois depuis sa mise en ligne mercredi dernier. Buffalo a ainsi mis en ligne une photo qu’il a prise en février dans l’Aude sur laquelle il y avait des traces blanches dans le ciel.

Parmi les commentaires, nombreux, un nom revient sans cesse, les Rods. Ainsi des commentaires affirment « il y a pleins de sites sur ce phénonème », d’autres mettent des liens vers des reportages consacrés aux Rods. Mais qu’est-ce qu’un Rod, chacun à sa propre définition, et c’est donc là que tout se complique!

Avant toute chose, Rod vient du mot anglais Rod explique un article de Wikipédia consacré aux RODS, qui signifie baguette. Ce nom a été donné en raison de la forme allongée du phénomène.

Les RODS, tout sauf des extraterrestres :

Capello dans son commentaire laissé sur Le Post explique ainsi: « Ce sont des RODS, et j’ai lu sur Science et Vie que ce sont tout simplement des insectes passant près de la caméra, ils semblent loin dans le ciel alors qu’ils sont devant l’objectif ».

Segocarib, qui laisse un commentaire sur Dailymotion, confirme l’explication de Capello en s’appuyant sur un article de Wikipédia:

« En gros, ce n’est que dû au temps d’exposition de la Caméra (genre 1/60e de sec), on voit  un insecte (200 battements d’ailes par minute) qui se déplace pendant ces 1/60e de secondes.

Ce ne sont pas 3 ailes que l’on voit mais la même paire qui bat 3 fois (200/60=3.3) et la tige, ce n’est que le corps de l’animal (un colibri c’est 80 battements par minute par exemple) que l’on voit pendant ce temps d’exposition. »

Le Post a contacté Jean-Jacques Valesco, un ufologue français,

membre du Conseil National d’Etudes Spatiales (CNES) et ancien dirigeant du groupe d’étude des phénomènes aérospatiaux non identifiés (GEPAN) et il est formel: « Je n’ai jamais entendu parler des RODS, pourtant j’ai analysé des milliers de témoignages ».

Quand on lui affirme que sur internet on trouve des sites spécialisés, le chercheur nous répond « vous savez, sur internet, on trouve tout et son contraire ».

Joint par Le Post, un membre du Centre de recherches et d’étude sur les phénomènes spatiaux, une organisation, nous explique qu' »il y a deux théories sur les RODS. Une rationnelle, qui veut que les RODS sont soit un artefact des appareils numériques, soit un insecte qu’on ne capte que via un appareil numérique. »

« L’autre théorie, plus irrationelle, veut que les Rods soient un univers parallèle que l’on capte grâce aux nouvelles technologies. Mais il n’y a aucune étude scientifique sur le sujet. Les Rods rejoignent un autre phénomène, les ORBS, qui sont des tâches de lumière qui existent sur les photos et les vidéos. »

rod1

Les RODS vus par les mordus d’invasion extraterrestre :

Si du côté de la rationalité on ne trouve pas grand chose, du côté de l’irrationalité, on est servi.

Ainsi, dans un commentaire laissé suite à l’article de Buffalo, des liens dirigent vers trois vidéos de Planète Choc, une chaîne documentaire du groupe Canal.
Dans ce documentaire qui joue sur le sensationnel, on apprend ainsi que les RODS sont un « tout nouveau phénomène » et que « pour certains, les Rods c’est l’invasion extraterrestre parfaite ».

Le documentaire met en avant un spécialiste du phénomène, José Escamilla qui est allé voir « des spécialistes au musée d’histoire nationale qui ont affirmé n’avoir jamais rien vu de de pareil ».

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