Les Yorubas (Yorùbá) sont un grand groupe ethnique d’Afrique, surtout présent au Nigeria, sur la rive droite du fleuve Niger, mais également au Bénin, au Ghana, en Côte d’ivoire où ils sont appelés Anango, et au Togo

La religion Yoruba comprend les concepts religieux et spirituels et pratiques traditionnelles des Yorubas .

Sa patrie est au sud-ouest du Nigeria et les parties adjacentes du Bénin et Togo , une région qui est venu à être connu sous le nom Yoruba . Yorùbá religion est formé de diverses traditions et n’a pas de fondateur unique.

Il a influencé ou donné naissance à une multitude de façons prospères de la vie tels que Lucumí , Umbanda et le Candomblé . ^[1] Yorùbá croyances religieuses font partie de Itan, le complexe total de chansons, des histoires, des histoires et autres concepts culturels qui constituent la Yorùbá société.

Croyances :

Selon Kola Abimbola, les Yoruba ont évolué une cosmologie robuste.

En bref, il s’avère que tous les êtres humains possèdent ce qu’on appelle « Ayanmo »  (le destin, le destin) et devraient, à terme, devenir l’un dans l’esprit avec Olodumare ( Olorún , le créateur divin et source de toute énergie). En outre, les pensées et les actions de chaque personne à Aye (le monde physique) interagissent avec tous les autres êtres vivants, y compris la Terre elle-même.

Chaque personne tente d’atteindre la transcendance et à trouver leur destin en Orun-Rere (le royaume spirituel de ceux qui font de bonnes choses et bénéfiques). Un Ori-Inu (de conscience spirituelle dans le domaine physique) doit se développer afin de consommer l’union avec son « Ipônri » (ORI Orun, soi spirituel).

Ceux qui cesse de croître spirituellement, dans l’un de leurs vies données, sont destinés à « Orun-Apadi» (le royaume invisible des tessons). Vie et mort sont dits cycles de l’existence d’une série de corps physiques tandis que son esprit évolue vers la transcendance.

Cette évolution est dit être le plus évident entre la Orisas , les vizirs divines de Dieu .

Iwapẹlẹ (ou équilibrée) récitation méditative et sincère vénération est suffisante pour renforcer les Ori-Inu de la plupart des gens.  Des gens bien équilibrés, on pense, sont en mesure de faire un usage positif de la forme la plus simple de lien entre leur Oris et l’omnipotent Olu-Orun: un Adura (pétition ou prière) pour le soutien divin.

Prière à Ori Orun de l’un produit une sensation immédiate de joie. Elegbara (ESU, le messager divin) initie un contact avec Orun au nom du pétitionnaire et transmet la prière à Ayé, le libérateur de l’ASE ou l’étincelle de vie. Il transmet cette prière sans le dénaturer en aucune façon.

Par la suite, le requérant peut être satisfaite avec une réponse personnelle. Dans le cas où il ou elle n’est pas, le Ifáoracle de la orisa Orunmila peut également être consulté.

Toutes les communications avec Orun, si simpliste sous la forme d’une prière personnelle ou compliquée dans la forme de ce fait par un initié Babaaláwo (prêtre de la divination), cependant, est alimenté en invoquant ASE.

Dans le système de croyances yoruba, Olodumare a ASE sur tout ce qui est. C’est pour cette raison qu’il est considéré comme suprême.

Selon l’un des comptes Yorùbá de la création , au cours d’une certaine étape de ce processus, la «vérité» a été envoyé pour confirmer l’habitabilité des planètes nouvellement formées. La terre est l’un de ceux-ci a été visité mais jugé trop humide pour la vie conventionnelle.

Après une période de succès du temps, un certain nombre de divinités ont été commandés pour accomplir la tâche d’aider la terre à développer sa croûte.

Sur l’une de leurs visites au domaine, la Obatala arc-divinité a pris à l’étage équipé d’un mollusque qui a tenu dans sa coquille une certaine forme de sol , deux bêtes ailées et un morceau de tissu comme matériau. Il a vidé le sol sur ce devint bientôt un grand monticule à la surface de l’eau et peu de temps après, les ailes-bêtes ont commencé à se disperser autour de ce jusqu’à ce que le point où il a progressivement transformé en un grand lopin de terre sèche, les différentes empreintes qu’ils ont créés devenant finalement collines et les vallées.

Obatala a sauté sur une haute terre et nommé l’endroit Ifè .

La terre est devenue fertile et la vie de la plante a commencé à s’épanouir. De poignées de terre, il a commencé à modeler des figurines.

Pendant ce temps, comme ce qui se passait sur la terre, Olodumare réuni les gaz des confins de l’espace et a déclenché une explosion qui a façonné dans une boule de feu. Il a ensuite envoyé à Ifè, où il a séché la plupart des terres et en même temps a commencé à cuire les figurines immobiles.

C’est à ce moment que Olodumare publié le «souffle de vie» à souffler sur la terre, et les figurines venu lentement dans «l’être» que les premières personnes de l’IFE. 

Pour cette raison, Ile-Ife est appelé localement comme le «berceau de l’existence».

Une autre version de la Création :

Les Yorùbá considèrent Olodumare comme le principal agent de la création.

Dans un autre récit du mythe de la création , Olodumare (également appelé Olorún) est le créateur. Au début il n’y a que de l’eau. Olodumare envoie Obatala à enfanter terre.

Obatala est descendu d’en haut sur une longue chaîne, apportant avec lui un coq , un peu de terre, et un peu de fer. Il a empilé le fer dans l’eau, la terre, le fer, le poulet et le sommet de la terre. Le poulet coups de pied et dispersé la terre, création de la terre. Parmi les autres divinités descendent sur elle pour vivre avec Obatala.

L’un d’eux, Caméléon, est venu en premier à juger si la terre était sèche. Quand il a dit qu’il était, Olodumare appelé le pays Ife pour « large ». Obatala alors créé l’homme sur la terre et appelé Olodumare pour souffler la vie en eux.

Certains disent Obatala était jalouse et voulait être le seul dispensateur de la vie, mais Olodumare lui endormir comme il a travaillé. Inversement, il est également dit par d’autres que c’est Obatala qui façonne la vie alors qu’il est encore dans l’utérus.

La religion yoruba dans le monde :

Article principal : l’histoire des Yoruba

Selon le professeur SA Akintoye, le Yoruba sont / étaient État exquis répartis dans le monde entier d’une manière sans précédent, la portée de leur culture est en grande partie due à la migration du personnel.

Une partie de ce mouvement a eu lieu au cours des périodes antérieures à l’ dynasties égyptiennes , tandis que la migration la plus récente a eu lieu au cours de la traite transatlantique des esclaves de l’1300-1900.

Pendant cette période, beaucoup ont été capturés et vendus dans le commerce atlantique des esclaves et transportés à Trinité-et-Tobago , Cuba , la République dominicaine , Puerto Rico , Brésil , Venezuela , et d’autres parties du monde. Avec eux, ils ont effectué leurs croyances religieuses. L’école de pensée intégrée dans ce qui constitue maintenant le noyau des «lignées Nouveau Monde»:

• Santería ou « Regla Lucumí » ( Cuba , Porto Rico , République dominicaine )
• Oyotunji ( États-Unis )
• Candomblé ( Brésil )
• Umbanda ( Brésil )
• Batuque ( Brésil )
• Trinité Orisha ( Trinité-et-Tobago )

Relations avec le vaudou :

Le populairement connu Vodou foi, dit être originaire parmi un groupe ethnique différent (les GbE parlant peuples moderne Bénin , Togo et Ghana ), part quelques similitudes avec la religion, et peuvent même être prises pour être théologiquement lié à certains niveaux.