Selon un rapport de L’OMS intitulé Standard Pour L’éducation Sexuelle en Europe, on peut y lire qu’il faut éduquer nos enfants à la sexualisation dès 4ans – Lisez le rapport par vous mêmes en le téléchargeant.

SACHEZ QUE La société à été catégoriser : ceci ne concerne pas que les hommes, cela concerne tous les êtres vivant sur terre.

Qui catégorisent les personnes ? Qui a réellement mis en place ce néologisme de mot qui ne catégorise plus qu’une seule catégorie de personne, un  » troisième genre   » ? C’est certainnement les recommandations de ‘LONU et de ses sociétés privées qui travaillent en coopération ! Il serait dommage que certaines association gouvernementale  ( ou société ésotérique comme la franc-maçonnerie ) souhaite que la population se divise, non dans un monde normal mais dans un monde ou tous le monde peut-être ce qu’il souhaite être.

je sais que cela est choquant et que vous aurez du mal à comprendre le sens, c’est pourtant la vérité : « l’éducation nationale et toutes les écoles française sont maçonniques », et proviennent des idées issues des loges  ( »La Franc maçonnerie »).   Vous n’avez qu’a voir par vous mêmes la déclaration des droits de l’homme avec L’ange et le démon, l’ouroboros ( le serpent – caducée inclus sur le logo de L’OMS), l’œil qui voie tous (en forme de triangle)  et qui est définis par les compagnons comme la connaissance.

Regardez par vous mêmes les logos et symboles.

La Franc maçonnerie est directement impliqué dans la modification du genre : la devise de la Franc maçonnerie est Le désordre par L’ordre… Imaginez le reste avec Vincent paillon (un franc maçon). Je vous laisse faire vos liens et vos mets à disposition ci-dessous la définition du troisième genre (par wikipédia):

L’état de n’être ni homme ni femme peut faire référence au sexe biologique, au rôle traditionnel des sexes, à l’identité sexuelle ou à l’orientation sexuelle.

Selon différentes cultures, le troisième genre peut désigner un état intermédiaire entre l’homme et la femme ou une appartenance simultanée aux deux genres (dans des expressions comme « l’esprit d’un homme dans le corps d’une femme »), l’état de neutralité, la capacité à changer de genre, ou encore une catégorie complètement séparée d’homme et de femme.

Cette dernière interprétation est considérée comme la plus stricte.

Ce terme a été utilisé pour décrire les chamanes, sipiniit et enfants inversement socialisés dans la culture inuit1, les Hijra d’Inde et du Pakistan, les Raerae de Polynésie, les Sworn virgin des Balkans3, entre autres, et il est utilisé par certains de ces groupes pour se décrire eux-mêmes.

Dans le monde occidental,les homosexuels, transgenres et intersexes ont été décrits comme faisant partie d’un troisième sexe, bien que certains contestent cette qualification.

Le terme « troisième » est habituellement compris comme « autre ». Certains anthropologues et sociologues en ont décrit un quatrième, un cinquième ou de nombreux autres qualifiés de « surnuméraires ».

Anna P , qui vécut de nombreuses années sous une identité d’homme, prise en photo pour le livre de Magnus Hirschfeld, Sexual Intermediates, en 1922. Aujourd’hui, Anna serait probablement considérée comme transgenre.

Chez les animaux présentant un dimorphisme sexuel, un certain nombre d’individus dans la population peuvent ne pas présenter les caractères de différentiation sexuelle propres aux mâles ou aux femelles.

Chez les humains, cela est appelé intersexuation, et dans le reste du monde animal, l’hermaphrodisme.

L’incidence de cette caractéristique varie selon la population, et selon la façon dont la notion de mâle ou femelle est comprise. La biologiste et théoricienne des genres Anne Fausto-Sterling a argumenté dans un article de 1993 qu’une classification en cinq genres serait plus appropriée pour décrire le corps humain que les deux habituellement admis.

En complément des sexes mâle et femelle (définis par la production de gamètes petites ou grandes, respectivement), le biologiste de l’évolutionJoan Roughgarden indique que deux autres genres existent chez des centaines d’espèces animales <

Les espèces ayant un genre femelle et deux genres mâles incluent le cerf élaphe (l’une des formes mâles dispose de bois, l’autre non) ainsi que de nombreuses espèces de poissons comme le saumon argenté et ceux du genre Porichthys 9.

Les espèces ayant un genre femelle et trois genres mâles incluent plusieurs espèces de poissons, dont Lepomis macrochirus, composée de quatre classes de tailles et couleurs présentant des comportements sociaux et reproducteurs distincts, ainsi que Oreochromis mossambicus. Un lézard arboricole, Urosaurus ornatus présente également cette caractéristique.

Les espèces avec deux formes mâles et deux formes femelles incluent le bruant à gorge blanche dont les formes mâles comme femelles portent des bandes claires ou sombres. Les individus à bandes claires sont plus agressifs et défendent un territoire, alors que ceux à bandes sombres apportent plus de soins parentaux. Les couples se forment, à 90 %, entre un oiseau à bandes claires et un oiseau à bandes sombres.

Lézard épineux, forme à gorge jaune

Le plus grand nombre connu de formes mâles et femelles se rencontre chez le lézard épineux d’Amérique du Nord, du genre Uta, avec cinq formes.

Chez les mâles : les individus à gorge orange, ultra-dominants et à haut taux de testostérone, contrôlent plusieurs femelles; les individus à gorge bleue, moins agressifs, contrôlent une seule femelle ; les individus à gorge jaune ne défendent pas de territoire mais se regroupent aux limites des territoires des mâles à gorge orange.

Chez les femelles : celles à gorge orange déposent de nombreux petits œufs et défendent un territoire ; celles à gorge jaune déposent un nombre plus limité de plus gros œufs.

Chez les insectes ou les oiseaux, de rares individus sont gynandromorphes, c’est-à-dire en partie mâle et en partie femelle.

Troisième genre dans les sociétés historiques :

Mésopotamie :

Dans la mythologie mésopotamienne, qui compte parmi les productions les plus anciennes connues de l’humanité, il y a une référence à un type de personnes qui ne sont ni hommes ni femmes. Selon le mythe de création sumérien retrouvé sur une tablette du second millénaire, la déesse Ninhursag présente un corps n’ayant ni organes génitaux mâles, ni organes génitaux femelles.

Sa place dans la société, assignée par Enki, est d’être « face au roi ».

Enki …. ?  →   →  Enki – Wikipédia

Ninhursag ….?  →    →  Ninhursag – Wikipédia

Dans le mythe akkadien de Atrahasis (vers -1700), Enki demande à Nintu, la déesse de la naissance, d’établir une troisième catégorie de personnes, en addition aux hommes et aux femmes, qui comprendrait les démons qui volent les jeunes enfants, les femmes infertiles et les prêtresses qui n’ont pas le droit d’être enceintes.

À Babylone, à Sumer et en Assyrie, certains types d’individus qui remplissaient un rôle religieux au service d’Inanna/Ishtar ont été décrits comme un troisième genre.

Ils pratiquaient la prostitution sacrée (hiérodule), la danse extatique, la musique et le théâtre, portaient des masques et des attributs des deux autres genres À Sumer, le nom cunéiforme qui leur était attribué était ur.sal (« chien/homme-femme ») et kur.gar.ra (aussi décrit comme homme-femme) .

Les universitaires modernes, en tentant de les décrire en termes des catégories de genre contemporaines, ont utilisé les termes de « vivant comme des femmes » ou en utilisant des qualifications d’hermaphrodite, eunuque, homosexuels, travestis, hommes efféminés (entre autres).

Égypte :

Des poteries portant des écritures, datant du Moyen Empire, trouvées près de Thèbes, listent trois genres :

tai (masculin), sḫt (« sekhet ») et hmt (feminin) . Sḫt est souvent traduit par « eunuque », bien qu’il n’y ait pas beaucoup d’éléments qui portent à penser que ces individus étaient castrés.

Un eunuque est un homme castré. La castration se limite généralement à l’ablation des testicules mais il arrive qu’elle concerne également le pénis, connue alors sous le nom de pénectomie (souvent avec un tube inséré pour garder l’urètre ouvert).

Dès le commencement de l’histoire, il y a des références aux eunuques.

Le mot vient du grec ancien : εὐνή eunê (« lit ») et ἔχω ekhô (« garder »), soit « gardien du lit » (en latincubicularius) — ce qui atteste le rôle traditionnel de l’eunuque comme gardien du harem.

La relation pathologique au corps caractérisée par le désir d’être un eunuque est appelée le syndrome skoptique, nom formé d’après la secte Skoptzy et codée dans le DSM-IV à la section 302.6.

Les actes d’autocastration restent extrêmement rares et surviennent la plupart du temps sur un terrain psychotique ou secondairement suite à un abus de drogue (telle que l’alcoolou une autre).

Ils sont potentiellement graves de par les complications sexuelles et urinaires qu’ils peuvent entraîner. La première description scientifique d’une autocastration a été faite en 190111, mais depuis les cas publiés sont rares.

Partagez ce savoir à vos proches en cliquant sur le bouton ci-dessous.

Paix et sincérité à tous !

Eveil-delaconscience

 

Pin It on Pinterest

Shares
Share This
%d blogueurs aiment cette page :