introduction

chapitres :

L’aluminium est un élément chimique, de symbole Al et de numéro atomique 13.

Propriétés physiques

Toxicologie

Alimentation et aluminium

Introduction

Dans le cours de mes recherches sur l’aluminium, je sui tomber sur de nombreux livres et documents, attestant que les éléments chimiques contiennent des charges conductrices – électriques-électromagnétique. Dans le domaine de l’alchimie, utilisant les métaux comme élément de jouvence – la pierre philosophale – changer le plomb en or, nous aident aussi a comprendre que les éléments ont des propriétés.

Que fait l’aluminium dans les aliments ?

Que fait l’aluminium dans l’atmosphère

Que fait l’aluminium dans les vaxxins ?

Que fait l’aluminium Dans l’eau en bouteille et robinet ?

Dans le livre documents de Virginie belle – Planète alu : quand L’aluminium nous empoisonne !

Omniprésent dans l’alimentation, les produits cosmétiques, les médicaments, les vaccins… l’aluminium est un produit hautement toxique, qui serait responsable de maladies graves.

La polémique autour de l’aluminium du quotidien, produits de l’industrie agroalimentaire, cosmétiques, médicaments, eau du

robinet, vaccins – ne date pas d’hier. Depuis les années 70 elle fait régulièrement couler beaucoup d’encre. Aujourd’hui elle franchit un cran et revient sous les feux de l’actua- lité grâce à l’ouvrage Quand l’aluminium nous empoisonne (éditions Max Milo) signé Virginie Belle, journaliste santé. Son livre révèle une enquête minutieuse de plus de

deux années, et s’appuie sur de nombreuses études d’éminents spécialistes de la santé, de scientifiques et de conseils de santé in- ternationaux. De plus, l’auteure a rencon- tré de nombreux malades dont

elle a recueilli le témoignage. Études à l’appui, elle affirme que ce métal pourrait être à l’origine de cancers et de mala- dies neurologiques graves et incurables.

« L’intérêt de ce livre tient au fait qu’il a permis qu’on reparle de la toxicité de l’aluminium dan

les cosmétiques et l’alimentation mais surtout dans les vaccins. Ceci étant dit, les agences de sécurité sanitaire ne s’en préoccupent toujours pas » constate Virginie Belle.

Ingéré ou injecté, l’aluminium s’avère un véritable poison
En menant une réelle enquête journalis- tique, un parfum de scandale sanitaire se profile à l’horizon puisqu’ingéré ou injec- té, l’aluminium est un poison, particuliè- rement lorsqu’il est utilisé comme adjuvant dans les vaccins. Ceux-ci, censés nous pré- munir, nous exposent à de nouveaux dan- gers : « Les adjuvants aluminiques sont très efficaces pour la majeure partie d’entre nous, mais chez une partie de la popula- tion, l’hydroxyde d’aluminium serait ca- pable de créer un grave désordre immuni-

taire en migrant dans le cerveau. Les premiers signes douloureux de la maladie myofasciite à macro- phages apparaissent quelques mois après la vaccination : dou- leurs musculaires et articulaires intenses, fatigue chronique et troubles cognitifs. La vie n’est plus la même avant et après cette ma- ladie. Certaines personnes ont de telles pertes de mémoire qu’elles

ne peuvent plus conduire, oublient leur chemin… c’est une vraie cochonnerie ». Ce problème concerne toute la population mondiale. En 2004, l’Agence française de sécurité des aliments (Afssa) et l’Institut de veille sanitaire avaient annoncé, dans leur rapport conjoint, qu’ils allaient finan- cer d’autres études épidémiologiques pour faire la lumière sur cette maladie. « Mais parmi les personnes qui ont rendu cet avis et qui constituent le comité scientifique de l’Afssa, on dénombre un grand nombre de conflits d’intérêts ».

Autrement dit, le rapport dort dans un tiroir et l’argument financier reste l’une des prin- cipales causes du maintien de l’aluminium dans les vaccins. Pour le reste, Virginie Belle est formelle : « Seuls nos choix de consommation pourront faire bouger les choses. C’est notre principal pouvoir, il faut s’en servir ». n

source :

FLASH Semaine du 21 février 2012 Zelda Meyer- Virginie belle – Planète alu : quand L’aluminium nous empoisonne !

L’aluminium est un élément chimique, de symbole Al et de numéro atomique 13.

C’est un métal pauvre, malléable, de couleur argent, qui est remarquable pour sa résistance à l’oxydation et sa faible densité.

C’est le métal le plus abondant de l’écorce terrestre et le troisième élément le plus abondant après l’oxygène et le silicium ;il représente en moyenne 8 % de la masse des matériaux de la surface solide de notre planète. L’aluminium est trop réactif pour exister à l’état natif dans le milieu naturel :

on le trouve au contraire sous forme combinée dans plus de 270 minéraux différents, son minerai principal étant la bauxite, où il est présent sous forme d’oxyde hydraté dont on extrait l’alumine.

Il peut aussi être extrait de la néphéline, de la leucite, de la sillimanite, de l’andalousite et de la muscovite.L’aluminium métallique est très oxydable, mais est immédiatement passivé par une fine couche d’alumine Al2O3 imperméable de quelques micromètres d’épaisseur qui protège la masse métallique de la corrosion.

On parle de protection cinétique, par opposition à une protection thermodynamique, car l’aluminium reste en tout état de cause très sensible à l’oxydation. Cette résistance à la corrosion et sa remarquable légèreté en ont fait un matériau très utilisé industriellement.

L’aluminium est un produit industriel important, sous forme pure ou alliée, notamment dans l’aéronautique, les transports et la construction. Sa nature réactive en fait également un catalyseur et un additif dans l’industrie chimique ; il est ainsi utilisé pour accroître la puissance explosive du nitrate d’ammonium.

La production mondiale de bauxite atteignait 211 millions de tonnes en 2010,l’Australie en assurant 33,2 % devant la Chine (19,0 %),le Brésil (15,2 %), l’Inde (8,5 %) et la Guinée (8,2 %) – la Guinée détient à elle seule plus du quart des réserves mondiales de bauxite, estimées fin 2010 à 28 milliards de tonnes.

La production mondiale d’aluminium métallique s’est élevée à 41,4 millions! de tonnes en 201015, dont la Chine a réalisé 40,6 % avec 16,8 millions de tonnes, loin devant la Russie (9,3 %) et le Canada (7,1 %).

Propriétés physiques :

L’aluminium est un métal mou, léger, mais résistant avec un aspect argent-gris mat, dû à une mince couche d’oxydation de cinq à dix nanomètres qui se forme rapidement quand on l’expose à l’air et qui empêche la corrosion de progresser dans des conditions normales d’exposition chimiques.

Ce film composé d’alumine se forme spontanément très rapidement quand l’aluminium est mis en contact avec un milieu oxydant comme l’oxygène de l’air. À la différence de la plupart des métaux, il est utilisable même s’il est oxydé en surface.

On peut même dire que sans cette couche d’oxyde, il serait impropre à la plupart de ses applications. Il est possible d’augmenter artificiellement l’épaisseur de cette couche d’oxydation par anodisation, ce qui permet d’augmenter la protection et de décorer les pièces en colorant la couche d’oxyde.

Contrairement à l’aluminium qui est un très bon conducteur, l’oxyde d’aluminium est un excellent isolant.

L’aluminium a une densité (2,7) environ trois fois plus faible que celle de l’acier ou du cuivre ; il est malléable, ductile et facilement usiné et moulé. C’est le deuxième métal le plus malléable et le sixième le plus ductile.

Il est paramagnétique et ne provoque pas d’étincelles.

Bombardé par un laser à électrons libres, l’aluminium devient transparent dans les ultraviolets extrêmes.

Cinétique dans l’organisme humain, et élimination

L’organisme d’un sujet sain contient au total de 30 à 50 mg (ATSDR 1999), surtout présent dans l’os (+/- 50 %), le poumon (environ 25 %) et le foie (20 à 25 %). Le reste est partagé dans d’autres organes, dont le système nerveux central et la rate. Les taux tissulaires et notamment dans le poumon et le cerveau augmentent avec l’âge (ATSDR 1999).

Le traçage isotopique (isotope radioactif 26Al) d’aluminium injecté montre que 24 h après l’injection, 99 % de l’aluminium sanguin est passé dans la fraction plasmatique. Peu à peu, le taux intra-érythrocytaire augmente pour atteindre 14 %.

L’aluminium se lie, dans le plasma, préférentiellement à la transferrine (80 %), et à l’albumine à hauteur de 10 %, les 10 % restants sont transportés par des protéines de bas poids moléculaire (LMW). L’Al-transferrine se dépose surtout dans la rate et le foie (riches en récepteurs-transferrine), pendant que l’Al-LMW se fixe dans l’os (qui ne contient pas de récepteurs-transferrine) .

L’homme élimine plus de 95 % de l’aluminium ingéré dans les fèces, et 83 % de l’aluminium qui aura passé la barrière intestinale sera éliminé par voie urinaire (avec une fonction rénale normale, la dose éliminée varie de 3 à 20 μg/ℓ d’urine 22,23,24,25. Des chélateurs (EDTA, déféroxamine…) en accélèrent l’élimination).

La demi-vie dans l’organisme varie selon l’importance et la durée d’exposition et la durée de la redistribution de l’aluminium à partir des organes qui l’ont stocké. Elle peut durer plusieurs années. Elle est triphasique : en phase 1, la moitié de l’aluminium est éliminé en quelques heures, en phase deux, 50 % de ce qui reste est éliminé en quelques semaines, et il faut habituellement plus d’un an pour éliminer la moitié du reste .

Toxicologie

Dans certaines conditions, l’aluminium est reconnu pour ses effets neurotoxiques.
L’« encéphalopathie des dialysés » (ou « démence des dialysés ») observée dès 1972, a pu être attribuée en 1978 à l’aluminium contenu dans le dialysat, qui s’ajoute à un apport oral d’hydroxyde d’aluminium visant à contrôler l’hyperphosphorémie du patient.

Des personnes exposées à l’aluminium (à la suite d’un traitement de dialyse) peuvent développer des complications au niveau du système nerveux central, la myofasciite à macrophages, l’encéphalopathie, l’épilepsie et des troubles de mémoire.

L’accumulation d’aluminium dans l’organisme peut aussi jouer un rôle dans d’autres maux comme le psoriasis, les insuffisances hépatorénales chroniques, l’anémie, l’ostéomalacie (os cassants ou mous), l’intolérance au glucose et les arrêts cardiaques chez les humains. Les cellules du cerveau des patients atteints d’Alzheimer contiennent de 10 à 30 fois plus d’aluminium que la normale.

La réglementation européenne impose maintenant aux centres de dialyse de mieux contrôler l’exposition des dialysés à l’aluminium, ce qui s’est traduit par une diminution de leurs taux sériques moyens, avec une diminution de 61,8 ± 47,5 μg/ℓ en 1988 à 25,78 ± 22,2 μg/ℓ en 1996 .

Parmi les sources d’exposition figurent les aliments, l’eau, les cosmétiques (en particulier les déodorants / antitranspirants sous forme de sels d’aluminium), les médicaments anti-acides. Les ustensiles de cuisine et le papier d’aluminium peuvent également en libérer (en quantité généralement négligeable) dans les aliments. C’est pourquoi son utilisation dans la fabrication de conduites d’eau est prohibée dans plusieurs pays.

Cependant, le sulfate d’aluminium est utilisé dans le traitement des eaux.
Des cas particuliers sont certains adjuvants de vaccins, et l’eau pour la dilution des concentrés pour hémodialyse, lorsqu’elle provient d’une station de production inefficace, ainsi que les poches de nutrition parentérale. Dans ces derniers cas, l’aluminium est directement injecté dans le système sanguin ou dans le muscle (autrefois la vaccination pouvait être sous-cutanée, mais elle est devenue intramusculaire).

En France, la campagne massive de vaccination à la suite de la Grippe A (H1N1) de 2009-2010 a relancé la polémique sur les risques de santé liés à cet élément car 47 % des vaccins commercialisés contiennent comme adjuvant de l’aluminium.

Et en 2012, on évoque à nouveau, sur la base d’un suivi plus large (statistiquement plus significatif) le lien entre aluminium et Myofasciite à macrophages.

Une étude parue en janvier 2012 dans la revue scientifique : Journal of Applied Toxicology publiant des articles de recherches originales concernant la toxicologie montre in vitro les effets néfastes des sels d’aluminium (chlorhydrate d’aluminium et chlorure d’aluminium) sur les cellules épithéliales mammaires humaines.

Tout cela avec des doses 1500 à 100000 fois inférieures à celles que l’on retrouve dans les déodorants contenant des sels d’ aluminium du commerce.

Alimentation et aluminium :

L’aluminium est utilisé comme colorant alimentaire, son numéro SIN est E17345,46.

30 % des Chinois consomment trop d’aluminium et dépassent la ration hebdomadaire tolérable provisoire (PTWI).

Dans le nord de la Chine, les habitants consomment environ de 5,1 mg d’aluminium par kilogramme de poids du corps, soit 2,6 fois plus que le volume recommandé par l’Organisation mondiale de la santé.

Il s’agit d’un usage dispersif de l’aluminium.

L’aluminium est aussi utiliser comme agent pathogène pour la modification climatique : Ce terme s’intitule la géo ingénierie , ↓

Il est utiliser sous différentes formes : L’ensemencement aérien en fait aussi partie.

https://www.eveil-delaconscience.com/comment-modifier-le-climat-%e2%9c%88-explication-du-rapport-du-11-aout-1987-usa-%e2%9c%88

LE PROBLÈME DES ADJUVANTS DANS
LES VACCINS CONCERNE TOUTE
LA PLANÈTE

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Paix et sincérité à tous !

Eveil-delaconscience

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