Nous voulons tous que le monde soi juste et équitable envers les habitants de cette terre… non ? Alors commençons par être juste envers nous-mêmes et ne nous mentons pas : seule vous et votre discernement pourrez faire la relation entre un fait et une chose inventée par l’Homme.

Encore beaucoup de personnes se disent croyantes. Connaissent-elles vraiment les aboutissants inclus dans chaque culture ? Religions ?

Dans cet article Eveil-delaconscience ne fera aucune encontre « envers les religieux ». En postant ceci, nous demandons à chaque personne de se poser des questions quand elle pratique un culte, une tradition ou une autre démarche. L’éveil commence avant tout par la reconnaissance : vous ne pouvez dire que vous êtes éveiller si vous pratiquer des cultes qui ont pour connotation d’appeler des démons ou faire des choses qui n’existe pas ou qui ont été inventer par l’humain.

Si vous chercher réellement l’histoire des religions et leurs fonctionnements, leurs façons de pratiquer des rites, mettre en place leurs idéologies… vous pourrez remarquez que toutes les religions pratiquent un culte « via des personnes qui n’existe que dans les livres et dans les contes Les démons  » divinités  »  inclus dans chaque rite où religion n’ont jamais exister, pourtant ils sont inclus dans la culture antérieur comme dans le présent : Ont peu sous entendre que l’illusion dans lequel nous vivons devient notre réalité.

En Franc maçonnerie, les templiers ont repris Baphomet comme représentation, Existe-t-il réellement a-t-il été imaginée aux dépens des mauvaises actions engendrée dans le passé ?

Constater par vous-mêmes et demander vous comment l’homme pourrait être en paix envers son prochain lorsqu’il se base quotidiennement sur des choses illusoires et irréel. C’est comme si l’on occultait votre temps d’espace libre afin de vous diviser de la nature.

Les sociétés secrètes comme de nombreuse pratique a été inventé par l’homme et à fait en sorte d’être en relation avec les démons : malheureusement, ceci concerne tous les domaines, ne vous étonnez pas que le mal prennent le dessus sur votre vie si vous laisser de telle chose se mettre en place ! Si vous êtes méchant envers votre voisin, ceci peut-être considérée comme maléfique : nul besoin d’être religieux ou crier  » c’est le diable  ».

La Bible en est un bel exemple métaphorique, elle à tendance à faire plus de référence envers les démons que jésus. Est-ce anodin où il ne peut y avoir de démon sans religion ? d’ange sans Homme ? De noirceur sans lumière?

N’extrapolerons pas sur les sacrifices. Je ne ferais que quelques allusions a l’aide de wikipédia pour vous donner des bases.

Notez qu’un démon ne peut-être inclus dans une religion : pour se faire il faut pratiquer un rite qui a parfois pour notion de

  • Créer pour détruire – ordo ab chao
  • Sacrifier
  • S’organiser
  • où bien tuer son prochain.

L’exorcisme nous prouve bien que le Vatican pratique un rite que seul certain initié comprenne :  Van Helsing relate se fait dans son film Ange et démons. Les francs maçons sont dans le jeu.

6_Satanisme - Le Codex Gigas

Dans la religion chrétienne,

Le terme de démon a acquis, de la part des ecclésiastiques, le sens d’ange déchu, d’esprit du mal ou de diable.Le christianisme antique et médiéval les présente comme invisibles, mais certains hommes d’Église et saints sont supposés en avoir vu (saint Venant, Guibert de Nogent, Raoul Glaber), ou avoir lutté avec eux (le saint Curé d’Ars).Le livre d’Hénoch, apocryphe du IIe siècle, introduit le mythe des anges déchus.

Selon cette croyance, les démons sont avant tout des esprits fait par Dieu pour être des anges, mais qui se sont détournés de leur Créateur à la suite de Lucifer.Plusieurs occultiste, théologiens ou philosophes ont tenté de classifier les démons en plusieurs catégories. En conséquence, il s’est développé autour de ce thème, un sujet d’étude appelé démonologie.

Dans de très nombreuses cultures, des êtres surnaturels, bienfaisants ou malfaisants, doués de raison, émanant de lieux ou de personnes sont supposés influencer les esprits des humains ou les lieux qu’ils traversent.

Ils sont appelés démons dans la littérature chrétienne, ou entre autres, Souras ou Dévas, Asouras, Daityas ou Dânavas chez les Hindous, Izeds ou Amschaspands chez les suiveurs du culte de Zoroastre, Cacodémon ou Agathodémon chez les Grecs, Lares et Larves dans la religion romaine, et Yasha dans la culture japonaise.

Mésopotamie :

La variété presque infinie des démons en Mésopotamie est à la mesure de l’imaginaire local. Les créatures démoniaques, agents ou simples vecteurs du Mal ont souvent été créés par les dieux, voire sont issus d’eux, en particulier du couple An (Le Ciel) et Ki (la Terre), ce qui souligne leur proximité avec les forces élémentaires.

certains sont à mi-chemin entre les génies malfaisants et de véritables divinités comme Lamashtu, fille d’Anu, Pazuzu, fils du dieu infernal Hanbu, Sulak ou encore Namtar, autre personnage divin des Enfers, fils d’Enlil. D’abord conçus comme les exécuteurs des châtiments décrétés par les dieux, qui se manifestent souvent par des atteintes physiques, les démons deviennent au 1er millénaire des entités maléfiques pratiquement autonomes émanant du monde infernal où ils cherchent à entraîner leurs victimes.

La « possession démoniaque » entraîne des maux physiques et moraux qui excluent de la société humaine ceux qui en sont atteints.

Les démons touchent leur victime par contact ou par une véritable « saisie » et sont souvent évoqués sous la forme d’un souffle ou d’un venin ; ils sont invisibles mais parfois entourés d’un halo. Leur corps est sale, impur et répand de mauvaises odeurs. Ils se glissent sans être vus dans les habitations et presque aucun obstacle matériel ne peut les arrêter. Tous les démons voient leur pouvoir néfastes particulièrement renforcés dans les lieux et les moments les moins bien contrôlés par l’homme : désert, ruines, endroits obscurs en général, nuit.

Ainsi le démon Allulaya, la courtilière, agresse sur la route le voyageur nocturne. Certains démons sont pourvus d’une véritable personnalité, mais la majorité sont plutôt des désignations génériques et œuvrent par groupe de sept (heptade). Une catégorie particulière est représentée par les Etemmu (sumérien : Gidim), les spectres.

Il s’agit d’humains ayant connu une mort violente ou souffert d’un défaut de rite funéraire, qui peuvent remonter des Enfers pour tourmenter les vivants. Ils s’introduisent par l’oreille et provoquent des désordres mentaux. On lutte contre leur atteinte appelée la « main de spectre » (qât etemmi) par des rituels et des pratiques magiques. Il est par ailleurs peu recommandé d’évoquer les Etemmu pour pratiquer la nécromancie, car ils se retournent souvent contre ceux qui les ont appelés.

Les démons Alû sont assez souvent rendus responsables des troubles du sommeil : les mauvais rêves, l’insomnie, mais aussi son opposée, la somnolence perpétuelle appelée « la main du démon Alû ». On trouve également les Kûbu, fantômes des fœtus morts avant terme, et, par opposition au « dieu protecteur » qui accompagne chaque individu, un « mauvais démon personnel », qui attaque les gens en s’attachant à eux individuellement. Certains démons sont enfin simplement la personnification de maladies comme l’épilepsie (Bennu), le mal de tête (Di’u) ou de mauvaises influences (le « mauvais œil »).

Antiquité :

Dans la religion grecque populaire, le démon (daimon) désignait une sorte de génie ambivalent, un être doué de pouvoirs surnaturels, capricieux et imprévisible, présent en des lieux étranges à des moments particuliers et à l’œuvre dans les évènements effrayants de la nature et de la vie humaine, mais susceptible d’être apaisé, contrôlé au moins par des moyens magiques » (W. Foerster, « Daimôn, daimonion, in Theological Dictionary of the New Testament, t. II, 1964, p. 8).

Hésiode, au VIII° s. av. J.-C., dans Les Travaux et les Jours (109-201), distingue cinq ou six catégories de puissances : les démons supérieurs ou dieux (race d’or), les démons inférieurs (race d’argent), les morts de l’Hadès (race de bronze), les héros sans promotion posthume, enfin les humains, actuels ou futurs (race de fer).

« D’or fut la race première des hommes de vie périssable, race créée par les dieux immortels qui peuplent l’Olympe. C’était au temps de Cronos, quand le ciel était son royaume, lorsque les dieux menaient une vie préservée des souffrances… Vint ensuite la race deuxième, de loin inférieure, race d’argent que créèrent les habitants de l’Olympe (…)

Depuis que le sol recouvrit leur race, les mortels les appellent les Bienheureux sous la terre, dieux seconds, dotés aussi de leurs privilèges. La troisième race des hommes de vie périssable, Zeus, de frêne, la fit de bronze… Les uns et les autres vinrent dans la vaste demeure d’ Hadès le lugubre, privés de nom…

Zeus le Cronide créa aussitôt sur la terre féconde la quatrième race, plus juste et plus valeureuse, race divine formée de héros, ceux-là même qu’on nomme demi-dieux… Si j’avais pu ne pas vivre parmi la cinquième race ! Être mort plus tôt ou être né par la suite !

Car la race actuelle est de fer : de jour, les misères, et, de nuit, les afflictions consument sans trêve les mortels… Zeus détruira cette race d’hommes vivant sur la terre, lorsque, après leur naissance, leurs tempes deviendront grises. Plus de père tel que le fils, de fils tel que le père, plus d’ami pour l’ami… »

« C’est Hésiode qui, le premier, de manière nette et déterminée, a recensé quatre genres d’êtres doués de raison : les dieux, ensuite les démons, ensuite les héros, et, en plus de tous ceux-là, les hommes. Opérant un tri parmi eux, il semble bien qu’il admet une transformation de la race d’or en une multitude de bons démons et des demi-dieux en héros. » (Plutarque, De la disparition des oracles, 10 : Dialogues pythiques, Garnier-Flammarion, 2006, p. 161.)

Pythagore voit des âmes ou esprits partout, elles sont des parcelles détachées de l’éther :

  • « L’air en sa totalité est rempli d’âmes, et ces âmes sont appelées démons et héros » (Diogène Laërce, VIII, 32, Le livre de poche p. 966).

Pythagore distingue quatre types d’entités spirituelles : dieux, héros, démons, humains. Les dieux sont des âmes immortelles, les humains des âmes mortelles. Les dieux habitent les astres, les héros glorieux l’éther, les démons la terre. Les héros sont de demi-dieux. Les démons « Daemon » tels qu’ils apparaissent dans la littérature grecque depuis Hésiode sont des êtres intermédiaires entre l’homme et la divinité, personnifiant tantôt les vertus morales, tantôt les forces de la nature.

Ils aident les dieux à organiser le monde et à faire respecter l’ordre moral. Le mot sert aussi bien à désigner l’être responsable de la destinée d’un être humain, que le génie spécifique d’une cité, d’un lieu, ou d’une famille. Il correspond au genius des Latins. Ainsi, Socrate, selon Le Banquet de Platon, considérait être inspiré par un démon particulier.

« En premier lieu, honore les dieux immortels, selon le rang qui leur est assigné par la loi.
Révère aussi le Serment. Ensuite, honore les héros glorieux
Et les démons terrestres en accomplissant les prescriptions de la loi.
Honore aussi tes parents et ceux qui sont nés dans ta parenté.

Vers d’or pythagoriciens, 1-4.

Platon, comme Hésiode, énumère dieux, démons, habitants de l’Hadès, héros et humains.

« On a discuté de la façon dont il faut parler des dieux, des démons, des héros et de ceux qui sont dans l’Hadès… Il nous resterait donc l’espèce des discours qui concerne les êtres humains. »

Les Romains admettent dieux, déesses, mânes (âmes des morts), lares (esprits tutélaires protégeant maisons, etc.), génies (esprits présidant à la destinée d’un lieu, d’un groupe, d’un individu), lémures (spectres de morts)…

Saint Justin (II° s.), le premier, voit dans les dieux du paganisme des envoyés du démon (Apologies, I, 5, 25-27). Il sera suivi par quantité de théologiens, dont Tertullien (De spectaculis), Lactance (IV° s.).

Le néoplatonicien Porphyre de Tyr (vers 260) se demande avec prudence comment distinguer les êtres divins de haut rang (dieux, archanges, anges, démons, héros, archontes du cosmos ou de la matière) de simples âmes, sans parler des esprits malins (antitheoi).

« Tu [toi, Porphyre de Tyr] t’enquiers de ce qui manifeste la présence d’un dieu, d’un ange, d’un archange, d’un démon ou de quelque archonte [gouverneur de planète] ou d’une âme. D’un mot, je prononce que les manifestations s’accordent à leurs essences, puissances et activités…

D’une seul espèce sont les apparitions des dieux ; celles des démons variées ; celles des anges, plus simples que celles des démons, mais inférieures à celles des dieux ; celles des archanges, plus proches des causes divines ; quant à celles des archontes, si tu entends par là les maîtres du monde qui administrent les éléments sublunaires, elles sont variées, mais rangées en ordre… »

Esprits décrits comme des démons dans le christianisme :

A

  • Aim ou Haborym – décrit comme démon dans le Pseudomonarchia Daemonum de Johann Weye .
  • Alastor – décrit comme démon dans le Dictionnaire infernal de Collin de Plancy.
  • Alocer – décrit comme démon dans le Pseudomonarchia Daemonum de Johann Weyer.
  • Amdusias – décrit comme démon dans le Pseudomonarchia Daemonum de Johann Weyer.
  • Amon – ancien dieu égyptien (Amon) décrit comme démon dans le Pseudomonarchia Daemonum de Johann Weyer.
  • Andras – décrit comme démon dans le Pseudomonarchia Daemonum de Johann Weyer.
  • Andrealphus – décrit comme démon dans le Pseudomonarchia Daemonum de Johann Weyer.
  • Andromalius – décrit comme démon dans le Clavicula Salomonis
  • Apollyon (du grec, signifiant ‘le destructeur’)- voir Abaddon
  • Asmodée – décrit dans le Livre de Tobie
  • Astaroth – déesse phénicienne Astarté décrit comme démon dans le Pseudomonarchia Daemonum de Johann Weyer.
  • Azazel – décrit comme démon dans le Lévitique

B

C

  • cambion – décrit comme un type de démon dans le Malleus Maleficarum.
  • Caym – ancien esprit de la mythologie celte décrit comme un démon dans le Pseudomonarchia daemonum.

Le Diable :

Le mot diable provient du grec ancien διάβολος (diábolos) (issu du verbe διαβάλλω « diabállô ») qui signifie « diviser ».

Le diable (latin : diabolus, du grec Διάβολος signifiant « celui qui divise » ou « qui désunit » ou encore « qui détruit ») est l’esprit du mal. Si dans le Manichéisme, le principe du mal est à égalité avec le principe du Bien, dans la tradition judéo-chrétienne, le mal est insufflé dans le monde par une entité, le Diable.

S’il est donc en cela l’esprit du mal, il est aussi le bien : ange déchu, donc d’une créature de Dieu et n’a pas été créé mauvais mais s’est déchu lui-même en se voulant l’égal de Dieu et en le rejetant. Ce faisant il a rejeté le Bien et il est à l’origine du mal :

« Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne se tient pas dans la vérité, parce qu’il n’y a pas de vérité en lui. Lorsqu’il profère le mensonge, il parle de son propre fonds; car il est menteur et le père du mensonge » (Jean chapitre 8 verset 44).

À l’origine du mal, esprit du mal dans le monde, il est représenté sous un aspect qui varie entre l’homme et l’animal réel ou imaginaire (ours, bouc, dragon, rapace, etc.), le plus souvent aux traits hideux et repoussants.

E

  • Eligos – décrit comme un démon dans le Pseudomonarchia Daemonum
  • Eurynome – divinité grecque archaïque décrit comme un démon dans le Dictionnaire infernal de Collin de Plancy

F

G

I

  • incube – décrit comme un type de démon vers la fin du XIVe siècle
  • Ipos – décrit comme un démon dans le Pseudomonarchia Daemonum

L

M

N

P

R

S

V

Z

Source :

Portail du christianisme

Quand les hommes cesseront de se mentir, ils cesseront de mentir aux autres. Ce sera le commencement de la véritable humanité. C’est ce que nous défendons.

Nous n’attaquons pas,nous exposons. Nous décrivons plusieurs phénomènes. Rien de plus. ».

Partagez ce savoir à vos proches.

Paix et sincérité à tous !

Eveil-delaconscience

Pin It on Pinterest

Shares
Share This
%d blogueurs aiment cette page :