1. Introduction
  2. Regardez votre carte d’identité, comme moi au microscope ou à travers votre fenêtre. 1A Après avoir vue cette puce, le mieux est de la détaillée en enlevant les couches et chercher plus loin.
  3. Remarquez que la carte d’identité a 3 Façon de s’identifier :
  4. Pourquoi a t-elle 3 façon de vous identifiez lorsqu’il faut juste une photo pour vous reconnaitre ?
  5. Regardons le chakra et la puce solénoïde :
    Le Chakra et la puce
  6. Regardons La puce Solénoïde et la Carte d’identité : Différence d’une carte vital et la carte a puce ( carte d’identité )
  7. Répercutions des ondes RFID et Solénoïde ( inclus dans la carte )
  8. Monopôle magnétique, corde de Dirac / un triple-solénoïde
  9. Carte d’identité & Sorcellerie ?
  10. Manipulation de l’esprit ?

Introduction

A travers mes diverses recherches et constat grâce à un microscope (différente analyse), je ne vous transmet pas cette publication pour vous dire que je détiens toute la vérité, « Là vérité est cachée par ceux qui mettent en place des stratégies » – les conspirateurs. Ce n’ai pas une théorie du complot de dire des faits, « c’est une théorie ou un complot ( la vérité) ». Quand certaines personnes disent qu’ils existent de Humains qui complotent sur cette terre, c’est parce qu’ils laissent des traces ou seulement des personnes éveillées peuvent les retranscrire. Les conspirateurs l’écrivent dans des livres, dans des rapports et dans les recherches qu’elles ont effectués à travers les expériences. Les expériences était théorique, et elles finissent par être dans vos mains, dans vos technologies et vos habitudes du quotidien – elles sont réelles pour ceux qui l’ont innové, imperceptible par ceux qui ne cherchent pas et ne peuvent pas concevoir comme réel.

Si personne ne fait rien, personne ne pourras appuyer des faits sur un sujet ou domaine qui n’existe pas. Ne pensez vous pas ? 

Beaucoup de rumeurs au sujet de la puce dans la carte d’identité circule sur internet : je tiens fortement à vous faire parvenir mes recherches – Elles viennent compléter la vidéo Marc Cohen au sujet des puces solénoïdes dans la carte d’identité. Taper marc cohen sur YouTube.

Ci-dessous les photos, textes en rapports avec la carte d’identité, ont été effectuées par moi même ( Eveil-delaconscience ). Je ne peux tout inclure en un seul article. Des personnes utilisent mal les propos que j’atteste – Prenez votre carte d’identité et faites comme moi, examinez là avec un microscope ou la mettant contre une fenêtre à laide de la lumière – définissez ce que vous pouvez comparé avec vos connaissances.

Cette article sera à compléter – j’ai ajouter divers points, qui se relient avec les propos de M Cohen. Désormais, ont peut sous entendre plusieurs façons de contrôler cette puce solénoïde ( mon exemple ne résume pas la finalité.) Je vous invite à me faire parvenir vos recherches a ce sujet, je ne détiens aucune vérité en stipulant tout ses propos, seule les informations disponible on rendu possible la mise en place de cette publication.

Cette publication à-t-elle un lien avec la puce RFID ? Regardez aussi mes recherches sur les puces, la biométrie ou le transhumanisme.

Plusieurs points seront à prendre en considération ; je vous invite a tous les prendre en compte.

Regardez votre carte d’identité, comme moi au microscope ou à travers votre fenêtre :

Vous remarquerez beaucoup de chose qui se cache. Des points se relient et font partie de la carte. Néanmoins, le plus choquant est celui qui se situe au niveau de votre gorge – dans la photo au niveau de votre cout, qui vous permet de vous identifié. Vous avez une puce au niveau de la George qui ne se voie pas à l’oie nue, mais grâce à la diffraction de la lumière ou à l’aide d’un microscope.

1A Après avoir vue cette puce, le mieux est de la détaillée en enlevant les couches et chercher plus loin.

j’ai regardé la puce à l’oeil nue. Pris un ciseau et découpé délicatement en contournant la photo- Enlevé cette puce et étudié comme marc Cohen, avec un microscope et morceau par morceau. On constate quelle à plusieurs couches. Il se cache une puce solénoïde. Sous forme simple : c’est comme un ouroboros avec de l’énergie. Ça se mord la queue, COMME L’HUMAIN.

Veuillez vous référé à ma publication sur les chèques bancaires.

2 Remarquez que la carte d’identité a 3 Façon de s’identifier :

1– La photo – votre photo

2 – Les Données ( les chiffres de votre identification )

3 – Le lieux , la Date , L’année de votre Naissance

3 Pourquoi a t-elle 3 façon de vous identifiez lorsqu’il faut juste une photo pour vous reconnaitre ?

FAITES ATTENTION ! ATTENTION À VOS CROYANCES ET VOS ILLUSIONS, LA VÉRITÉ SE CONSTRUIT EN VUE DE CE QUE VOUS CONNAISSEZ. IL EXISTE D’AUTRE RÉALITÉ ET FA9ON DE CONCEVOIR LE MONDE.

Pour identifié une personne, il suffit d’une seule immatriculation. Nul besoin de mettre diverses sources qui vous identifient hormis si… ( voir le 5ème point avec le chacra et la sorcellerie – le 7 émergent avec la puce solénoïde )

4 Regardons le chakra et la puce solénoïde :

Généralement une puce solénoïde sert a induire une source électrique ( et comme vous pourrez le constater une puce est loger dans votre carte d’identité..Ce qui ne veut pas dire forcément qu’elle aborde la même spécificité. Certains point sont a éclaircir .

Hormis ce principe ont peut constater que notre carte d’identité n’a pas d’hologrammes de sécurité . ( comme l’image le spécifie , aucune puce ne ressort de votre carte )

Pour en avoir le Cœur net , je vous l’est disséqué afin de bien comprendre .

exactement à la hauteur de la thyroïde ( gorge ), ont peut constater qu’une   petite pastille peu visible mais très légèrement en relief y est incruster .

( mettez la carte a la lumière de façon a voir les démarcations )

C’est probablement la raison de la normalisation stricte de la photo d’identité
Or, si poussé par une curiosité espiègle, l’on pratique une « délicate autopsie » de la pastille à l’aide d’un bon cutter, on y trouve en général un léger dépôt d’une poudre blanche (peut-être de la silice informée).

Personne ne sait à quoi cela sert, mais il y a fort à parier qu’il pourrait s’agir d’un système Rfid ‘ radionique ‘ solénoide ‘

5 Le Chakra et la puce :

Le terme Chakra est aujourd’hui plus connu pour désigner des « centres spirituels »

Vibration , Esprit , Éther , Air , Feu , Eau , terre

Pour ce qui est de la puce elle est placé au niveau de Ether :

( la communication – Vishuddha  ou encore Vishuddhi est le cinquième cakra majeur du tantrisme hindou.

Son nom sanskrit signifie: centre de la purification.

Dans le bouddhisme tibétain, la roue de la gorge est un centre important. Elle est circulaire, rouge, avec seize pétales ou canaux)

6 Regardons La puce Solénoïde et la Carte d’identité : Différence d’une carte vital et la carte a puce ( carte d’identité ) :

Une carte en matière plastique, voire en papier ou en carton, de quelques centimètres de côté et moins d’un millimètre d’épaisseur1, portant au moins un circuit intégré capable de contenir de l’information.

Le circuit intégré (la puce) peut contenir un microprocesseur capable de traiter cette information, ou être limité à des circuits de mémoire non volatile et, éventuellement, un composant de sécurité (carte mémoire).

Les cartes à puce sont principalement utilisées comme moyens d’identification personnelle (carte d’identité, badge d’accès aux bâtiments, carte d’assurance maladie, carte SIM) ou de paiement (carte bancaire, porte-monnaie électronique) ou preuve d’abonnement à des services prépayés (carte de téléphone, titre de transport);

La carte peut comporter un hologramme de sécurité pour éviter la contrefaçon.

La lecture (l’écriture) des données est réalisée par des équipements spécialisés, certaines puces nécessitant un contact physique (électrique), d’autres pouvant fonctionner à distance (communication par ondes radio).

Après ce flux d’information apporter a ce sujet vous comprendrez certainnement que la terre est une planète tellurique.., je me permets de vous dire que tout être humain vivant sur Terre a une force magnétique , électromagnétique non perceptible.

Exemple avec un IRM ( Imagerie par résonance magnétique ) :

Article : IRM et Radiofréquence : Est-ce la meilleure solution pour soigner L’homme ?

L’imagerie par résonance magnétique (IRM) est une technique d’imagerie médicale permettant d’obtenir des vues en deux ou en trois dimensions de l’intérieur du corps de façon non invasive avec une résolution en contraste relativement élevée.

L’IRM repose sur le principe de la résonance magnétique nucléaire (RMN) qui utilise les propriétés quantiques des noyaux atomiques pour la spectroscopie en analyse chimique.

L’IRM nécessite un champ magnétique puissant et stable produit par un aimant supraconducteur qui crée une magnétisation des tissus par alignement des moments magnétiques de spin.

Des champs magnétiques oscillants plus faibles, dits « radiofréquence », sont alors appliqués de façon à légèrement modifier cet alignement et produire un phénomène de précession qui donne lieu à un signal électromagnétique mesurable.

La spécificité de l’IRM consiste à localiser précisément dans l’espace l’origine de ce signal RMN en appliquant des champs magnétiques non uniformes, des « gradients », qui vont induire des fréquences de précession légèrement différentes en fonction de la position des atomes dans ces gradients. Sur ce principe qui a valu à ses inventeurs, Paul Lauterbur et Peter Mansfield le prix Nobel de physiologie ou médecine en 2003, il est alors possible de reconstruire une image en deux dimensions puis en trois dimensions de la composition chimique et donc de la nature des tissus biologiques explorés.

En imagerie médicale, l’IRM est principalement dédiée à l’imagerie du système nerveux central (cerveau et moelle épinière), des muscles, du cœur et des tumeurs. Grâce aux différentes séquences, on peut observer les tissus mous avec des contrastes plus élevés qu’avec la tomodensitométrie ; en revanche, l’IRM ne permet pas l’étude des corticales osseuses (tissus « durs ») trop pauvres en hydrogène, ni donc la recherche fine de fractures où seul l’œdème péri-lésionnel pourra être observé.

L’appareil IRM est parfois désigné sous le nom de « scanner », ce qui en français prête à confusion avec le tomodensitomètre. Contrairement à ce dernier (et à d’autres techniques d’imagerie comme la TEP), l’examen IRM n’est pas invasif et n’irradie pas le sujet. Cela en fait donc un outil de prédilection pour la recherche biomédicale, et notamment en neurosciences cognitives. À partir des années 1990, la technique d’IRM fonctionnelle, qui permet de mesurer l’activité des différentes zones du cerveau, a en effet permis des progrès importants dans l’étude des fondements neurobiologiques de la pensée.

7 Répercutions des ondes RFID et Solénoïde :

Un solénoïde est un dispositif constitué d’un fil électrique enroulé régulièrement en hélice de façon à former une bobine longue.

Parcouru par un courant, il produit un champ magnétique dans son voisinage, et plus particulièrement à l’intérieur de l’hélice où ce champ est quasiment uniforme. L’avantage du solénoïde réside dans cette uniformité qui est parfois requise dans certaines expériences de physique.

Mais il présente aussi des inconvénients : il est plus encombrant que les bobines d’Helmholtz et ne peut pas produire un champ magnétique élevé sans matériel coûteux et système de refroidissement. C’est au cours de l’année 1820 qu’André-Marie Ampère imagina le nom de solénoïde, lors d’une expérience sur les courants circulaires

Le solénoïde est modélisé par une série de N spires de rayons R, de même axe, parcourues par un même courant i et disposées régulièrement sur une longueur 2a. On note O le centre du solénoïde, et A et B ses extrémités.

On connaît le champ magnétique créé par une spire de courant sur son axe.Le champ magnétique créé au centre augmente si l’on rajoute des spires ou du courant, mais diminue si l’on agrandit le diamètre du solénoïde.

Remarque. l’expression du champ magnétique pour le solénoïde peut être obtenue à partir de l’utilisation du théorème d’Ampère en choisissant comme contour fermé un rectangle.

8 Monopôle magnétique, corde de Dirac

Si on considère un triple-solénoïde infiniment long de rayon très petit, le champ magnétique dans tout l’espace, sauf l’intérieur du solénoïde qui constitue une singularité appelée « corde de Dirac », est celui d’un monopôle magnétique.

Cet objet étrange est irréalisable en théorie, mais il a un certain intérêt en électrodynamique quantique.

Un monopôle magnétique est une particule hypothétique qui porterait une charge magnétique ponctuelle, au contraire des aimants habituels qui possèdent deux pôles magnétiques opposés.

Leur existence est exclue par l’électromagnétisme classique et la relativité mais en 1931 Paul Dirac en a démontré l’existence théorique dans le cadre de la physique quantique. En septembre 2009, des chercheurs ont observé des quasiparticules artificielles présentant les propriétés du monopôle magnétique. Mais à ce jour, aucune particule élémentaire « libre » disposant d’un monopôle magnétique n’a été observée.

Si une particule élémentaire disposant d’un monopôle magnétique était observée, les conséquences seraient importantes au niveau des théories d’unification des lois fondamentales de la physique car ces dernières s’opposent sur ce point.

La dissymétrie expérimentale des équations de Maxwell par rapport à la dualité électrique-magnétique est liée au fait que le champ électrique est généré par les charges usuelles qui lui donnent une divergence non nulle mais le champ magnétique est toujours de divergence nulle à cause de l’absence de charge ponctuelle correspondante. Expérimentalement, la seule source du champ magnétique provient de l’existence d’un courant électrique c’est-à-dire, un mouvement de charges électriques.

L’existence de monopôles magnétiques impliquerait donc également l’existence de courants magnétiques qui fourniraient également une source au champ électrique d’une nature différente des sources usuelles (charge localisée ou induction).

Bien qu’en électromagnétisme classique, l’existence des monopôles magnétiques ne soit pas compatible avec les équations de Maxwell et bien que la relativité restreinte permette de démontrer toutes les lois de Maxwell, dont celle qui prédit l’inexistence des monopôles magnétiques ; à partir de l’hypothèse de l’existence de la charge électrique, Paul Dirac démontra en 1931 que l’existence des monopôles magnétiques était compatible avec les équations de Maxwell dans l’hypothèse de la quantification de la charge électrique, qui -elle- est observée expérimentalement.

En physique des particules :

En physique des particules, les monopôles magnétiques seraient un type de particule élémentaire possédant une charge magnétique ponctuelle. Leur existence a été postulée pour la première fois en 1894 par Pierre Curie, et Paul Dirac en a formalisé l’aspect quantique en 1931.

Ce type de particule, non observé à ce jour, ne fait pas partie de la théorie du modèle standard, mais plusieurs théories de grande unification prévoient l’existence de monopôles ou au moins la possibilité de leur existence à haute énergie.

Ces théories ne sont donc actuellement pas encore validées ou invalidées en l’absence d’observations dans leur domaine de prédiction mais on peut imaginer des mécanismes expliquant leur non observation à notre échelle d’énergie habituelle d’observation.

Monopôles magnétiques vus comme des neutrinos magnétiquement chargés

Georges Lochak, directeur de la Fondation Louis-de-Broglie, a développé une théorie des monopôles magnétiques, vus comme des neutrinos magnétiquement chargés.

Cette théorie est utilisée par les chercheurs de l’Institut de physique nucléaire Kurtchatov (en Russie) pour expliquer les résultats d’une expérience de décharge électrique dans une feuille de titane. L’expérience a été reproduite avec succès à l’École centrale de Nantes.

La théorie de Lochak et les expériences de l’institut Kurtchakov font cependant l’objet de peu de publications en dehors des annales de la Fondation de Broglie, et ne connaissent pas un grand écho dans la communauté scientifique internationale.

Un modèle indépendant et complémentaire de celui de Lochak a été proposé par Michel Rambaut, faisant intervenir la résonance harmonique et les clusters d’électrons.

En physique du solide :

En septembre 2009, plusieurs expériences ont mis en évidence l’existence de monopôles magnétiques dans des cristaux, sous la forme de quasiparticules constituant les extrémités de cordes de Dirac (non infiniment longue). Tom Fennell à l’Institut Laue-Langevin et Jonathan Morris à Berlin ont créé les conditions permettant de reproduire artificiellement des monopoles de synthèse dans du titanate d’holmium et du titanate de dysprosium.

Un courant a également pu être mis en évidence et les chercheurs pensent que cette découverte pourrait avoir des conséquences dans le domaine de la microélectronique.

Il est à noter qu’hormis le comportement microscopique, ces quasiparticules n’ont pas de lien avec la notion usuelle de « monopôle magnétique » telle que décrite ci-dessus pour la physique des particules vu qu’il ne s’agit pas de particules élémentaires. Néanmoins, ces découvertes font progresser la spintronique vers l’ordinateur quantique.

Champ magnétique :

En physique, le champ magnétique est une grandeur ayant le caractère d’un champ vectoriel, c’est-à-dire caractérisée par la donnée d’une norme, d’une direction et d’un sens, définie en tout point de l’espace, permettant de modéliser et quantifier les effets magnétiques du courant électrique ou des matériaux magnétiques comme les aimants permanents.

Deux champs vectoriels apparentés portent le nom de champ magnétique, et sont notés \vec{B} (qui s’exprime en tesla) et \vec{H} (qui s’exprime en ampère par mètre). Si les normes internationales de terminologie prescrivent de réserver normalement l’appellation de « champ magnétique » ou d’« intensité de champ magnétique » au seul champ vectoriel \vec{H}, il est fréquent en physique fondamentale d’utiliser le terme champ magnétique pour le champ vectoriel \vec{B}, ce qui sera le cas dans le présent article, le champ \vec{H} étant en pratique plutôt utilisé dans l’étude de l’électromagnétisme des milieux continus.

Les différentes sources de champ magnétique sont les aimants permanents, le courant électrique (c’est-à-dire le déplacement d’ensemble de charges électriques), ainsi que la variation temporelle d’un champ électrique (induction magnétique).

La présence du champ magnétique se traduit par l’existence d’une force agissant sur les charges électriques en mouvement (dite force de Lorentz) et par divers effets affectant certains matériaux (paramagnétisme, diamagnétisme ou ferromagnétisme selon les cas). La grandeur qui détermine l’interaction entre un matériau et un champ magnétique est la susceptibilité magnétique.

Manifestations du champ magnétique :

Articles détaillés : Magnétisme et Électromagnétisme.

En physique classique, les champs magnétiques sont issus de courants électriques. Au niveau microscopique, un électron en « orbite » autour d’un noyau atomique peut être vu comme une minuscule boucle de courant, générant un faible champ magnétique et se comportant comme un dipôle magnétique. Selon les propriétés des matériaux, ces structures magnétiques microscopiques vont donner lieu à essentiellement trois types de phénomènes :

Dans certains cas, les champs produits par des électrons d’atomes voisins présentent une certaine tendance à s’aligner les uns par rapport aux autres, un champ magnétique macroscopique, c’est-à-dire une aimantation spontanée, est susceptible d’apparaître. C’est le phénomène de ferromagnétisme, expliquant l’existence d’aimants permanents. Il est possible de détruire le champ magnétique d’un aimant en le chauffant au-delà d’une certaine température. L’agitation thermique générée par le chauffage brise les interactions entre atomes proches qui étaient responsables de l’alignement des champs magnétiques atomiques. En pratique, le phénomène de ferromagnétisme disparaît au-delà d’une certaine température appelée température de Curie. Elle est de 770 °C pour le fer.

En l’absence de ferromagnétisme, ou à une température trop élevée pour que celui-ci apparaisse, la présence d’un champ magnétique externe peut amener les champs microscopiques à s’aligner dans le sens du champ. Ce phénomène est appelé paramagnétisme. La transition entre l’état ferromagnétique et l’état paramagnétique se fait par l’intermédiaire d’une transition de phase dite de second ordre (c’est-à-dire que l’aimantation tend continûment vers 0 à mesure que la température approche la température de Curie, mais que sa dérivée par rapport à la température diverge à la transition). Le premier modèle mathématique permettant de reproduire un tel comportement s’appelle le modèle d’Ising, dont la résolution, considérée comme un tour de force mathématique, a été effectuée par le prix Nobel de chimie Lars Onsager en 1944.

À l’inverse, certains matériaux tendent à réagir en alignant leurs champs magnétiques microscopiques de façon antiparallèle avec le champ, c’est-à-dire s’efforçant de diminuer le champ magnétique imposé de l’extérieur. Un tel phénomène est appelé diamagnétisme.

Un courant électrique, d’intensité I (I > 0), parcourant un fil crée un champ magnétique B autour de celui-ci.

Tout courant électrique, alternatif ou continu, génère un champ magnétique, ce qu’a montré l’expérience historique de Hans Christian Ørsted pour le courant continu.

La présence d’un courant permet donc d’influencer localement le champ magnétique, c’est le principe des électroaimants. Ce champ magnétique est d’autant plus intense que le courant l’est. Réciproquement, un champ magnétique variable est susceptible de générer un courant électrique. C’est le principe de l’induction magnétique qu’utilisent toutes les machines électriques.

9 Carte d’identité & Sorcellerie :

La sorcellerie désigne souvent la pratique d’une certaine forme de magie, dans laquelle le sorcier ou la sorcière travaille avec les énergies globales, que ce soit celles des plantes, des cycles lunaires, des saisons ou même des entités. Selon les cultures, la sorcellerie fut considérée avec des degrés variables de soupçon voire d’hostilité, parfois avec ambivalence. Certaines doctrines religieuses considèrent toute forme de magie comme de la sorcellerie, la proscrivent ou la placent au rang de la superstition. Elles opposent le caractère sacré de leurs propres rituels aux pratiques de la sorcellerie.

Manipulation de l’esprit :

Dans les vidéos que vous verrez ci-dessous, vous pourrez constater qu’a l’aide de simple fréquence L’homme peut manipuler l’esprit et contrôler le climat.

La manipulation mentale est l’ensemble des tentatives obscures ou occultes de fausser ou orienter la perception de la réalité d’un interlocuteur en usant d’un rapport de pouvoir, de séduction, de suggestion, de persuasion, de soumission non volontaire ou consentie. Quand ce pouvoir ne s’exerce pas sur un objet, mais se rapporte au contrôle psychique d’une personne, on parle de manipulation mentale. Cette notion protéiforme est récente dans ses contours, dérivée de la théorie du « lavage de cerveau » encore mal connue. Juridiquement, on lui préfère la notion de sujétion psychologique, le plus souvent dans le cadre d’accusations de dérives sectaires ou d’action d’ingénierie sociale.

Par extension, les techniques de manipulations de l’opinion publique ou de manipulations de masse sont l’ensemble des moyens d’influence  exercés sur une population à des fins économiques, militaires ou politiques.

Magnetic monopole Dirac’s quantization

Magnétisme :

Faites vos recherches. Quand les hommes cesseront de se mentir , ils cesseront de mentir aux autres. Ce sera le commencement de la véritable humanité. C’est ce que je défend.

Je n’attaque pas, j’expose. Je décris plusieurs phénomènes qui font partie de notre monde et qui en es au résulté, notre reflet. Rien de plus.».

Contribuez avec moi pour un monde meilleur et partager ce savoir à vos proches.

Paix et sincérité à tous !

Eveil-delaconscience

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