Introduction
Dans le livre de Dr. Louis de Brouwer m.d,La mafia pharmaceutique et agroalimentaire, il est dit
Learn The Risk Brandy Vaughan
Dénonciation par Wolfgang Wodarg au sujet des vaccins et du H1N1 qui n’existe pas, il a été financé par les industries.
Dans les publications de Sylvie simon « vaccins, mensonges et propagande »
Dans un communiqué de presse publié lundi 22 avril au matin, l’Union européenne a annoncé avoir autorisé la mise sur le marché d’un nouveau vaccin « 6-en-1 » pour les nourrissons. Par Jean-Marc Dupuis

Introduction

Ce qui se passe dans le monde ne me fait pas rire, il y a des nombreuses choses que vous devez savoir aux sujet de la médecine et des avancées technologiques disponible à travers les nano technologies ( de petites taille – nano) et des médicament ( drug delivery system). Il y a de nombreux brevets et documents que vous pouvez retrouver sur PUB MED, journal papers, science directe, qui atteste que les expériences NBIC – nanotechnologies biotechnologies informatique et cognitif – – passe toujours par l’animal pour être injecté dans le corps humain.  Je ne peux vous parler de toute mes recherches ici, je prendrais seulement quelques faits et sylvie simon avec son livre aux sujet des vaxxins.

voici quelques faits (avant propos à retenir) comme ;

Les recherches des nazis su la race arienne –

  • jose delgado https://en.wikipedia.org/wiki/Jos%C3%A9_Manuel_Rodr%C3%ADguez_Delgado

    il étudie la médecine à Madrid où il sera professeur associé de physiologie. Il rejoint l’université Yale en 1950 dans le laboratoire de John Farquhar Fulton qui travaillait alors sur la lobotomie. Il y expérimente chez l’animal, puis chez l’homme, la stimulation électrique du cerveau, ou E.S.B. (Electrical Stimulation of Brain), ainsi que la lecture de certains signaux cérébraux1. La stimulation et la lecture des signaux sont faites grâce à des électrodes implantées dans certaines parties du cerveau, pour constituer des implants cérébraux. Dans un premier temps, les électrodes sont reliées par un fil à un circuit électrique externe, puis, en raison de problèmes d’hygiène et de déplacement, il met au point un système radiocommandé : le « stimoceiver »2. Il écrit en 1952 son premier article sur le sujet. Delgado affirma que « le transmetteur peut rester dans la tête d’une personne durant toute sa vie. L’énergie pour le faire fonctionner est transmise par les ondes radio »3, il faisait peut-être référence à une batterie rechargeable par induction électromagnétique.

    En stimulant ainsi différents sites du cerveau, il parvient à plusieurs effets, sur la motricité, sur les émotions et l’humeur, et sur d’autres points.

    Motricité

    Delgado pouvait contrôler des animaux comme des « jouets électriques »1, en pressant différents boutons, il pouvait ainsi faire ouvrir et fermer les yeux à un singe, lui faire tourner la tête, bouger la langue et les lèvres, provoquer un grognement, le faire éternuer, bailler, augmenter ou diminuer fortement la quantité de nourriture consommée, faire tomber en sommeil profond ou maintenir éveillé, modifier le rythme cardiaque, il pouvait également forcer un chat à se lécher y compris durant son sommeil et le forcer à lever une patte1,2. Avec des stimulations dans l’hypothalamus, il pouvait contrôler la dilatation des pupilles « aussi facilement qu’un objectif d’appareil photo »1,2.

    Delgado fit également des expériences sur des humains, et réussit à forcer quelqu’un à plier les doigts, le signal électrique envoyé dans le cerveau étant supérieur à la volonté du patient (cobaye) de garder les doigts tendus1,2.

  • Wilfred Bion/ institut tavistolk 1947 – psychiatre et psychanalyste britannique, pionnier de la psychothérapie de groupe, de la psychanalyse groupale et de la théorisation sur la psychose. https://fr.wikipedia.org/wiki/Institut_Tavistock

  • L’auto assemblage – nano automata cellular

  • Quantum dots  – Cellular Automata

psychiatre et psychanalyste britannique, pionnier de la psychothérapie de groupe, de la psychanalyse groupale et de la théorisation sur la psychose.

 

mes recherches (en cours) seront partagé par la suite sur la page d’accueil ou sur le site.  je fais les liens et constate bien que l’école ne vous apprendra jamais ce que je vous transmet :

1 Les médecins considèrent que le corps d’un patient n’est pas capable de se défendre par lui même. De nombreux chercheurs ont publiés des rapports (publications et livres) décrivant  les effets indésirables après injection des composants dans les vaccins, des effets indésirables après avoir ingéré un médicament. Les états à l’aide des lobbies ( entreprise de marketing, fonctionnement sur le profit des êtres vivants, dénommé aujourd’hui Big pharma) suppriment et modifient les rapports, ne croyez pas que c’est que votre âme fait partie du roman : vous êtes juste « un numéro de sécurité sociale appartenant a l’état. »

Voir mafia médical – Brandy vaughan, sylvie simon etc..)

2 Les médecins, les pharmaciens travaillent pour des entreprises ( ou sont à leur compte avec un numéro de siret), et génèrent des profits en vendant des produits pharmaceutique à leurs patients. R

3 LA RELATION PRODUIT PATIENT NE PEUT-ÊTRE DIS RELATION PATIENT PRODUIT = SANTÉ : SANS PRODUIT IL N’Y A PAS DE PATIENT. « Trouver les traces financières et faites les liens avec les politiciens corrompus ». Bill gates est un bon exemple, suivez mes publications.

4 En regardant les rapports sur le site de – L’OMS – INSEE TAUX DE MORTALITÉ (etc..), pendant une épidémie (pandémie- crise sanitaire), ce n’ai pas le virus invisible qui tue le plus, ce sont les vaccins thérapeutiques et médicaments qui contiennent des produits chimiques visible.

Dans le livre de Dr. Louis de Brouwer m.d,La mafia pharmaceutique et agroalimentaire, il est dit :

La médecine moderne est gérée par une oligarchie puissante issue des grands groupes chimico-pharmaceutiques qui parviennent à conditionner les choix des gouvernements des politiques et des institutions de la santé grâce à de prodigieux moyens financiers. Une dénonciation sans concessions de toutes les fraudes abus escroqueries…

https://www.fnac.com/livre-numerique/a7474134/Dr-Louis-de-Brouwer-m-d-La-mafia-pharmaceutique-et-agroalimentaire

Dans la conférence de Brandy Vaughan – MERCKS : « l’obligation vaccinale, c’est pour le profit et pas pour la santé publique »

Tout savoir sur Brandy Vaughan et les vaccins toxiques https://www.eveil-delaconscience.com/une-ancienne-employee-de-merck-lavoue-lobligation-vaccinale-cest-pour-le-profit-et-pas-pour-la-sante-publique/

Learn The Risk Brandy Vaughan

Learn The Risk est un organisme à but non lucratif fondé en 2015 par Brandy Vaughan et pronant la liberté vaccinale. Brandy Vaughan commença sa carrière en tant que rédactrice professionnelle, rédactrice et consultante en marketing.

L’organisation est connue pour ses campagnes d’affichage affirmant que les vaccins sont responsables d’un grand nombre de décès de jeunes enfants par les vaccins2,3,4,5.

Dénonciation par Wolfgang Wodarg au sujet des vaccins et du H1N1 qui n’existe pas, il a été financé par les industries.
Wolfgang Wodarg, « AVAIT BIEN STIPULÉ AUX MÉDIAS QUE LES VACCINS ONT ÉTÉ FINANCÉ TROP VITE ET SON INEFFICACE DÈS LORSQUE NOUS SOIGNONS DES PERSONNES QUI NE SONT PAS MALADES NI INFECTÉS. » VOUS POUVEZ ÊTRE SUR QUE LA RÉALITÉ EST TRONQUÉ PAR LES MÊMES PERSONNES QUI VOUS INFORMENT.

Wolfgang Wodarg (né le ) est un médecin allemand et ancien homme politique membre du Parti social-démocrate d’Allemagne. Il s’est fait connaître en 2010 pour avoir exprimé l’avis que l’industrie pharmaceutique avait influencé les décisions de l’OMS en 2009 lors de la campagne de vaccination de la H1N1

Président du Comité santé de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, il co-signe une résolution le 1 qui est brièvement discutée en janvier 2010 lors d’un débat d’urgence. Wodarg appelle les élus européens à enquêter sur l’influence prépondérante de l’industrie pharmaceutique sur la campagne de vaccination de la H1N1 menée sous l’égide de l’Organisation mondiale de la santé (OMS)2. Il dénonce également la vitesse à laquelle les vaccins ont été créés à cette occasion, certains adjuvants insuffisamment testés et notamment le vaccin de Novartis, « produit dans un bioréacteur à partir de cellules cancéreuses. Une technique qui n’avait jamais été utilisée jusqu’à aujourd’hui ». Après cette mise en garde; la vaccin est interdit en Allemagne. Wodarg revendique l’idée que « les États doivent contrôler et mettre en œuvre eux-mêmes » les vaccins et pense « qu’il faut abandonner le système des brevets sur les vaccins3.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Wolfgang_Wodarg

Regardons ensemble ce qui est dit dans le livre de sylvie simon : « vaccins, mensonges et propagande » 1 !

Je ne vous parlerais pas ici de mes recherches sur les nanotechnologies2, les nanoparticules3, les polymères4, les nanoparticules lipidiques, les fœtus ( mrc5) dans les vaccins- ce sont les résultat trouvé quand des analyses ont été faites sur les vaccins – à l’aide de microscope ou de résonance électromagnétique. Cela pourrait vous faire peur, je prend en compte seulement ce que dis Sylvie simon5 dans son livre, ne rajoute pas les propos émis par Ghislaine Lanctot – La mafia médicale6; Profitez en pour faire une recherche sur google et de faire vos liens avec ce qui sera cité. Je partagerais ultérieurement des liens aux sujet des composants, des nanotechnologies et nouvelles innovations touchant différent domaine, se rejoignent électriquement, telle des nano fils électriques – polymères- hydrogel à graphene – nanocapsule.

Pourquoi le savoir ? Et en quoi ce que je vous partage, m’aidera à l’avenir ?

Vous devez accepter votre éducation mensongère pour comprendre pourquoi les vaccins et les nouvelles thérapies4 ne servent à rien hormis se faire de l’argent sur vous. Pourquoi les produits chimiques que l’on mange et que l’on s’injecte sont conçus artificiellement dans des laboratoires, comme les Organismes génétiquement modifiés OGM 4 ( si c’était que sa ); et pourquoi personne ne parle dans les grands journaux de ce que je dis dans mes publications. Des meurtres ont été engendrées par les entreprises qui utilisent la propagande : être en bonne santé tout en se faisant administré un produit ( j’ai bien dis produit ) pour vous vendre des maladies inventées – les rapports existent, mais ils sont trafiqués5.

Le mécanisme d’autodéfense que vous devez avoir face aux médecins, c’est de laisser personne interféré si car je suis en bonne santé; prendre un produit ou je ne connais pas sa composition peut faire de moi un être génétiquement modifié ou me tuer à petit feu sans même le savoir.

Je vous partage ici quelques points à bien prendre en compte pour le devenir de vos enfants :

L’éveil devra passer par là : Regarder les vidéos de Ghislaine Lanctôt, ex-médecin en bas de page – Il nous parait impossible d’ingurgiter une chose ( retenez bien ceci ), hormis si l’on ne ce fait pas lobotomisé le cerveau par des publicités ou une publication mensongère !

sylvie simon : Les preuves montre qu’il y a 99% des humains qui sont en bonne santé, et ceci même, quand il y a des ondes électromagnétiques nocives émise par vos portables ( et si c’était que cela, je pourrais en faire des livres). Il est indubitable : si les entreprises à laide des états qui sont financées par des organisations privées ne fessaient pas de vidéos ou des propagandes visant a utiliser des produits chimiques et nocifs, personne ne connaîtrait leurs produits et les ingurgiterait sans en savoir la provenance ni la composition.

https://youtu.be/x5YofOVvTkY

Dans un communiqué de presse publié lundi 22 avril au matin, l’Union européenne a annoncé avoir autorisé la mise sur le marché d’un nouveau vaccin « 6-en-1 » pour les nourrissons. Par Jean-Marc Dupuis

2 Je rappel :

Dans un communiqué de presse publié lundi 22 avril au matin, l’Union européenne a annoncé avoir autorisé la mise sur le marché d’un nouveau vaccin « 6-en-1 » pour les nourrissons. Ce vaccin, appelé Hexyon et produit par le laboratoire Sanofi, regroupe les vaccins contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, l’hépatite B, la poliomyélite et contre certaines infections comme la méningite.

Cette nouvelle est annoncée par les médias comme « une vraie avancée en matière de vaccination, à l’heure où les autorités sanitaires tentent par différents moyens (…) de redonner confiance aux Français en cette méthode préventive » (lu sur le site Informations Hospitalières).

En ce qui me concerne, cette nouvelle ne fait au contraire qu’augmenter mon inquiétude concernant les vaccins. Le fait de mélanger ensemble un grand nombre de vaccins est une méthode connue des laboratoires pharmaceutiques pour compliquer la preuve d’effets indésirables. Car plus il y a de vaccins dans l’injection, plus il devient difficile de prouver qu’un effet indésirable précis est lié à un des vaccins. Il faut un nombre de cas déclarés d’effets secondaires négatifs beaucoup plus important pour obtenir un niveau de preuve statistiquement fiable.

Or, cette tactique se développe justement au moment où le grand public réalise que les effets indésirables des vaccins sont tout sauf négligeables.

Des effets secondaires inquiétants Un nombre alarmant d’études scientifiques mettent actuellement en lumière les dangers des vaccins.

Il ne s’agit plus de mises en garde émanant de mouvements associatifs marginaux ou à tendances sectaires. Non, c’est maintenant la communauté médicale internationale elle-même qui exprime ses doutes, voire ses inquiétudes.

Le British Medical Journal, une revue mondialement connue et respectée pour sa rigueur scientifique, a publié le 30 janvier 2013 une étude démontrant que le vaccin contre la grippe H1N1 Pandermix avait causé des milliers de cas de narcolepsie chez les enfants, une maladie grave et incurable, sans que cette catastrophe ne soit compensée par des vies sauvées par ailleurs par ce vaccin. (1) Une association, quoique plus faible, a aussi été établie entre le vaccin contre la grippe et la maladie de Guillain-Barré (paralysie). (2)

Le Gardasil, vaccin contre papillomavirus et le cancer cervical, est aujourd’hui au centre d’un scandale qui n’en finit pas. Selon le décompte effectué par l’association Sanevax, ce vaccin est relié à 29 003 effets adverses graves et au moins à 130 décès. (3)

Le vaccin contre l’hépatite B, lui aussi, est fortement critiqué. Il est accusé de tuer les cellules du foie, alors qu’il est précisément supposé protéger contre une maladie du foie. (4) D’autre part, le 21 novembre 2012, le Conseil d’Etat français a reconnu que l’aluminium dans le vaccin hépatite B avait été la cause d’une terrible maladie invalidante, la myofasciite à macrophages, dont souffre depuis 1996 un employé de la ville de Paris, permettant à cette personne d’être indemnisée. (5) Des milliers de personnes, qui n’ont pas eu l’idée de porter plainte, pourraient être dans le même cas.

Vaccin-kids-crying

 

Les vaccins peuvent en effet contenir diverses substances notoirement toxiques même à faibles doses comme le formaldéhyde (cancérigène), le mercure (neurotoxique), l’aluminium (neurotoxique) ou le phénoxyéthanol. Les jeunes enfants sont particulièrement vulnérables à ces substances, qui peuvent affecter de façon dramatique leurs fonctions nerveuses et immunitaires.

Ces molécules sont employées comme adjuvants pour renforcer l’efficacité des vaccins en stimulant la réponse immunitaire. Ainsi les personnes prédisposées génétiquement peuvent voir leur immunité s’emballer et déclencher alors une maladie auto-immune, comme la fameuse myofasciite à macrophages, le syndrome de Guillain-Barré ou le syndrome des antiphospholipides, des effets secondaires rares et graves mais parfaitement connus.

L’aluminium pourrait aussi être une cause majeure de maladie d’Al zheimer et de cancer du sein, ce qui expliquerait les proportions épidémiques que sont en train de prendre ces maladies dans les générations d’après-guerre.

Un rapport risque/avantage douteux Ces effets indésirables sont toutefois présentés par les autorités médicales et la grande presse comme bénins par rapport aux « immenses avantages » qu’auraient des vaccins.

L’opinion publique leur prête en effet le mérite de nous protéger de nombreuses maladies infectieuses et d’avoir éradiqué toutes les épidémies qui décimaient autrefois nos pays : typhus, diphtérie, coqueluche, scarlatine, tuberculose, méningite, tétanos et bien entendu les maladies infantiles, rougeole, oreillon, rubéole, etc.

Et pourtant, en dehors du cas particulier de la poliomyélite (qui mériterait un article à elle seule), la vérité scientifique et historique m’oblige à écrire, sans hésiter, qu’il s’agit là d’une pure mythologie.

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Les maladies citées ci-dessus avaient cessé de faire des morts à grande échelle bien avant que l’on introduise les vaccins. C’est l’amélioration des conditions de vie, de l’hygiène, de l’eau potable, le recul de la malnutrition et du paupérisme qui expliquent l’effondrement du nombre de morts par ces maladies tout au long du 20e siècle.

Le cas emblématique de la diphtérie Je ne peux traiter dans cette simple lettre de toutes les maladies et me contenterai d’exemples symboliques. Mais des chiffres similaires à ceux cités ici existent pour les autres maladies pour lesquelles les gouvernements vaccinent à l’échelle industrielle. Les lecteurs qui voudront en savoir plus se reporteront pour cela à l’excellent dossier « Survey on Vaccinations in Europe » dont sont tirés les chiffres suivant. (6)

En Espagne, il y avait chaque année 5000 morts de diphtérie en 1900, mais seulement 81 en 1964, l’année où la vaccination systématique fut introduite.

En France, la vaccination obligatoire contre la diphtérie fut imposée en 1938. L’année suivante, il y eut 15 000 cas de diphtérie puis trois fois plus pendant la Guerre !

En Allemagne, il y avait 100 000 cas de diphtérie par an pendant la Première guerre mondiale. Les Nazis imposèrent le vaccin obligatoire contre la diphtérie en 1939. En 1940, il y avait à nouveau 100 000 cas, et 250 000 en 1945. Après la Guerre, la vaccination obligatoire fut abandonnée et le nombre de malades de la diphtérie baissa régulièrement, jusqu’à 800 annuellement en 1972 (un baisse de 99,2 %).

En Norvège, 555 personnes moururent de diphtérie en 1908, mais seulement 2 en 1939. Le pays fut alors envahi par l’Allemagne, qui imposa le vaccin : le nombre de personnes touchées par la diphtérie monta à 22 787 cas en 1942 et près de 700 morts.

Ces chiffres indiquent que la diphtérie se répand lorsque les conditions de vie se dégradent (guerre), et que les campagnes de vaccination sont malheureusement impuissantes à enrayer le phénomène.

En revanche, le retour à la prospérité et à une meilleure hygiène de vie s’accompagnent d’un recul de la maladie, jusqu’à une disparition quasi-totale.

Ils indiquent également que les gouvernements sont capables d’introduire la vaccination systématique de la population pour une maladie quasi-inexistante (cas de l’Espagne en 1964, de l’Allemagne en 1939).

Un phénomène général Les mêmes phénomènes ont été observés avec les autres grandes maladies infectieuses.

La fièvre typhoïde, qui décimait les armées de Napoléon et fit 5 à 7000 morts par an pendant la Guerre civile espagnole (à partir de 1937) fut quasiment éradiquée à la fin des années 50, sans qu’il y eut de campagne importante de vaccination.

Le vaccin contre la coqueluche ne commença à être administré que dans les années 40 aux Etats-Unis. En 1953, il fut autorisé en Angleterre. A ce moment-là, la coqueluche faisait 25 morts par million d’enfants de moins de 15 ans, contre 1500 en 1850. Une baisse de 98,5 % sans que le vaccin y soit pour quoi que ce soit.

En Espagne, la coqueluche ne faisait plus que 33 morts par an en 1965 quand furent lancées les campagnes de vaccination DPT (diphtérie, coqueluche, tétanos).

La scarlatine ne fait pratiquement plus aucun mort depuis les années 60 bien qu’il n’y ait jamais eu de vaccin.

En France, les campagnes à grande échelle de vaccination ROR (rougeole, oreillons, rubéoles) furent lancées en 1983, alors que le nombre de décès causés par la rougeole était tombé à 20 personnes par an, contre 3756 en 1906, une baisse de la mortalité de 99,5 % sans vaccin ! En Espagne, 18 473 personnes moururent de la rougeole en 1901, contre 19 en 1981. Les campagnes de vaccination nationales commencèrent pourtant en… 1982.

La tuberculose et le BCG Mais le cas le plus emblématique reste celui de la tuberculose. Censée être prévenue par le vaccin « BCG », cette maladie a en réalité plus vite régressé dans des pays comme la Belgique et les Pays-Bas, qui ne vaccinaient pas leur population, qu’en France, où tous les écoliers se faisaient vacciner.

Aujourd’hui, alors que le BCG n’est plus obligatoire ni en Allemagne, ni en Angleterre, ni en Belgique, ni au Luxembourg, ni aux Pays-Bas, ni en Espagne, et qu’il n’est imposé en Italie qu’à certains adultes à risque (personnel de santé, militaires…), la France continue à vacciner religieusement des millions d’écoliers chaque année.

Les études de l’INSERM sont pourtant sans appel : le nombre de décès par tuberculose avait déjà chuté de 80 % quand fut introduit le BCG obligatoire le 5 janvier 1950, malgré les très difficiles conditions de vie des années d’Après-Guerre. Les campagnes de vaccination n’ont ensuite eu aucun effet notable sur les courbes de la maladie.

Celle-ci a continué à régresser au même rythme qu’auparavant, avec l’amélioration de l’hygiène et la généralisation de l’eau courante. Ce qui n’est pas étonnant quand on sait que le fait d’être vacciné contre le BCG ne protège ni de l’infection, ni de la transmission de la maladie.

Les personnes qui meurent aujourd’hui de la tuberculose en France ne sont nullement des personnes qui n’ont pas été vaccinées, mais des personnes marginalisées socialement et souffrant de dénutrition.

Vaccin - semaine-europeenne-vaccination-recadre

Le problème est que le BCG comporte des risques importants d’effets secondaires, raison pour laquelle la vaccination obligatoire a été abandonnée dans les années 70 et 80 (sauf en France, où l’obligation a été supprimée en 2007). C’est en effet un vaccin vivant, qui pose des risques, y compris de décès, aux enfants et aux personnes dont le système immunitaire est affaibli. Une étude réalisée à Barcelone a indiqué une baisse significative des cas de méningite chez les jeunes enfants après l’abandon des campagnes de vaccination au BCG.

Ce n’est donc nullement la vaccination qui a permis à nos sociétés de sortir des grandes épidémies mais la prospérité économique. Celle-ci a permis une amélioration de l’hygiène, de l’alimentation et de l’habitat. Si ces conditions devaient se dégrader de façon significative, il est évident que, malgré tous nos vaccins, on assisterait à un retour en force de ces maladies, exactement comme cela fut le cas pendant la Seconde Guerre mondiale.

La vérité soigneusement dissimulée Actuellement malheureusement, une industrie gigantesque s’est développée pour assurer la vaccination de masse des populations du monde entier. Cette industrie est d’autant plus lucrative qu’elle est totalement financée par les gouvernements, et que les entreprises qui se partagent le marché sont protégées à la fois par des brevets (dont le respect est assuré par les pouvoirs publics) et par une réglementation touffue que seuls quelques grands groupes armés de bataillons de juristes peuvent comprendre et respecter.

Des milliards de vaccins sont administrés chaque année, et des dizaines de milliards d’euros sont encaissés par les multinationales pharmaceutiques.

Pour le seul vaccin contre la grippe A, le gouvernement français avait payé 1,5 milliards d’euros pour 94 millions de doses, ce qui fait quasiment deux doses par citoyen.

VAL-DE-REUIL : Sanofi Pasteur's vaccine manufacturing plant

A l’achat des vaccins, il a fallu ajouter le coût de :

  • la campagne de vaccination pour un montant de 35,8 millions d’euros,
  • l’acquisition de respirateurs pour 5,8 millions d’euros,
  • l’achat d’antiviraux pour 20 millions d’euros,
  • 150,6 millions d’euros de masques,
  • 41,6 millions d’euros de dépenses logistiques,
  • 290 millions afin d’indemniser les personnels de santé réquisitionnés,
  • 59,6 millions destinés aux frais d’information et à la campagne de communication,
  • 100 millions de « frais liés à l’organisation territoriale de la campagne de vaccination »,
  • et encore 375 à 752 millions d’euros de dépenses liées aux consultations de médecins, à la prescription de médicaments.

Finalement, le nombre de vaccins utilisés n’a été que de 4,5 millions, ce qui est une bonne chose, mais cela veut dire que sur les 94 millions de doses, 89,5 millions sont parties à la poubelle, une fois atteinte la date de péremption. (7)

Ce gaspillage révoltant a été dénoncé par le Professeur Bernard Debré et le député et médecin Jean-Marie Le Guen. Mais la presse a traité l’affaire comme un scandale isolé, sans lien avec la surconsommation systématique des autres vaccins, en France et à travers le monde.

Pas de suivi des accidents liés aux vaccins De même, personne ne se soucie actuellement des risques réels que vous faites courir à vos enfants en les vaccinant. Et s’ils tombent malades juste après la vaccination, vous pouvez être certain qu’on vous expliquera qu’il s’agit d’une pure coïncidence, y compris s’il y a décès.

Le cas arrive tous les ans à des milliers de parents. Leur enfant se fait vacciner et, dans les heures qui suivent, ils déclenchent de graves réactions pouvant aller des maux de tête aux vomissements, en passant par l’eczéma, l’hyperactivité, les perturbations du sommeil et un peu plus tard une maladie auto-immune incurable ou pire, la mort.

Dans la plupart des cas, les professionnels de santé, non seulement nient le lien avec le vaccin, mais ils ne déclarent même pas l’accident aux autorités de pharmacovigilance (agences responsables de surveiller les effets indésirables des médicaments) puisqu’ils considèrent qu’il n’y a pas de lien.

C’est ce qui est arrivé à la petite Christina Richelle, décédée suite au vaccin Gardasil contre le HPV (papillomavirus), et à tant d’autres personnes que l’on retrouve sur les innombrables sites d’information sur la vaccination. (8)

Un témoignage parmi d’autres, recueilli par l’EFVV (European forum for vaccine vigilance) :

« Je ne peux vous dire mon nom et je ne peux pas vous révéler l’identité de mon bébé parce que j’ai peur que cela me retombe dessus, mais j’ai voulu vous contacter en entendant parler de votre projet, parce que je suis si heureuse que quelqu’un entreprenne quelque chose. Mon bébé est mort dans les 24 heures après avoir reçu son premier vaccin DPT (Diphtérie, coqueluche, tetanos), il y a deux mois. Je me sens si horriblement mal, personne ne peut avoir la moindre idée de ce que c’est.

Elle était parfaite. Lorsqu’on lui fit l’injection, elle se mit à crier pendant au moins une heure, d’une façon bizarre. Puis elle parut très fatiguée, s’est endormie profondément, et ne s’est plus jamais réveillée. J’ai commencé à m’inquiéter parce qu’elle semblait dormir plus longtemps que d’habitude et lorsque j’ai voulu vérifier, j’ai remarqué qu’elle avait un peu vomi et qu’elle ne respirait plus. Ils ont du faire une autopsie mais ils n’ont pas pu identifier la cause du décès. Je sais que c’est le vaccin qui l’a tuée.

Elle n’avait pas été malade une seule fois jusque là. Mais plus je l’ai dit au corps médical, plus ils sont devenus hostiles. Aujourd’hui, j’ai peur qu’ils me prennent mon autre enfant et je ne veux pas qu’ils m’accusent d’avoir tué mon bébé. Je ne devrais pas avoir à vivre comme ça, c’est horrible. Je suis presque trop terrorisée pour pouvoir faire mon deuil correctement. Elle était si belle. »

Mais c’est très souvent le même scénario : officiellement, il ne peut y avoir aucun lien entre le vaccin et les accidents qui s’ensuivent. La plupart des médecins nieront farouchement l’évidence. Rien ne serait plus facile, pourtant, que de donner à chaque personne vaccinée un petit questionnaire, à renvoyer à l’Agence nationale du médicament, sur lequel elle noterait tous les effets anormaux qu’elle constaterait durant, par exemple, les huit jours suivant la vaccination.

vaccins

Cela permettrait très rapidement d’établir enfin des statistiques globales sur les effets indésirables réels des vaccins. Dans un cas comme cité ci-dessus, il est vraiment trop facile de déclarer que l’enfant est décédé « de cause inexpliquée » ou encore que c’est la « mort subite du nourrisson ». Parce qu’injecter un vaccin, cela consiste à introduire dans l’organisme non seulement des virus potentiellement dangereux (même artificiellement affaiblis) et des adjuvants que les systèmes immunitaires immatures ne supportent pas forcément.

Mais pour des raisons qui n’ont rien à voir avec votre santé ni le bien commun, et tout à voir avec les comptes en banques des industriels et des politiques, ce type de mesures n’est absolument pas envisagé aujourd’hui par les autorités sanitaires.

Que faire ?? Cela veut-il dire qu’il faille à arrêter de vacciner tous les enfants ?

Non. Car même si on a exagéré les bienfaits des vaccins sur la santé publique, et même si les dangers de la vaccination sont minorés, il existe probablement de nombreux cas où il est raisonnable de vacciner.

Le problème est que l’absence d’études sérieuses sur les risques et bénéfices réels des vaccins obscurcit considérablement le débat. Ni les citoyens, ni les professionnels de santé de bonne volonté, ne disposent aujourd’hui d’éléments fiables pour prendre des décisions éclairées.

Nous sommes donc obligés de jouer à la roulette russe avec les vaccins.

Il semble toutefois raisonnable a priori d’éviter tous les vaccins qui ne sont pas obligatoires, lorsqu’on est en bonne santé. Faire du zèle est coûteux, mais plus probablement encore dangereux.

Pour toutes les maladies, il y a des personnes « à risque », et d’autres qui le sont moins. Vacciner aveuglément tous les enfants avec tous les vaccins du calendrier vaccinal est dans la plupart des cas, nocif.

De plus, il ne faut pas oublier que même les vaccins obligatoires (DTPolio et BCG en France) ne le sont plus si votre médecin constate des contre-indications. Cela n’est pas théorique car de nombreuses personnes peuvent en fait présenter des contre-indications, en particulier les personnes allergiques, souffrant de maladies auto-immunes, ou ayant d’autres problèmes liés à leur système immunitaire. Un examen médical est donc recommandé avant toute vaccination, même si ce n’est pas prévu par le système.

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Une réforme indispensable et urgente Il est donc indispensable et urgent que les pouvoirs publics prennent des mesures visant à améliorer la connaissance des vaccins et l’information des médecins comme du grand public à ce sujet.

Une information transparente doit être donnée sur les dangers de chaque vaccin. S’il y a eu des morts, des personnes gravement handicapées, ou malades à vie, les personnes qui sont sur le point de se faire vacciner doivent en être informées.

Beaucoup de vaccins ont un rapport bénéfices/risques douteux. Une information lisible et facilement compréhensible doit figurer sur l’emballage des vaccins, indiquant clairement ceux qui sont indispensables, ceux qui ne sont nécessaires que dans certains cas, et ceux qui sont inutiles dans la plupart des cas.

Je rappel :

Je rappel que c’est aux médecins de s’assurer qu’ils ne font pas courir de risque inutile à leurs patients (serment d’Hippocrate). Rappelons-nous que les états cherchent quotidiennement à nous faire vivre dans l’utopie et que ce sera toujours à nous, ultimement, d’être responsable de tout ce que nous faisons au quotidien et ce que nous consommons pour avoir une bonne santé.

Quand un homme ou une organisation prend le dessus sur notre vie ( via une loi, une décision ) c’est qu’il veux soi faire partie de nous, soi ne faire plus qu’un avec nous. C’est cela que j’appelle un virus. Mais n’oublions pas que si un hôte n’ n’arrive pas à faire partie de nous, il meurt.

Cultiver la peur pour pouvoir vendre des produits est employé par les organisations qui veulent que vous soyez en bonne santé ? En administrant des composant nocifs qui vont s’auto alimenter à l’intérieur de votre corps ils vont surtout réussir a faire de vous un être accompli grâce à être synthétique ou biologique (  référence : un hôte; parasite; nanoparticule; smart dust; sensor; puce a adn etc…) : Transhumanisme ; Cybernétique; QUANTUM

Bien à vous,

 

vaccin-1

Les Vaccins sont inefficaces et dangereux 1-2 :

Les Vaccins sont inefficaces et dangereux 2 -2 :

Références A SAVOIR :

1 Nanoparticules1 : https://fr.wikipedia.org/wiki/Nanoparticule

2 Polymère2 : https://fr.wikipedia.org/wiki/Polymère

3 Biologie synthétique3 : https://fr.wikipedia.org/wiki/Biologie_de_synthèse

4 Nanomatériaux4 ! : https://fr.wikipedia.org/wiki/Nanomatériau

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