Et si l’on faisait une expérience sur les animaux avant de les appliquer sur nous, les humains ? C’est une question qui devrait être bannie, pourtant, tous les jours des entreprises se la posent.

«L’expérimentation animale est une fraude scientifique qui vous conditionne à consommer des produits sans même que vous connaissiez la provenance.» Que savez vous réellement sur les composants ? La plupart du temps, toutes les choses que vous utilisez au quotidien ont été testées dans un laboratoire avant d’être mis sur le marché.

Ne vous a-t-on jamais dit que les animaux sont enfermés dans des laboratoires ? Qu’ils meurent pour notre naïveté et notre plaisir de plaire au autres ?

Des laboratoires appliquent de multiples procédés qui affectent et peuvent tuer un animal → Est-ce sain ? C’est comme en médecine avec les médicaments : On donne à des patients des médicaments sans même que l’on connaisse vraiment la cause ni l’ effet. Sans cause il n’y a aucun effet. Nous sommes désolés de le dire ainsi mais il faut absolument que l’on prenne conscience du monde dans lequel nous vivions en ce moment même.

Les animaux suivants

Chats

Chiens

Grenouille

Lapin

Souris

Singe

Sont évaluer, tester et vérifier.

Article effectué en plusieurs points.

  1. L ‘expérimentation animale
  2. Utilisations et objectifs
  3. Souffrance
  4. Réduction du nombre d’animaux utilisés et méthodes alternatives
  5. Les raisons d’agir
  6. Élevage, abattage et commerce  
  7. La Vivisection animale c’est quoi ?
  8. Faire interdire l’élevage et la fourrure

L ‘expérimentation animale

consiste à utiliser des animaux comme substitut ou « modèle », pour mieux comprendre la physiologie d’un organisme et sa réponse à divers facteurs ou substances (pour en tester, vérifier ou évaluer l’inocuité ou la toxicité), et tout particulièrement pour tenter de prévoir ce qui se passe chez l’Homme.

pour des raisons de taille, de prix et de temps, la très grande majorité des expérimentations animales se font sur des rongeurs.

La souris commune étant de mieux en mieux connue au point de vue génétique, son usage augmente plus que celui des autres espèces, mais il existe d’autres animaux vertébrés ou invertébrés utilisés comme organismes modèles.

L’expérimentation animale est une pratique controversée, certaines personnes pensent qu’on fait ainsi souffrir des animaux, sans apporter aucun bénéfice ni pour eux, ni pour les humains.

De fait, l’examen scientifique de la question « L’expérimentation animale permet-elle de prédire ce qui se passe chez l’Homme ? » ne donne pas la même réponse selon les domaines : parfois utile, parfois inutile, mais souvent mal utilisée, telles sont les réponses que l’on trouve dans la littérature scientifique.

Selon le rapport 2003 de la Commission européenne sur l’expérimentation animale, environ 10 millions de vertébrés, dont environ 80 % de rongeurs et de lapins et 10 000 singes, ont été utilisés en 2002 par les États membres.

Une directive européenne a été approuvée en 2010 sur cette question, mais difficilement négociée et encore controversée ;

Ainsi certains gouvernements voudraient ne pas publier le fait que des animaux génétiquement modifiés soient utilisés, et l’Allemagne s’était abstenue de la voter (dans ce pays, la gestion de cette directive, sans concertation avec les chercheurs, relève aujourd’hui (2011) du ministère de l’agriculture et non de la recherche.

En complément de cette directive, de manière autonome, des scientifiques (suisses et allemands principalement) ont rédigé et lancé en novembre 2011 la « Déclaration de Bâle » (Basel Declaration), rapidement signé par près de 900 chercheurs ou laboratoires dont 500 hors de Suisse et d’Allemagne.

Ils voudraient qu’elle soit le pendant pour l’animal de la déclaration d’Helsinki de 1964 (et plusieurs fois révisée depuis) rappelant des principes éthiques et donnant des recommandations aux médecins et autres participants à la recherche médicale sur l’Être humain ou des études contenant des données à caractère personnel ou des échantillons biologiques non-anonymes.

Utilisations et objectifs :

La dose létale 50 est un exemple d’expérimentation animale qui a pour objectif de mesurer la toxicité des produits.

Les animaux servent également à expérimenter de nouveaux traitements, qu’ils soient médicamenteux ou chirurgicaux.

Dans ce dernier cas, l’utilisation d’animaux de grande taille (porcs et chiens surtout mais les rats et les souris sont le plus souvent utilisés) est nécessaire, les rongeurs étant trop différents de l’Homme, et malcommodes à manipuler de par leur petite taille.

Des réglementations nationales et internationales obligent les chirurgiens qui opèrent ainsi des animaux à pratiquer ces actes sous anesthésie, tant pour éviter la souffrance des animaux, que pour permettre des gestes précis sur un être détendu et immobile.

Les animaux permettent de tester les moyens de soigner, mais aussi de prévenir certaines maladies.

Quand les animaux n’ont pas spontanément la maladie que l’on souhaite étudier, on est conduit à leur donner (par exemple en leur faisant suivre un régime athérogène, ou en leur injectant un cancérigène), ou à sélectionner des animaux présentant spontanément la pathologie étudiée (par exemple des souris Min qui développent des cancers digestifs).

Un exemple précis d’études de prévention est donné par la base de donnée de chimioprévention, qui recense tous les essais de prévention du cancer colorectal.

L’expérimentation animale permet de comprendre le fonctionnement de l’organisme, des organes et des cellules.

Beaucoup d’études ne pourraient être menées ni chez l’Homme (car trop dangereuses) ni sur des cellules isolées (car faisant intervenir plusieurs organes en interaction, par exemple par des hormones).

C’est d’ailleurs l’un des succès le plus souvent avancé de l’expérimentation animale que la découverte des hormones par Claude Bernard, et la mise en évidence de l’insuline par Frederick Banting et John Macleod qui leur valu le Prix Nobel de médecine en 1923.

En fait, une partie des découvertes ayant valu à leur auteur un prix Nobel de médecine et de physiologie ont été obtenues à partir d’expérimentations animales.

https://www.youtube.com/watch?v=rFUrjuYI9xk

Souffrance :

Les animaux utilisés pour l’expérimentation sont des êtres sensibles, capables de ressentir la douleur. C’est pourquoi, ils vivent dans des conditions très contrôlées et soumises aux normes européennes.

Ainsi, ils proviennent d’établissements d’expérimentation ou de fournisseurs déclarés (l’utilisation d’animaux « domestiques capturés » est strictement prohibée).

De plus, l’expérimentation doit avoir lieu dans un établissement agréé et ne peut être conduite que par une personne titulaire d’une autorisation nominative d’expérimenter sur les animaux.

Enfin, la loi oblige les expérimentateurs à réduire toutes formes de souffrance ou d’angoisse (le recours aux analgésiques, par exemple, est très courant).

Les animaux de laboratoires doivent être et sont traités avec soin et respect (dans le cas contraire, le personnel de recherche s’expose à des sanctions pénales).

Certaines associations de protection des animaux affirment que ces lois ne sont pas appliquées, s’appuyant sur divers exemples dénoncés par leurs enquêteurs infiltrés dans des laboratoires/centres d’élevages qui ne sont cependant jamais cités, pour éviter toute poursuite.

Les associations de protection des animaux jouent un rôle important dans les discussions sur l’expérimentation animale et ont permis d’établir une législation plus respectueuse envers les animaux.

Réduction du nombre d’animaux utilisés et méthodes alternatives :

Les laboratoires de recherche ont l’obligation d’appliquer la règle des trois « R » : réduire, raffiner, remplacer.

  • Réduire : pour tous nouveaux projets, l’équipe de recherche doit fournir un protocole détaillé des expériences ainsi qu’une estimation du nombre minimum d’animaux qui seront indispensables à l’obtention de résultats statistiquement exploitables.
  • Raffiner : choisir un modèle apte à reproduire, le plus fidèlement possible, la pathologie étudiée. Limiter l’angoisse, l’inconfort et la douleur associés aux procédures expérimentales. Aucun résultat fiable ne peut émaner d’animaux en conditions de stress.
  • Remplacer : utiliser des méthodes de recherche alternatives à chaque fois que cela est possible.

Il existe différentes méthodes dites « alternatives », permettant de réduire le nombre d’animaux utilisés à des fins scientifiques.

De nombreuses hypothèses de recherches peuvent ainsi être testées in vitro (cellules en culture) ou ex vivo (organes ou tissus isolés). Ces méthodes permettent, d’étudier les mécanismes associés à certaines pathologies ou encore de tester l’effet de potentiels traitements.

L’utilisation de modèles informatiques de prédiction (méthodes in silico) peut aussi apporter de précieuses informations.

Dans certains cas, l’expérimentation in vitro a même complètement remplacé l’expérimentation animale (par exemple, produits cosmétiques dans l’Union européenne).

Les raisons d’agir :

Une barbarie insoutenable et polluante au service d’un luxe inutile ,

De l’élevage à l’abattage en passant par le piégeage, voyage au bout de l’enfer 50 millions d’animaux sont tués chaque année dans le monde uniquement pour leur fourrure.

Avec 6 000 fermes d’élevages, l’Union Européenne représente 70 % de la production mondiale de fourrures de vison et 63 % de la production de fourrures de renard.12 millions de visons sont tués chaque année au Danemark.

La liste des sacrifiés n’a pour limite que l’imagination des fourreurs : le loup, le lynx, le coyote, le raton laveur, le chinchilla, mais aussi des animaux domestiques comme le chien ou le chat, dont la Chine s’est fait une spécialité. La France élève, dans une vingtaine de sites, 190 000 visons.

6000 fermes d’élevage dans l’Union Européenne :

45 millions de victimes sont issues des élevages où elles vivent entassées dans des cages minuscules aux sols grillagés qui ne les protègent ni du froid l’hiver, ni de la chaleur l’été. Leurs excréments s’entassent à même le sol pendant des semaines.

Les zoologistes ont prouvé que les visons, après 70 générations d’élevage, ont les mêmes besoins qu’à l’état sauvage. En cages, ils développent des comportements anormaux et s’automutilent, ce qui ne préoccupe pas les éleveurs tant que la qualité des fourrures n’est pas menacée.

Contrairement à ce que font croire les fourreurs, il n’y a aucun rapport entre le bien-être animal et la qualité des peaux : les animaux sont en effet abattus à l’âge de 6 ou 7 mois, après la mue qui masque tous les défauts du pelage.

Les reproducteurs subissent quant à eux ces effroyables conditions de vie plusieurs années durant. Le taux de mortalité dans les portées est très élevé, les mères allant jusqu’à agresser leurs propres petits. Aucune loi ne réglemente l’abattage.

Pendaison, rupture de la nuque, gazage, injection, empoisonnement, électrocution génitale : qu’importe la méthode, seules priment la rentabilité et la qualité des peaux. Ces procédés barbares sont peu fiables et de nombreux animaux se « réveillent » durant le dépeçage !

L’élevage est, par ailleurs, très polluant. Gaspillage des ressources, incinération des carcasses et pollution des eaux par le lisier toxique :

un bilan inacceptable toujours passé sous silence. 5 millions d’animaux sont également massacrés dans la nature, en Russie, aux Etats-Unis et au Canada. Assommés, comme les phoques, ou capturés par des pièges à mâchoires, ils agonisent dans d’atroces souffrances.

Notre position :

Elevage, abattage et commerce  :

les législations des pays de l’Union européenne sont largement insuffisantes.

La France fait figure de mauvais élève dans la plupart des cas. Mis à mal par les campagnes de sensibilisation des années 80 et 90, le secteur est aujourd’hui en pleinessor avec un chiffre d’affaires qui progresse de 10% par an. Soucieux de continuer à faire des profits sur la torture animale, éleveurs, pays producteurs et fourreurs multiplient les initiatives. Un marketing de l’horreur que la Fondation Brigitte Bardot n’a de cesse de dénoncer, tant auprès de l’opinion que des institutions.

Faire interdire l’élevage et la fourrure :

La Fondation Brigitte Bardot demande la fermeture de tous les élevages français en vertu de l’article L214 du code rural qui stipule que « tout animal étant un être sensible doit être placé par son propriétaire dans des conditions compatibles avec les impératifs biologiques de son espèce ».

Elle s’élève également contre l’utilisation des fonds publics par l’Institut National d’Agronomie pour créer l’Orylag, une race de lapin uniquement destinée à la production de fourrure. Le département Poitou Charente en élève déjà à lui seul 100 000 par an.

Après avoir obtenu l’interdiction de la commercialisation des peaux de chien, de chat et de phoque dans l’Union Européenne, la Fondation Brigitte Bardot se bat pour faire interdire toutes les autres fourrures, qu’elles proviennent d’élevages ou de piégeage.

Malgré la propagande des fourreurs, il n’y a aucune raison de piéger les animaux dans la nature. Les animaux n’ont pas besoin de l’homme pour se réguler.

Contrairement aux idées reçues, la plupart des fourrures ne finissent pas en manteaux ! Conscients de l’image négative véhiculée par ces vêtements, l’industrie de la fourrure redouble d’imagination pour écouler sa marchandise de mort :

90 % de la production sert à la confection de cols, de revers et d’accessoires ! La fondation Brigitte Bardot combat activement la banalisation de la fourrure auprès de l’opinion.

Campagnes d’affichage chocs, sensibilisation et manifestations maintiennent une pression constante contre le lobby de la fourrure.

La Vivisection animale c’est quoi ?

La vivisection est une dissection opérée sur un animal vertébré vivant, à titre d’expérience scientifique, en particulier dans le but d’établir ou de démontrer certains faits en physiologie ou en pathologie.

D’une manière générale, elle désigne toute opération chirurgicale invasive à titre expérimental.

Le terme de vivisection est apparu vers 1820 dans les dictionnaires. Les définitions étaient lapidaires, par exemple : vivisectio, de « vivus, vivant, et de secare, couper ;

l’action d’ouvrir ou de disséquer des animaux vivants », ou bien : « de vivus, vivant, et de sectio, section, dissection…

action d’ouvrir ou de disséquer des animaux vivants dans un but expérimental quelconque. »

Les définitions sont devenues plus étoffées par la suite et en 1865, Nysten, Littré et Robin la définissaient comme les « expériences faites sur les animaux vivants… [les] opérations faites dans les écoles sur des vertébrés en vie… [les] inoculations…

[les] expérimentations… les expertises médico-légales… [et les] essais faits sur les animaux ». Suivait une longue justification de la chose, due aux protestations.

Définitions et justifications se sont amenuisées par la suite.

Plusieurs problèmes se posent pour définir la vivisection. Le premier concerne la nature de la victime. En fait, la vivisection n’est pas réservée aux animaux et peut aussi prendre comme victimes les hommes et les végétaux.

La vivisection est alors une « dissection sur le vif », que ce vif soit animal, humain ou végétal.

Il convient ensuite de différencier « vivisection » et « dissection ». La vivisection étant une dissection sur le vif, cela implique que la dissection ne s’effectue que sur le mort, le cadavre.

Mais cette particularité n’apparaît pas dans les définitions de la dissection. Il faut ici différencier la théorie (les définitions) de la pratique (les usages). Dans la pratique, la dissection concerne bien le cadavre et à partir du moment où elle concerne le vivant, elle devient vivisection. Tous les auteurs traitant de ces deux pratiques emploient ces mots dans ces sens-là.

Il ouvre aussi sur celui de la variété des pratiques expérimentales, dont la définition de 1865 tenait déjà compte. Le point précédent permet de différencier la vivisection d’une opération chirurgicale.

Cette dernière a pour but de soigner, c’est un acte médical. La vivisection n’a pas pour but de soigner mais de connaître, de tester. C’est un acte scientifique qui implique le plus souvent la mort de l’animal, son sacrifice, soit pendant l’expérience, soit après, pour son autopsie.

Ce sacrifice est l’autre raison des protestations. On peut aussi différencier la vivisection de l’expérimentation animale par une différence d’échelle. La vivisection, au XIXe siècle, était une pratique artisanale. L’expérimentation animale est une pratique industrielle.

Il y a d’autres différences entre les deux. Enfin, il faut tenir compte de l’aspect controversé de la vivisection et des protestations qu’elle suscite. Elle peut alors être vue comme « tout usage scientifique de l’animal provoquant des protestations ».

C’est une définition sociologique qui a l’avantage de tenir compte de l’aspect polémique de la pratique et de l’évolution des sensibilités. Ainsi, ce qui était vivisection à une époque peut ne plus l’être plus tard, ou inversement.

En définitive, la vivisection se caractérise par : usage scientifique d’un être vivant (le plus   souvent, un animal), conscient ou non (en principe, conscient, pour qu’on puisse vraiment parler de vivisection), dans un but de connaissance, opération douloureuse ou non (en principe, douloureuse, pour qu’on puisse vraiment parler de vivisection), sacrifice de la victime, pratique artisanale, entraînant des protestations.

La vivisection, au moins en ce qui concerne les pays d’Europe de l’Ouest et du Nord, doit être différenciée historiquement de l’expérimentation animale.

La vivisection s’est développée dans le cours du XIXe siècle comme l’atteste l’usage du mot. L’expérimentation animale n’a commencé qu’à la fin du XIXe siècle, l’expression apparaissant à cette époque dans les textes scientifiques.

La vivisection, dans son sens restreint de méthode, perdure certes dans l’expérimentation animale actuelle. Mais dans son sens large, comme synonyme de discipline scientifique – en l’occurrence la physiologie expérimentale -, d’expérimentation sur le vivant, voire de paradigme scientifique, elle est spécifique au XIXe siècle.

Elle s’est transformée en expérimentation animale à la fin de ce siècle du fait de la bactériologie et certaines différences entre les deux sont importantes: pratique artisanale pour la vivisection, centrée sur les techniques de la chirurgie, sur l’usage des animaux domestiques, chiens, lapins, chevaux et, pour les animaux non domestiques, grenouilles, pratique quasi exclusivement masculine…

pratique industrielle pour l’expérimentation animale, s’accompagnant de l’accroissement exponentiel du nombre d’expériences effectuées par année et du nombre d’animaux utilisés, du nombre de laboratoires et de scientifiques impliqués, centrée sur les techniques de l’infirmerie, notamment les injections, sur l’usage des rongeurs et pratique sociologiquement marquée par la féminisation des personnels.

La vivisection animale est l’un des aspects de l’expérimentation animale, plusieurs réglementations nationales et internationales obligent à placer sous anesthésie les animaux vivisectionnés.

https://www.youtube.com/watch?v=FEwl1GC83t8

Le saviez vous?

Selon les chiffres du ministère de l’Agriculture, 130 000 animaux ont été égorgés dans les 200 abattoirs permanents ou provisoires lors de l’Aïd 2010

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Pour que nos futures générations comprennent, arrêtons d’acheter des produits qui ont été testés sur des animaux.Selon les chiffres du ministère de l’Agriculture, 130 000 animaux ont été égorgés dans les 200 abattoirs permanents ou provisoires lors de l’Aïd 2010. Les médias ne parleront jamais de ces pratiques.Nos enfants ne peuvent pas porter des vêtements  ( ni se mettre du parfum ) qui on été expérimentés sur des êtres vivants.

Cet article a été mis à jour afin de bien comprendre l’ampleur du sujet. » La vérité n’est pas toujours agréable à entendre mais elle nous libère de la peur  » ! Pour que les choses change, il faut partager ce savoir de par et d’autres.

Partagez l’ article à vos proches.

Paix et sincérité à tous !

Eveil-delaconscience

Une barbarie insoutenable et polluante au service d’un luxe inutile

De l’élevage à l’abattage en passant par le piégeage, voyage au bout de l’enfer

50 millions d’animaux sont tués chaque année dans le monde uniquement pour leur fourrure. Avec 6 000 fermes d’élevages, l’Union Européenne représente 70 % de la production mondiale de fourrures de vison et 63 % de la production de fourrures de renard.12 millions de visons sont tués chaque année au Danemark. La liste des sacrifiés n’a pour limite que l’imagination des fourreurs : le loup, le lynx, le coyote, le raton laveur, le chinchilla, mais aussi des animaux domestiques comme le chien ou le chat, dont la Chine s’est fait une spécialité. La France élève, dans une vingtaine de sites, 190 000 visons.

6000 fermes d’élevage dans l’Union Européenne

45 millions de victimes sont issues des élevages où elles vivent entassées dans des cages minuscules aux sols grillagés qui ne les protègent ni du froid l’hiver, ni de la chaleur l’été. Leurs excréments s’entassent à même le sol pendant des semaines. Les zoologistes ont prouvé que les visons, après 70 générations d’élevage, ont les mêmes besoins qu’à l’état sauvage. En cages, ils développent des comportements anormaux et s’automutilent, ce qui ne préoccupe pas les éleveurs tant que la qualité des fourrures n’est pas menacée. Contrairement à ce que font croire les fourreurs, il n’y a aucun rapport entre le bien-être animal et la qualité des peaux : les animaux sont en effet abattus à l’âge de 6 ou 7 mois, après la mue qui masque tous les défauts du pelage. Les reproducteurs subissent quant à eux ces effroyables conditions de vie plusieurs années durant. Le taux de mortalité dans les portées est très élevé, les mères allant jusqu’à agresser leurs propres petits. Aucune loi ne réglemente l’abattage. Pendaison, rupture de la nuque, gazage, injection, empoisonnement, électrocution génitale : qu’importe la méthode, seules priment la rentabilité et la qualité des peaux. Ces procédés barbares sont peu fiables et de nombreux animaux se « réveillent » durant le dépeçage ! L’élevage est, par ailleurs, très polluant. Gaspillage des ressources, incinération des carcasses et pollution des eaux par le lisier toxique : un bilan inacceptable toujours passé sous silence. 5 millions d’animaux sont également massacrés dans la nature, en Russie, aux Etats-Unis et au Canada. Assommés, comme les phoques, ou capturés par des pièges à mâchoires, ils agonisent dans d’atroces souffrances

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Les raisons d’agir

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