Médecine & Nanotechnologie (à l’échelle nanométrique)

Médecine & Nanotechnologie (à l’échelle nanométrique)

1 Histoire de la nanomédecine

2 Personne clés en 2022 qui dénoncent les effets des nanotechnologies dans les vaccins

3 Projets en cours en 2022

4 RAPPORT SUR LES NANOTECH ET LA THÉRAPIE

5 Ce qui se profile d’ici 2030

6 A VOIR ABSOLUMENT, contrôler la pensée grâce aux technologies

INTRODUCTION

Au fil des années, la médecine c’est adapter et à transformer les techniques génétiques médicamenteuses en techniques thérapeutiques, utilisant les nanotechnologies à l’échelle nanométrique.

Qu’est-ce qu’une thérapie ?  Est-ce que c’est comme un psychologue qui décrit votre vie, n’ayant jamais vécu avec vous, ne connaissant ni vos antécédents, ni vos habitudes ?

Dans ce rapports, vous devez bien comprendre que « je retranscrits qu’il existe des médecins qui vous prescrivent des produits de synthèse ( issus de BIG PHARMA et des sociétés chimique) pour vous soigner. »

Est-ce une bonne chose de mettre des produits de synthèse ( modifié dans un laboratoire) ainsi que d’introduire des nanorobot, des nanoparticules dans votre corps ?

Ces rapports sont des synthèses qui se regroupent et ne font plus qu’un.  Le lecteur dois lire comme quand on ouvre une porte qui comprend plusieurs réalité offrant de nouvelles fenêtres d’opportunitées.

À travers des articles et des références, l’épidémie de 2019 ma ouvert de nouvelles opportunités, cela en ajoutant de nouvelles données à ma base de recherche, mais aussi ouvert l’esprit sur des sujets qui devrait être compris par tous.

Sachez que « la médecine nous guéris pas, elle vous modifie génétiquement à travers les innovations issues de la chimie et de l’informatique; l’ère mi être humain (de chair) synthétique ( de synthèse) – comme l’atteste Ray kurzwell et Klaus schaub ( covid19 great reinitialisation). La médecine à toujours utiliser les médicaments provenant de sociétés chimiques pour soigner des patient ( non malade), mais aussi utiliser des produits toxique à travers la nanomédecine qui utilisent : le génié géntqiue, la biotechnologie, les nanotechnologies, comme l’atteste ce rapport. N’oublions pas que NTS ET NBIC le permettent déjà.

Ray kurzwell :

Raymond C. Kurzweil (ou Ray) (kɚzwaɪl), né le 12 février 1948 dans l’arrondissement new-yorkais de Queens, est un auteur, ingénieur, chercheur, et futurologue2 américain. Il est créateur de plusieurs entreprises pionnières dans le domaine de la reconnaissance optique de caractères (OCR), de la synthèse et de la reconnaissance vocales, et des synthétiseurs électroniques. Il est également l’auteur de nombreux ouvrages sur la santé, l’intelligence artificielle, la prospective et la futurologie2. Professeur au MIT3, titulaire du prix américain de la technologie, il est décrit comme une « machine cérébrale ultime » dans un article de Forbes et comme « un véritable génie » dans un article du Wall Street Journal. Il est depuis 2012 directeur de l’ingénierie chez Google

Œuvres

  • The Age of Intelligent Machines, MIT Press, 1990
  • The 10% Solution for a Healthy Life, Crown Publishers, 1993
  • The Age of Spiritual Machines : when Computers Exceed Human Intelligence, Viking / Penguin Books, 1999
  • Are We Spiritual Machines ? Ray Kurzweil versus the Critics of Strong AI, The Discovery Institute Press, 2002
  • Fantastic Voyage: Live Long Enough to Live Forever, en collaboration avec Terry Grossman, M.D., Rodale Books, 2004 Publié en français sous le titre Serons-nous immortels ? : Oméga 3, nanotechnologies, clonage…, traduit par le Dr Serge Weinman, Paris, Dunod, coll. « Quai des sciences », 2006, 526 p. (ISBN 978-2100494194)
  • (en) Ray Kurzweil, The Singularity is Near : When Humans Transcend Biology, New York, Penguin, 2005, 652 p. (ISBN 0-14-303788-9 et 978-0-14-303788-0) Publié en français sous le titre Humanité 2.0 : La Bible du changement, traduit par Adeline Mesmin, Paris, M21, 2007, 647 p. (ISBN 978-2-916260-04-4)(OCLC 300279007)(BNF 41462577)
  • (en) Ray Kurzweil, How to Create a Mind : The Secret of Human Thought Revealed, Viking, 2013, 336 p.

Klaus schaub ( covid19 great reinitialisation).

Klaus Schwab est un ingénieur et économiste allemand né le à Ravensbourg en Allemagne. Il fonde en 1971 le Symposium européen du management, organisé à Davos en Suisse, qui devient en 1987 le Forum économique mondial. Il commence sa carrière professionnelle à la fin des années 1960 en tant que professeur de management industriel à l’université de Genève, où il enseigne jusqu’en 2002.

Il a été membre du comité directeur du groupe Bilderberg.

Je mentionnerais dans d’autres chapitres les : Think thant et groupe de réflexion (ceux qui écrivent la feuille de route pour les décideurs comme le WEF – DAVOS – L’EU – L’ONU ET SES FILIALES OMS – GAVI MC KINSEY- BLACK ROCK – OPEN SOCIETY – ROCKEFELLER LOCKED STEP )

Considéré « Les chapitres comme des points qui se relient, telles des nanoparticules ou du graphène. »

1 Histoire de la nanomédecine

L’idée de l’utilisation de nanomédicaments est de modifier la distribution de la molécule active dans l’organisme, ce faisant il est alors théoriquement possible d’accumuler la molécule active sur ses sites d’actions pharmacologiques et de l’éloigner des sites sur lesquels elle pourrait avoir des effets non désirés ou effets secondaires. Les nanomédicaments, en plus d’améliorer l’efficacité du traitement, permettent aussi dans une certaine mesure d’améliorer le diagnostic, car ils peuvent apporter un élément détectable sur une zone d’intérêt comme une tumeur. Lorsque diagnostic et thérapeutique sont couplés dans le même système, on parle de « théranostique ». Les domaines d’application des nanomédecines en santé sont très variés, la cancérologie est un des domaines où l’on trouve le plus d’applications du fait des possibilités de ciblage, ou vectorisation, des tumeurs offertes par les nanoparticules.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Nanom%C3%A9decine

La nanomédecine utilise les nanotechnologies pour développer des applications innovantes, et plus spécifiquement des nano-objets dans le domaine de la santé, grâce à l’exploitation des propriétés physiques, chimiques et biologiques des matériaux à l’échelle nanométrique.

De quoi parle-t-on ?

Au début du XXe siècle, le scientifique allemand Paul Ehrlich théorisait l’idée du « magic bullet » : une « balle magique » qui serait spécifiquement dirigée et active contre les agents infectieux au sein de l’organisme. Ce concept est aujourd’hui une réalité grâce à la vectorisation des médicaments permise par les nanotechnologies.

Disposer de matériaux à l’échelle du nanomètre permet en effet d’agir à l’intérieur de cellules et de bénéficier de compétences totalement nouvelles, deux facteurs générateurs d’innovation

source : https://www.leem.org/la-nanomedecine

2 Personne clés en 2022 qui dénoncent les effets des nanotechnologies dans les vaccins

Dr. Sevillano discovers new strange ‘life forms’ in Pfizer vaccine samples

La quintacolumna NUEVAS IMÁGENES “VACUNA” PFIZER – 31 MAYO 2.022

https://laquintacolumna.tv/embedcode/?v=13636

3 Projets en cours en 2022 ( après Covid19)

Je décris ci dessous les projets en cours ( après covid19)

En France :

ANR – COVID 19
PANORAMA
DES PROJETS
DE RECHERCHE
FINANCÉS
MARS 2020 ( financé certes, mais prévu depuis plus de 5ans avant – adaptation*)

Les objectifs des appels Flash Covid-19 et RA-Covid-19 :
Les appels Flash sont des instruments spécifiques de l’ANR permettant de financer des projets de recherche dans un délai court et dans le respect des principes d’évaluation par les pairs. L’appel Flash Covid-19, ouvert du
6 mars au 23 mars 2020, avait pour objectif de soutenir les
communautés scientifiques de recherche mobilisées sur
la Covid-19(1) et ainsi de renforcer les premières actions soutenues
par REACTing. Mais cette initiative avait également
pour objectifs de mobiliser la recherche au-delà des communautés
scientifiques déjà impliquées et, au-delà de la
réponse à court terme, de produire des connaissances sur
le plan épidémiologique, physiopathologique, sanitaire
aussi bien que social et économique.

RECHERCHE
FINANCÉS

L’objectif du projet NANO-SARS-CoV-2

est de développer
une plateforme vaccinale anti-SARS-CoV-2 constituée de
nanoparticules biocompatibles encapsulant les candidats
antigéniques S et N du SARS-CoV-2 ou associant des VLP
de SARS-CoV-2 afin d’induire des réponses immunitaires
humorales et cellulaires au niveau des compartiments
muqueux et systémique. Le projet développera également
une méthode pré-industrielle pour la production
des antigènes N et S et des VLP afin d’optimiser la production
de la plateforme vaccinale et de générer des preuves
de concept dans des modèles animaux.
Vaccin à base de nanoparticules/SARS-CoV-2 –
NANO-SARS-CoV-2


Appel à projets ANR : RA-Covid – Vague 3 – Financé
par la région centre Val de Loire et l’ANR
Coordinateur : Isabelle Dimier-Poisson, UMR 1282 –
INRAE – Université de Tours / Tours

source : https://anr.fr/projet-ANR-20-COV3-0008

ANR – Nanomedecine et Nanotechnologie – LES NANOTECHNOLOGIES_UNNOUVEAUPARADIGME

Le projet TELEMASQ

a pour but de mettre au point un
nouveau type de masque pour : 1) renforcer le rôle protecteur
du masque et 2) résoudre le problème de source
contaminante du masque usagé. La technique d’électrospinning
utilisée est en plein essor dans l’industrie textile.
Elle permet de fabriquer des textiles à base de nanofibres
présentant de grandes surfaces spécifiques avec de
grande porosité et de taille de pores sub-micrométrique.
Cette technique, couplée à l’incorporation d’un agent biocide,
permettra à la fois la filtration et la neutralisation des
microorganismes. L’objectif est d’aboutir à un transfert de
technologie et à la fabrication de masques respiratoires.
Textile ELEctrofilé à activité anti-infectieuse pour
la confection de MASQues respiratoires – TELEMASQ
Appel à projets ANR : Flash Covid
Coordinateur : Bernard Martel, Unité des Matériaux et
Transformations – Université de Lille / Villeneuve d’Ascq

Source : https://anr.fr/projet-ANR-20-COVI-0050

Au canada : Un «nanovaccin» québécois en préparation

Le groupe vient d’obtenir une subvention d’un peu plus de 620 000 $ des Instituts
de recherche en santé du Canada (IRSC) pour une « intervention de recherche
rapide contre la COVID-19 ».
La particularité de ce nouveau vaccin en développement est qu’il est formé de deux
parties. D’abord une nanoparticule, qui sert de « squelette » au vaccin. « C’est une
plateforme, un véhicule de livraison », illustre le professeur Archambault.
Sur ce squelette, les chercheurs veulent ensuite attacher la fameuse protéine « S »
du virus de la COVID-19, celle en forme de pic qui permet au virus d’infiltrer les
cellules humaines. L’idée est de présenter cette protéine aux cellules du système
immunitaire afin qu’elles développent des défenses contre le véritable virus SARSCoV-
2 qui cause la COVID-19.

Le projet de vaccin de Denis Archambault s’ajoute à plusieurs autres projets de
vaccins contre la COVID-19 élaborés dans la province. Le Dr Denis Leclerc, du CHU
Québec – Université Laval, développe également un vaccin à base de
nanoparticules. Toujours à Québec, le Dr Gary Kobinger travaille avec l’entreprise
Medicago sur un vaccin qu’on ferait pousser dans les plantes. Les entreprises
québécoises Biotechnologies Ulysse et Glycovax Pharma ont aussi annoncé qu’elles
développaient leur propre vaccin contre la COVID-19. Notons également que le
Conseil national de la recherche du Canada a signé un partenariat avec une
entreprise chinoise pour tester ici un candidat vaccin appelé Ad5-nCoV. Développé
à partir d’une technologie canadienne, ce vaccin sera testé sur l’armée chinoise, a-ton
appris cette semaine.
Sur la planète, pas moins de 150 candidats vaccins sont en développement contre la
COVID-19, dont 26 ont commencé les tests sur les humains.

Source  https://www.lapresse.ca/covid-19/2020-07-01/un-nanovaccin-quebecois-en-preparation.php

J’atteste aussi, dans mes rapports, qu’il y existe bel et bien des technologies dans les vaccins ( administrés à travers une crise sanitaire-épidémie, qui relève en vérité d’une stratégie pour une nouvelle adaptation et sociabilisation).

1 Des technologies dans les vaccins Covid19 !

2 Du graphène (carbone) synthétique dans l’air, dans l’eau et dans le corps humain !

3 Témoignages (dans le monde) aux sujets des vaccins…

 4 RAPPORT SUR LES NANOTECH ET LA THERAPIE

Veuillez-cliquer sur les liens pour telecharger au complet le Pdf

Projet et emergences des nanotechnologie 2010 – PEN 19 – Voluntary Initiatives, Regulation, and Nanotechnology Oversight

Nanoparticule Substances chimiques et agents biologiques recherches et risques r-586 Eveil-delaconscience

nanoparticules de synthese – graphene

ANR_bilan-covid19 2020-panorama des projets de recherche financés – Nanomedecine – nanotechnologie NTS -nanoparticules luciferase – NBIC..

Un capteur implantable à base de nanoparticules d’or révolutionne le diagnostic médical

Le groupe de recherche du professeur Carsten Sönnichsen à la JGU utilise des
nanoparticules d’or comme capteurs pour détecter de minuscules quantités de protéines
dans des cellules à écoulement microscopiques depuis de nombreuses années. Les nanoparticules d’or agissent comme de petites antennes pour la lumière: elles l’absorbent et la diffusent fortement et, par conséquent, semblent colorées. Ils réagissent aux altérations de leur environnement en changeant de couleur. L’équipe de Sönnichsen a exploité ce concept pour la détection médicale implantée. Pour empêcher les minuscules particules de nager ou d’être dégradées par les cellules immunitaires, elles sont incorporées dans un hydrogel poreux avec une consistance tissulaire. Une fois implantés sous la peau, de petits vaisseaux sanguins et des cellules se développent dans les pores. Le capteur est intégré dans le tissu et n’est pas rejeté comme corps étranger.

5 Ce qui se profile d’ici 2030

 Les applications de la nanomédecine rendront la prise en charge des maladies plus précise et plus adaptée.

Elles se révèlent très précises par leur capacité à interagir de façon ciblée avec les tissus, les cellules, et même les molécules. A l’échelle « nano », certaines substances ou matériaux peuvent changer de propriétés et devenir plus résistants, plus réactifs…
D’autres, comme les nanocristaux, provoquent une meilleure dissolution du principe actif que le principe actif seul.

Globalement, les nanotechnologies permettent le développement de nouvelles techniques médicales de diagnostic, de thérapie et de suivi des patients.
Les développements scientifiques d’aujourd’hui en nanomédecine permettront d’apporter de nouvelles réponses technologiques et d’améliorer considérablement les traitements à l’horizon 2030.

Les apports de la nanomédecine d’ici 2030

• Des nano-objets capables de leurrer le système immunitaire pour mieux traiter certaines pathologies.
• Des nano-objets capables d’activer le système immunitaire afin de restaurer une réponse de l’organisme contre une pathologie.
Des nanovecteurs ciblés spécifiques à certains types cellulaires pour libérer une substance active sans induire de toxicité dans d’autres types cellulaires.
Des nano-objets portant un label fluorescent ou radioactif :
–  capables de détecter précocement des perturbations fonctionnelles ;
–  permettant d’apporter une aide à la chirurgie guidée par l’image.

Les nanotechnologies permettront aussi de concevoir des nanocomposés contournant les phénomènes de rejet pour les greffes ou la médecine régénérative

La Royal Society & la Royal Academy of Engineering. de Grande-Bretagne se prononcent sur les nano-technologies

On se souvient de l’émotion suscitée par les déclarations du Prince Charles sur les nanotechnologies (cf. Actualités Scientifiques au Royaume-Uni, mai 2003, p. 32). Influencé par la lecture de «La Proie» un roman de science fiction de Michael Chrichton l’auteur de «Jurassic Park», il avait alors évoqué la possibilité de l’anéantissement de la vie sur terre par la « grey goo », une matière visqueuse grise composée de multitudes de nanorobots qui se reproduiraient jusqu’à la prise de contrôle de la planète.

D’autres inquiétudes (peut-être un peu moins fantaisistes) se sont également fait jour. Quels pourraient être les impacts des nouveaux nanomatériaux sur la santé humaine ? Quels sont les types d’applications possibles qui pourraient naître de la convergence entre les nanotechnologies d’une part et les biotechnologies, l’informatique ou l’intelligence artificielle d’autre part ? Les cadres de régulation actuels sont-ils pertinents ? Les nanotechnologies seront-elles sources de bénéfices ou de retard accru pour les pays en voie de développement

Le but ultime des nanotechnologies transformer l’être humain

Les Nanotechnologies

 Préface de Jean-Marie Lehn
Membre de l’Académie des Sciences
Professeur au Collège de France
Prix Nobel de Chimie 1987

Nanosciences et nanotechnologies forment des domaines de
recherche d’un très grand intérêt fondamental, susceptibles de
donner lieu à de nombreuses applications. Elles représentent aussi
des thèmes fédérateurs où se retrouvent et s’unissent la physique, la
chimie et la biologie.
Elles jettent des défis de structure, de fonction et de mise en
oeuvre pour lesquels la chimie est tout particulièrement sollicitée.
La structure portant la fonction, se pose le problème de la fabrication.
La chimie supramoléculaire propose une approche originale
faisant appel à l’auto-organisation. Elle repose sur la mise en oeuvre
de systèmes chimiques programmés permettant la génération
d’architectures supramoléculaires fonctionnelles de façon spontanée
mais contrôlée par le biais de l’information moléculaire
stockée dans les éléments composants. Il devient ainsi en principe
possible d’éviter le recours aux procédés très lourds et coûteux de la
nanofabrication et de la nanomanipulation en laissant le dispositif
s’édifier de lui-même, par autofabrication, à partir d’unités moléculaires
contenant les instructions requises.

Nanotechnologie-utilisations-militaires 2009

En France, cela fait des années que la Défense s’intéresse et utilise des dispositifs dérivés des nanosciences et des
nanotechnologies. Dans son rapport « Politique et Objectifs Scientifiques » datant de 2006, la DGA mentionne
« Des capteurs de grandeurs physiques (pression, température, contrainte, humidité, etc.) éventuellement
interrogeables à distance sont d’ores et déjà utilisés pour surveiller la santé et mémoriser l’historique des
évènements survenant soit à des plates-formes, soit à des munitions. La maintenance des grandes structures est
ainsi considérablement facilitée et, en parallèle, la sûreté de fonctionnement des munitions ou des missiles est
augmentée. »
Dans les années à venir, la DGA va faire des efforts soutenus dans les thématiques d’intérêt pour le développement
d’une armée en forte mutation et parmi celles-ci :
• les nanotechnologies pour élaborer de nouveaux matériaux et de nouveaux composants,
• les développements des neurosciences dans la définition des nouveaux concepts des interfaces hommesystèmes
intégrés.
Aux Etats-Unis, c’est le programme de l’armée américaine du « Future Force Warrior » (Futur guerrier de combat)
qui est l’initiative scientifique et technologique phare visant à « développer des capacités révolutionnaires pour
des systèmes d’avenir ». Au printemps 2004, des responsables du Pentagone et de l’Armée américaine
confirmaient que l’armée s’attend à ce que les nanotechnologies aient des impacts importants sur tous les
systèmes d’armes. Ils affirmaient qu’elles constituent une des hautes priorités dans les programmes de recherche
et de technologie du Département de Défense. L’idée du Future Force Warrior est de créer un système individuel
de combat d’un poids léger, fortement létal et entièrement intégré, comprenant l’équipement en armes, une
protection individuelle de la tête aux pieds, des communications en réseau, des sources d’énergie portées par le
soldat et une performance humaine améliorée.

6 A VOIR ABSOLUMENT, contrôler la pensée grâce aux technologies

La recherche en Nanotechnologies entre 1960 et 2000

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