Introduction

Comme l’intitulé le stipule,

Il faut bien comprendre que les oligarques prennent de plus en plus le dessus sur la population. Ceci parce que vous mettez en place des corrompus, mais aussi car vous ne dites rien et continuer à vivre comme si rien ne c’était passé.

Les philanthropes et entreprises privées n’appartiennent pas toutes à l’état, comme vous pouvez le voir avec la BRI, ce  sont des organismes privés libre de faire ce qu’ils veulent ; donc, elles font ce qu’elles souhaitent à partir du moment ou elles ont de l’argent, vous le saviez ? Les banques centrales prennent des décisions aux dépens des sociétés secrètes, des bilderbergs, des chartes émise par L’organe des nations unis – L’organisation des nations unis  »ONU » à été financé par les Rockeffeler, ne l’oubliez point. La télévision vous diront que ce sont des financements pour aider les citoyens, mais cela est faux et tronqué.

Les familles Dulles et Rockefeller sont cousines. Allen Dulles créa la CIA, assista les nazis, couvra l’assassinat de Kennedy avec sa commission Warren et fit un pacte avec la Confrérie des Frères Musulmans pour créer des assassins sous contrôle psychologique.

L’auteur vous explique cela ainsi, mais la vérité nue est tout autre. Plusieurs points seront à prendre en considération.

chapitres :

  1. La Banque des règlements internationaux :
  2. Le Nouvel Ordre Mondial, haute finance et maison Rockefeller :
  3. L’immunité diplomatique :

1 : Banque des règlements internationaux :

La Banque des règlements internationaux (BRI), (Bank for International Settlements en anglais ou BIS) a été créée en 1930.

C’est la plus ancienne organisation financière internationale. Son statut juridique est celui d’une société anonyme, dont les actionnaires sont des banques centrales. Elle est située à Bâle en Suisse, et surnommée la « banque centrale des banques centrales » Le capital de la BRI est composé d’actions appartenant, depuis le dernier élargissement de 2011, à 60 banques centrales, les institutions et personnes privées en étant exclues depuis 2000.Ce capital est divisé en 600 000 actions, dont la moitié appartiennent aux banques centrales

d’Allemagne,
d’Angleterre,
de Belgique,
de France,
d’Italie et des États-Unis d’Amérique,

Ou tout autre établissement financier de ce dernier État.Ce sont les gouverneurs de ces six banques centrales qui se partagent la direction de la BRI, avec les gouverneurs des banques centrales du :

Canada,
de Chine,
du Japon,
du Mexique,
des Pays-Bas,
de Suède et de Suisse,

et le président de la Banque centrale européenne. En 2006, son actif est évalué à 221 milliards de USD.

La BRI a pour fonctions :

d’assister les banques centrales dans leur poursuite de la stabilité monétaire et financière ; d’accueillir la coopération internationale dans ces domaines ;
d’agir en tant que banque des banques centrales. La réunion bimestrielle du conseil d’administration, où se rencontrent les gouverneurs des grandes banques centrales, permet ainsi une coordination informelle des politiques monétaires des grands pays.

Elle héberge différents comités traitant des grands sujets financiers : Comité de Bâle sur le contrôle bancaire, Committee on the global financial system, Committee on payment and settlement systems. Elle prépare par exemple des accords au niveau du comité de Bâle qui précisent un certain nombre de règles prudentielles (ratio de solvabilité, etc.) applicables à l’ensemble des banques commerciales de la planète : les Accords de Bâle, dont les derniers, les accords de Bâle III. Enfin, la BRI centralise la collecte et assure la publication de nombreuses données statistiques6 sur l’activité bancaire et les marchés financiers.

Comment donc la BRI parvient-elle à réaliser la “stabilité monétaire et financière” ? Un article publié sur Invertor Insight ( on investorsinsight.com ) décrit comment cela est accompli…

C’est fait par le contrôle des devises. Elle détient actuellement 7% de toutes les devises du monde, dont l’unité de mesure a été changée en Mars 2003 du Franc suisse or aux Special Drawing Rights (SDR), une monnaie artificielle dont la valeur est basée sur un panier de monnaies (44% de US$, 34% d’Euros, 11% de Yen japonais et 11% de Livres britanniques)

La banque contrôle également une énorme quantité d’or, qu’elle à la fois stocke et prête, lui donnant un très bon levier sur le prix des métaux et la puissance que cela apporte sur le marché, car l’or demeure toujours la seule monnaie universelle. Les réserves d’or de la BRI ont été listées dans le dernier rapport en date (2005) à 712 tonnes. Quel est la quantité d’or en stock et la quantité prêtée ? Information non divulguée.

En contrôlant les changes ainsi que l’or, la BRI peut s’engager sur du long terme à déterminer les conditions économiques de tout pays. Rappelez-vous que la prochaine fois que Ben Bernanke (NdT:patron de la Réserve Fédérale américaine) ou le président de la BCE annoncent un hausse des intérêts, vous pouvez parier que cela ne s’est pas fait sans l’accord du bureau de la BRI.

Ces dernières années, il est devenu de plus en plus évident qu’elle possède véritablement le pouvoir.

Quand Barack Obama parle, les marchés bougent en général très peu.
Quand Ben Bernake parle, les marchés répondent souvent avec de vastes mouvements.

Un article récent publié sur CNBC et intitulé: ““Central Banks: How They Are Ruling the Financial World ” détaillait l’impact énorme qu’ont eu les banques centrales sur le système financier mondial en 2012…

En tout, 13 autres banques centrales dans le monde ont suivi la Fed et ramené leur taux d’intérêt très proche de zéro dans un effort de conserver les liquidités et de doper leurs économie malades. Ces 14 économies représentent un incroyable 65 000 milliards de dollars en obligations de capitalisation de marché et d’équités combinés d’après Bank of America Merrill Lynch.

Plus loin dans le même article, l’auteur parle des sommes très importantes d’argent que les banques centrales ont créé de l’air du temps…
“Quand vous additionnez toutes les banques centrales du monde, cela représente 9000 milliards de dollars”, a dit Marc Doss, investisseur en chef pour la banque privée de la Wells Fargo.

“Cela revient à créer la seconde plus grande économie mondiale de rien, de l’air du temps”.

De fait, la banque centrale est un fait économique par lui-même, un empire représentant un marché de multi-trillions dollars qui manipule les marchés, qui répond au doigt et à l’œil à la moindre nouvelle émanant des comités décisionnaires de ces entités.

Qui contrôle l’argent alors ?

Les banques centrales du monde le font.

Et qui donc contrôle ces banques centrales ?

La Banque pour les Règlements Internationaux le fait. Si nous n’aimons pas ce que fait la BRI, que pouvons-nous y faire ?
Rien. La Banque des Règlements Internationaux est au-dessus des lois… Peut-être nous sentirions mieux à propos de la BRI si elle était un plus transparente, mais la vaste majorité de ce qu’elle fait, incluant la réunion bimestrielle de ses membres, est enveloppée du mystère du secret. Peut-être plus inquiétant encore, est que la BRI échappe à tout contrôle.

De par les droits qui lui sont accordés par la grâce du Conseil Fédéral Suisse, toutes les archives de la banque, tous ses documents et “toute donnée médiatique” sont “inviolables en tout lieu et en tout temps”. De plus, les employés et officiers de la BRI “jouissent de l’immunité de toute juridiction criminelle et administrative, dans la mesure où cette immunité n’est pas levée de manière formelle… et ce même après qu’une personne ait cessé d’être officiellement employée de la banque”. Finalement, aucune plainte contre la BRI ou ses dépositaires ne peut être appliquée “sans l’accord préalable de la banque.”
En d’autres termes, elle peut faire absolument ce qu’elle veut, sans conséquence aucune.

Que dites-vous de ce parapluie administratif complètement étanche ?

Si la BRI veut “intervenir” dans les marchés financiers, elle le fait tout simplement. Si la BRI désire sauver de grosses banques ou des nations entières, elle le fait tout simplement.(…) Beaucoup ont spéculé que le but n’est éventuelelment que d’obtenir une monnaie mondiale unique, qui ne sera administrée que par une banque centrale unique.

La BRI utilse déjà les SDR, considérés comme un précurseur de la monnaie unique à venir. La BRI a joué un grand rôle dans l’adoption de l’Euro et une intégration plus avant des monnaies est certainement dans l’agenda des années à venir…

Au bout du compte, la façon dont vous ressentirez la BRI ne sera que le reflet de ce que vous ressentirez pour une monnaie unique. La banque fut un participant important de la création de l’Euro comme la monnaie commune de l’Europe.

Il y a des rumeurs que le prochain projet est de persuader les Etats-Unis, le Canada et le Mexique de passer à une monnaie régionale similaire, qui sera peut-être appelée “l’Amero” et il est logique d’assumer que le but ultime de la banque est une monnaie unique mondiale. Ceci simplifierait les transactions et solidifierait vraiment le contrôle des banques sur l’économie planétaire.

Mais si les Etats-Unis abandonnaient un jour le dollar, ceci constituerait une gifle majeure à notre souveraineté nationale.

Quand quelqu’un d’autre contrôle votre monnaie, il importe peu qui fait les lois. (NdT: Ceci est pourtant déjà en cours aux Etats-Unis puisque la Banque de la Réserve Fédérale est un cartel de banques privées transnational, la monnaie bidon qu’est le dollar US est déjà contrôlé par les banques transnationales depuis 1913…)

Malheureusement, l’élite mondialiste semble être absolument obsédée par l’idée d’une monnaie unique mondiale, un système économique unique mondial et un gouvernement mondial le régissant.

Rien de tout ceci ne va se produire cette année, mais les choses bougent en ce sens. Avec chaque nouvelle crise qui émerge, les solutions qui nous seront imposées impliqueront toujours plus de centralisation et toujours plus de mondialisation.

Que pensez-vous donc de tout cela ?

Organisation et Actionnariat :

Le capital de la BRI est composé d’actions appartenant, depuis le dernier élargissement de 2011, à 60 banques centrales, les institutions et personnes privées en étant exclues depuis 2000.

Ce capital est divisé en 600 000 actions, dont la moitié appartiennent aux banques centrales d’Allemagne, d’Angleterre, de Belgique, de France, d’Italie et des États-Unis d’Amérique, ou tout autre établissement financier de ce dernier État.

Ce sont les gouverneurs de ces six banques centrales qui se partagent la direction de la BRI, avec les gouverneurs des banques centrales du Canada, de Chine, du Japon, du Mexique, des Pays-Bas, de Suède et de Suisse, et le président de la Banque centrale européenne.

Les 60 membres sont :

Conseil d’administration :

Le conseil d’administration est responsable de la direction stratégique et politique de l’institution.

Au 1er décembre 2013, les membres du conseil d’administration sont :

Le directeur général gère l’institution selon les politiques adoptées par son conseil d’administration.

Les directeurs généraux successifs de la BRI sont :

2 : Nouvel Ordre Mondial, haute finance et maison Rockefeller :

l y a trois ans, Rudolf M. Elmer, chef du secteur des Iles Caymans de la grosse banque suisse Julius Baer, annonça qu’il avait donné à Wikileaks des informations concernant 2000 personnes et entreprises  influentes qu’il dit engagées dans la fraude fiscale et autres activités criminelles. Elmer décrivit ceux qu’il a exposa comme des “piliers de la société”.

(Extrait du Chaptitre 18: The International Bankers: Big Oil & Their Bankers…)

L’utilisation  de compte bancaires Eurodollar offshore par les super-riches coûtent des milliers de milliards de dollars en revenus annuels aux gouverments ne pouvant joindre les deux bouts dans le monde.

En 1963 le marché Eurodollar valait environ 148 millions de dollars, dès 1982 il valait 2 000 milliards de dollars, tandis que la capacité d’argent américain M-1 se tenait à 442 milliards de dollars (NdT: la base M1 d’argent est la quantité physique disponible en cash et sur les comptes bancaires courants).

En 1950, les entreprises américaines avaient une part de 26% des revenus fiscaux des Etats-Unis. En 1990, elles ne couvraient plus que 9% de la masse fiscale, contribuant au déficit budgétaire massif et à la dette courante des Etats-Unis se chiffrant à 14 000 milliards de dollars. En 2009, des géants entrepreneuriaux comme Bank of America, General Electrics, Exxon Mobil ne payaient pas d’impôts fédéraux. Le bénéfice net d’Exxon Mobil pour cette année là fut de 45 milliards de dollars.

Ces entreprises utilisent des subsidiaires dans les îles contrôlées par la Couronne britannique (NdT: maintenant nos lecteurs savent ce que veut dire “couronne britannique” lorsque le terme est employé. Il ne s’agit pas de la famille royale, mais de la City de Londres et de la Banque d’Angleterre contrôlée par la famille Rothschild) comme les Bahamas, les Bermudes ou les Île Caymans, afin de gruger l’IRS (le fisc).

Ces marchés opaques d’Eurodollar dans des paradis fiscaux servent aussi à laver plus blanc les pétrodollars, l’argent de la drogue de la CIA et les bénéfices des ventes d’armes illégales du Mossad.

Des fonds illicites en sortent blanchis sur les comptes des mega-banques mondiales. Des banques suisses secrètes jouent un grand rôle dans le manège. La plus puissante d’entre elles étant la Banque pour les Règlements Internationaux (NdT: la BRI qui est la banque centrale des banques centrales, toutes tout ce qu’il y a de plus privé !..)

La BRI fut établie à Bâle en Suisse en 1930. C’est la banque la plus puissante au monde, une banque centrale mondiale contrôlée par huit familles qui contrôlent le cercle des banques centrales de presque toutes les nations.

Le tout premier président de la BRI fut la banquier des Rockefeller Gates McGarrah, un officiel de la Chase Manhattan Bank et de la Réserve Fédérale. McGarrah est le grand-père de l‘ancien directeur de la CIA Richard Helms (NdT: Un très grand nombre des directeurs de la CIA furent liés de près à la haute finance et à Wall Street, la liste vaudrait un article à lui seul. Il suffit d’en tirer les conclusions qui s’imposent…). Les Rockefeller et les Morgan ont des liens três étroits avec la City de Londres et la famille Rothschild.

La BRI est propriété de la Réserve Fédérale, de la Banque d’Angleterre, de la Banque d’Italie, de la Banque du Canada, de la Swiss National Bank, Nerderlandsche Bank, la Bundesbank et la Banque de France. L’historien Carroll Quiggley dit que la BRI faisait partie d’un plan, “celui de créer un système mondial de contrôle financier qui serait dans des mains privées et  capable de contrôler et de dominer le système politique de chaque pays et l’économie totale du monde, d’être contrôlé de manière féodale par les banques centrales du monde agissant de concert par accords secrets.”

Le gouvernement américain a eu un manque de confiance dans la BRI, faisant pression pour sa disparition sans succès à la conférence de Bretton Woods en 1944. Aub lieu de cela le pouvoir des huit familles en contrôle fut renforcé avec la création lors de cette conférence du FMI et de la Banque Mondiale. La Banque de la Réserve Fédérale ne prit des parts de la BRI qu’en 1994.

La BRI tient au moins 10% des réserves monétaires d’au moins 80 des banques centrales du monde, du FMI et autres institutions multilatérales.

Elle sert d’agent financier pour les accords internationaux, collecte des informations sur l’économie mondiale et sert de prêteur de dernier recours pour prévenir un effondrement financier global.

La BRI fait la promotion d’un agenda de monopole capitaliste fasciste. Elle a donné un pont d’emprunt à la Hongrie dams les années 90 pour assurer la privatisation de l’économie de ce pays. Elle a servi d’intermédiaire pour le financement Illuminati d’Adolf Hitler, mené par les Warburg J. Henry Schroeder et la banque Mendelshon d’Amsterdam. Bon nombre de chercheurs affirment que la BRI est le cœur et centre nerveux du blanchiment mondial de l’argent de la drogue.

Ce n’est pas une coïncidence si la BRI a son QG en Suisse, l’endroit favori pour cacher les richesses de l’aristocratie mondiale et QG d’à la fois la loge maçonique P2 Alpine et Nazi International.

Bretton Woods fut une manne pour les huit familles. Le FMI et la Banque Mondiale étaient des entités centrales à ce “nouvel ordre mondial”. En 1944, les premiers bons de la Banque Mondiale furent absorbés par Morgan Stanley et First Boston.

La famille banquière française Lazard devint plus impliquée dans les intérêts de la famille Morgan. Lazard-Frères, la plus grosse banque d’investissement française est propriété des Lazard et des familles David-Weill, de vieux briscards de la finance de Gêne représentés par Michele Davive. Un PDG récent de Citigroup fut Sanford Weill.

En 1968, Morgan Guaranty lança Euro-Clear, une banque basée à Bruxelles gérante de systèmes pour les securities en Eurodollar. Ce fut la première opération automatique de la sorte. Certains la nommèrent “La Bête”. Bruxelles sert aussi de QG pour la nouvelle BCE (Banque Centrale Européenne) et pour l’OTAN. En 1973, les officiels de la Morgan se rencontrèrent secrètement aux Bermudes pour raviver de manière illégale la vieille maison Morgan, 20 ans avant l’arrêt de la loi Glass Steagal.

Morgan et les Rockefeller donnèrent leur soutien financier à la banque Merrill Lynch, la propulsant dans les 5 plus grosses banques d’investissement américaines. Merrill est maintenant partie de Bank of America.

John D. Rockefeller employa sa fortune amassée dans le pétrole pour acheter Equitable Trust, qui a phagocyté plusieurs grandes banques et corporations dans les années 1920. La grande dépression aida grandement à consolider le pouvoir des Rockefeller. Sa banque Chase fusionna avec Kuhn Loeb et sa Manahttan Bank pour former la Chase Manhattan Bank, cimantant ainsi la relation de longue durée des deux familles.

Les Kuhn Loebs et les Rothschilds fnancèrent la quête des Rockefeller pour devenir les rois du pétrole américains. La Natonal City Bank de Cleveland assura à John D. les fonds dont il avait besoin pour s’embarquer dans le monopole de l’industrie du pétrole américaine. La banque fut identifiée dans un audit du congrès américain comme étant une des trois banques propriété des Rothschild aux états-Unis durant les années 1870, lorsque Rockefeller incorpora, créa la Standard Oil de l’Ohio.

Un associé de la Standard Oil des Rockefeller était Edward Harkness, dont la famille en vint à contrôler Chemical Bank. Un autre fut James Stillman, dont la famille contrôlera par la suite Manufactorers Hanover Trust. Ces deux banques font maintenant partie de JP Morgan Chase. Deux des filles de James Stillman marièrent deux des fils de William Rockefeller. Ces deux familles contrôlent Citigroup.

Dans le monde des assurances, les Rockefeller contrôlent Metropolitan Life, Equitable Life, Prudential and New Yok Life. Les banques Rockefeller contrôlent 25% de tous les biens des 50 plus grandes banques commerciales des Etats-Unis et 30% de tous les biens des 50 plus grandes compagnies d’assurance US. Les compagnies d’assurance, la toute première fut lancée aux Etats-Unis par les franc-maçons au travers de leur entité Woodman’s of America, jouent un tout premier rôle dans le blanchiment de l’argent de la drogue aux Bermudes.

Alors que leur richesse pétrolière gonflait, la famille bougea vers des investissements en aval de la production, achetant des entreprises qui fabriquaient des produits à base de pétrole. Par exemple, d’après le magazine Nexus New Time, les Rockefeller contrôlent 40% de l’industrie pharmaceutique américaine.

D’autres entreprises sous contrôle Rockefeller incluent :

Exxon Mobil, Chevron Texaco, BP Amoco, Marathon Oil, Freeport McMoRan,

Quaker Oats, ASARCO, United, Delta, Northwest, ITT, International Harvester, Xerox,

Boeing, Westinghouse, Hewlett-Packard, Honeywell, International Paper,Pfizer, Motorola, Monsanto, Union Carbide and General Foods.

La Fondation Rockefeler a des liens financiers très étroits avec à la fois les Fondations Ford et Carnegie.

D’autres aventures philanthropiques incluent le Fond des Frères Rockefeller, le Rockefeller Institute for Medical Research, General Education Board, Rockefeller University and the University of Chicago, qui vomit un flot d’économistes d’extrême-droite comme Milton Friedman, qui servent de vitrine et de propagandistes pour le capital international.

La famille possède 30 Rockefeller Plaza, où un sapin de noël national est illuminé chaque année et un Centre Rockefeller. David Rockefeller fut instrumental dans la construction des tours du World Trade Center. La résidence principale des Rockefeller est un grand complexe dans le haut de l’état de New York appelé Pocantico Hill.

Rockefeller Center – La richesse des Rockefeller établis a New York :

Liste des buildings :

Le Rockefeller Center est un complexe commercial construit par la famille Rockefeller composé de dix-neuf bâtiments. Il est situé dans le quartier de Midtown, entre la 5e avenue et l’avenue des Amériques de l’arrondissement de Manhattan de la ville de New York. C’est à ce niveau que se trouvent les boutiques de luxe de New York. Il fut déclaré National Historic Landmark en 1987.

Le Rockefeller Center est composé de nombreux commerces et salles de spectacle, dont la réputation, comme celle du Radio City Music Hall, a franchi les frontières de la ville et du pays. Le complexe est une destination touristique, en raison des très nombreuses décorations de la Rockefeller Plaza, de la vue offerte par l’observatoire du GE Building, mais aussi grâce à de nombreux événements saisonniers comme la grande patinoire ou le sapin gigantesque qui rassemblent chaque année des milliers de personnes.

Les bâtiments du Centre ont une surface de planchers de 720 000 m2 le terrain sur lequel ils sont construits fait 49 000 m2, il est borné par la Cinquième et Sixième Avenue et allant de la 48e rue à la 51e rue.

  • Le One Rockefeller Plaza – (130 000 m2)- nommé à l’origine le Time-Life Building car son premier locataire était Time Inc., l’éditeur des magazines Time et Life.
  • Le 10 Rockefeller Plaza – (26 000 m2) – nommé à l’origine le Eastern Airlines Building
  • Le 636 Fifth Avenue – (11 000 m2) – l’International Building North
  • Le 745 Seventh Avenue – le Lehman Brothers Building
  • Le 1221 Avenue of the Americas – le McGraw-Hill Building
  • Le 1211 Avenue of the Americas – nommé à l’origine le Celanese Building.
  • Parfois nommé le News Corp Building
  • Le 1251 Avenue of the Americas – nommé à l’origine le Standard Oil [NJ] / Exxon Building

Ils possèdent également un 32 pièces duplex sur la 5ème avenue de Manhattan, un manoir à Washington DC, le Monte Sacro Ranch au Venezuela, des plantations de café en Equateur, plusieurs fermes au Brésil, une propriété à Seal Harbor dans le Maine et des stations balnéaires dans les Caraïbes, Hawaii et Porto-Rico.

Les familles Dulles et Rockefeller sont cousines. Allen Dulles créa la CIA, assista les nazis, couvra l’assassinat de Kennedy avec sa commission Warren et fit un pacte avec la Confrérie des Frères Musulmans pour créer des assassins sous contrôle psychologique.

Son frère John Foster Dulles présida les fonds de trusts bidons de la Goldman Sachs avent l’effondrement boursier de 1929 et il aida son frère à renverser les gouvernements de gauche progressistes au Guatemala et en Iran dans les années 1950.

Tous deux étaient membres de Skull & Bones, du CFR et franc-maçons au 33ème degré.
Les Rockefeller furent instrumentaux à la formation du Club De Rome dévoué à la dépopulation mondiale, qu’ils créèrent dans leur propriété de Bellagio en Italie.

Le propriété de Pocantico Hill donna naissance à la Commission Trilatérale. La famille est un financier majeur du mouvement eugéniste qui pondit Hitler, du clonage humain et de l’actuelle obsession avec la génétique et l’ADN dans les cercles scientifiques américains. John Rockefeller Junior était à la tête du Conseil sur la Population jusqu’à sa mort.

Son fils qui porte le même prénom est un sénateur de l’état de Virginie de l’Ouest. Son frère Winthrop Rockefeller fut Lieutenant Gouverneur de l’Arkansas et est l’homme le plus puissant de l’état.

Dans un article avec la magazine Playboy en 1975, le vice-président des Etats-Unis Nelson Rockefeller, qui était aussi gouverneur de l’état de New York, articula la vision de sa famille comme suit: “Je suis un grand croyant en une planification totale et mondiale de l’économie, du social, de la politique et de l’armée.”

Mais de tous les frères Rockefeller, c’est le fondateur de la Commission Trilatérale (CT) et président de la Chase Manhattan Bank, David, qui a propulsé l’agenda fasciste de la famille à l’échelle mondiale. Il a défendu le Shah d’Iran, le régime d’apartheid sud-africain et la junte militaire de Pinochet au Chili. Il est le plus grand financier du CFR, de la CT et (pendant la guerre du Vietnam) du Comittee for Effective and Durable Peace in Asia, une aventure contractuelle fastueuse pour les profiteurs de guerre.

– Vous Remarquez le Compas  » qui structure l’entrée du Rockefeller Center –

Nixon lui demande d’êrtre son ministre des finances, mais David Rockefeller refusa, sachant que son pouvoir était bien plus grand en tant que grand patron de la Chase Manhattan Bank. D’après l’écrivain Gary Allen (NdT:

Dont nous avons traduit ici son remarquable “Dossier Rockefeller”), en 1973: “David Rockefeller rencontra 27 chefs d’état, incluant les dirigeants de la Chine et de l’URSS.” Suite au Nugan Hand/CIA coup d’état en 1975 contre le premier ministre australien nationaliste Gough Whitlam, son successeur nommé par la couronne britannique se dépêcha de se rendre aux Etats-Unis, où il ne rencontra le président Gerald Ford qu’après avoir consulté David Rockefeller.

Les documents que Mr Elmer a communiqué à Wikileaks vont sans aucun doute faire la lumière sur certains “piliers de la société” ; mais ne soyons aucunement surpris de voir les gros poissons se barrer avec l’appât, le ligne et le bouchon…

Dean Henderson
 
url de l’article original: http://deanhenderson.wordpress.com/2014/01/23/swiss-bankers-bis-the-house-of-rockefeller/

3 : Immunité diplomatique :

Immunité diplomatique - mr cahuzac

Les hauts cadres de la BRI ainsi que les représentants des banques centrales bénéficient d’une forme d’immunité diplomatique.

L’immunité diplomatique est une protection offerte par tout État aux diplomates qui le représentent à l’étranger, ainsi qu’à leur famille. Bien que son origine remonte à l’Antiquité, ses principes ont été renforcés de 1961 à 1964 par les conventions de Vienne.

Elle permet à certaines personnes ayant des comportements répréhensibles d’échapper à toute sanction judiciaire, sous réserve que ces comportements aient lieu dans l’exercice des fonctions diplomatiques. Elle s’applique également quand le diplomate n’est pas dans son pays de représentation mais en transit dans un autre pays (lui-aussi signataire des conventions).

Immunité diplomatique - marine lepen députés

Il était prévu que l’immunité diplomatique puisse être levée en cas de crimes, et ce par le pays d’origine, pas par le pays de représentation. Certains états pratiquent des levée « partielles » d’immunité, par exemple pour pouvoir classer sans suite une enquête, qui autrement resterait ouverte pour rechercher un auteur non immunisé. Dans les faits jamais une immunité n’a été complètement levée, du moins concernant des crimes et récidives de crimes commis en France.

Le gouvernement français étant plus expansif que les conventions ne l’exigent, l’immunité est systématique en France, pour les diplomates, l’ensemble du personnel lié à une représentation quelle que soit sa forme (ambassade, consulat, représentation commerciale…), ainsi qu’à toute leur famille, invités et employés de maison, et ce en toute situation, c’est-à-dire même en-dehors de l’exercice des fonctions diplomatiques.

Immunité diplomatique -bernard-kouchner_nicolas-sarkozy_mouammar-kadhafi-1

L’immunité diplomatique ne couvre, en principe, que les délits ou erreurs commis par un diplomate dans l’exercice de ses fonctions. Ainsi un diplomate ne pourrait pas prétendre bénéficier de l’immunité diplomatique pour des affaires privées. Elle permet cependant dans certains cas à certaines personnes ayant des comportements répréhensibles d’échapper à toute sanction judiciaire, en particulier en France.

L’immunité diplomatique porte sur un ensemble de privilèges accordés par le pays hôte aux membres du corps diplomatique d’un pays tiers et à leur famille durant leur séjour en poste dont principalement :

  • exonération fiscale des diplomates et leurs employés mais aussi leurs familles;
  • inviolabilité des ambassades et liberté des communications (valise diplomatique);
  • aucune poursuite judiciaire durant le mandat du diplomate envers sa famille et lui-même.

Levée de l’immunité diplomatique :

L’immunité diplomatique ne peut être levée, à des fins judiciaires graves tel qu’un crime ou un blanchiment d’argent avec preuves, qu’avec l’autorisation du pays dont l’agent diplomatique ou l’ambassadeur assure la représentation par l’accord écrit du premier ministre (ou l’équivalent) contresigné par le ministre des affaires étrangères de son pays d’origine. Autrement, le pays hôte ne peut qu’expulser l’ambassadeur et/ou le personnel diplomatique ainsi que les membres de sa famille qu’il estime persona non grata.

Le diplomate considéré comme « non désiré » retourne dans son pays d’origine et est habituellement démis de ses fonctions, mais dans la majorité des cas aucune poursuite n’est intentée.

L’article 44 de la Convention de Vienne sur les relations diplomatiques de 1961 dispose que les privilèges et immunités sont inaliénables, y compris en cas de rupture des relations diplomatiques ou de conflit entre les États (auquel cas l’État accréditaire doit fournir une aide logistique au retour des personnes et des biens). Cette mesure ne concerne pas les ressortissants du pays d’accueil qui jouiraient d’un statut diplomatique.

Cas célèbres :

De nombreux diplomates, famille et amis importent de la drogue dans le cadre de la valise diplomatique, quand ils sont interpellés par les douanes, le gouvernement les remet en liberté et leur restitue drogues et argent saisis. D’une part de nombreuses ambassades, en particulier de pays en voie de développement se financent ainsi, d’autre part l’état a la faculté d’expulser le diplomate s’il considère qu’il s’agit d’un abus.

Hannibal Kadhafi, dans les années 2000, fait prévaloir plusieurs fois son immunité diplomatique en-dehors de l’exercice de ses fonctions diplomatiques pour des crimes et délits, qu’il aurait commis en privé, à chaque fois son immunité est acceptée, par au moins quatre pays européens différents.

Dominique Strauss-Kahn en 2011 alors qu’il était accusé de violences sexuelles sur une employée d’un hôtel a tenté de faire prévaloir son immunité diplomatique résultant de ses fonctions au Fonds monétaire international. Mais les griefs qui lui étaient reprochés relevaient d’une affaire privée, et son immunité n’a pas été acceptée par l’État de New York.

En juin 2014, le ministère français des affaires étrangères demande à ses collègues du ministère de l’intérieur d’effacer des fichiers des empreintes génétiques un auteur de crimes ou de délit à caractère sexuel ayant un parent diplomate. Selon la logique du gouvernement français, un tel individu « immunisé » interpellé en flagrance et reconnaissant les faits, ne peut être poursuivi judiciairement, dès lors il ne peut être fiché.

Immunité diplomatique -dominique-strauss-kahn-notre

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Paix et sincérité à tous !

Eveil-delaconscience

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