Nous croyons que nous sommes évolués, mais tous les jours nos enfants meurent pour le profit de quelques industries. Ceci ne concerne pas seulement les États-unis, c’est mondial : tous les scientifiques et entreprises suivent l’agenda 2030 ODD et approuvent les recherches, sur les implants, sur la relation cerveau ordinateur  ( appeler autrement  MK ULTRA et MIND CONTROL) qui, proviennent directement des recherches que les américains ( CIA FBI et Nazis… ) ont pu faire lors des guerres ou de projet ésotérique.

Vous ne le saviez peut-être pas… pourtant ceci n’empêche que des chercheurs du Pentagone devraient dévoiler des avancées vers la mise au point d’un implant dans le cerveau qui un jour permettra peut-être de restaurer la mémoire des soldats blessés au combat. Faire des recherches et des liens vous aidera à comprendre, comme je le présente ici. L’émergence de nouvelles technologies est en plein essor :  PUCE – IA – cerveau artificielle BRAIN PROJECT – NBIC Nanotechnologie Biotechnologie cognitique informatique !

L’agence de recherche du ministère américain de la Défense (DARPA ), progresse dans ses efforts menés dans le cadre d’un programme de quatre ans pour créer un stimulateur avancé de la mémoire, ont expliqué cette semaine des responsables. Ces travaux s’inscrivent dans une initiative de 100 millions de dollars du président Barack Obama visant à mieux comprendre la physiologie du cerveau et à percer ses mystères. Ce type de recherche sur la mémoire n’avait pas été entreprise jusqu’alors et soulève des questions éthiques sur le fait de savoir si l’esprit humain devrait être manipulé sous prétexte de réparer des blessures de guerre ou traiter un cerveau vieillissant.

Selon certaines estimations, de telles avancées pourraient bénéficier aux cinq millions d’Américains souffrant de la maladie d’Alzheimer et aux près de 300.000 militaires aux Etats-Unis ayant subi des blessures du cerveau en Irak et en Afghanistan.

« Si vous avez été blessé au combat et que vous ne pouvez plus vous souvenir de votre famille, nous voulons pouvoir restaurer cette mémoire », a souligné le responsable du programme de recherche de la DARPA, Justin Sanchez, lors d’une conférence cette semaine à Washington organisée par le Centre pour la santé du cerveau de l’Université du Texas (sud).

« Nous pensons pouvoir développer des neuroprothèses capables d’interagir directement avec l’hippocampe dans le cerveau pour rétablir la mémoire déclarative », a-t-il dit. Cette mémoire, qui permet de se souvenir des personnes, des évènements et des faits, n’a jamais pu être restaurée une fois perdue.

Jusqu’à présent, les scientifiques ont seulement pu réduire, avec un stimulateur électrique dans le cerveau, les tremblements chez des personnes atteintes de la maladie de Parkinson et les convulsions chez des épileptiques, ou encore stimuler la mémoire d’individus atteints d’Alzheimer. Mais selon les neurologues, une approche beaucoup plus subtile est nécessaire quand il s’agit de restaurer une mémoire perdue.

https://youtu.be/fyPW1Jn9nPo

Questions éthiques :

« La mémoire, c’est des configurations et des branchements », note Robert Hampson, un neurologue de l’Université Wake Forest en Caroline du Nord (sud-est), qui participe à la recherche de la DARPA.

Ce scientifique a fait des recherches sur des rongeurs et des singes qui ont révélé que les neurones dans l’hippocampe – siège de la mémoire dans le cerveau – sont activés différemment selon que le sujet voit du rouge ou du bleu, ou la photo d’un visage ou d’un type de nourriture.

Fort de ses observations, ce chercheur et son équipe ont pu étendre la mémoire à court terme de ces animaux de laboratoire en utilisant des neuroprothèses pour stimuler l’hippocampe. Ils ont aussi pu manipuler la mémoire d’un singe pour qu’il se souvienne d’une image qu’il n’avait pas vue.

Selon les neurologues, il serait possible d’améliorer la mémoire d’une personne en aidant seulement le cerveau à fonctionner comme avant la blessure. « L’idée est de rétablir une fonction pour qu’elle soit normale, ou proche de la normale, dans l’hippocampe de façon à ce que la personne puisse accéder de nouveau à ses souvenirs et mémoriser de nouvelles informations », indique encore Robert Hampson.

Ces expériences montrent combien il est facile de manipuler les souvenirs chez des personnes, ce qui ouvre un champ de mines éthique, juge Arthur Caplan, un éthicien médical au Centre médical Langone de l’Université de New York.

« Quand on bidouille avec le cerveau, on bidouille avec l’identité personnelle d’un être », met en garde cet expert, consultant du DARPA. « Le coût d’une altération de l’esprit est de risquer de perdre le sens de soi, un nouveau danger auquel nous n’avons jamais été confronté », estime-t-il.

La physiologie (du grec φύσις, phusis, la nature, et λόγος, logos, l’étude, la science) étudie le rôle, le fonctionnement et l’organisation mécanique, physique et biochimique des organismes vivants et de leurs composants (organes, tissus, cellules et organites cellulaires). La physiologie étudie également les interactions entre un organisme vivant et son environnement. Dans l’ensemble des disciplines biologiques, en définissant schématiquement des niveaux d’organisation, la physiologie est une discipline voisine de l’histologie, de la morphologie et de l’anatomie.

La physiologie regroupe des processus qu’elle étudie en grandes fonctions qui sont :

  • les fonctions de nutrition ;
  • la fonction de reproduction ;
  • les fonctions de relation : la locomotion et les fonctions sensorielles (voir les articles détaillés dans la liste ci-dessous).

Le terme physiologie a aussi été utilisé au XIXe siècle par les écrivains réalistes pour qualifier de petites études de mœurs de personnage typiques comme les concierges, les curés de campagne, le bagnard ou la femme de trente ans dont certains sont regroupés dans l’ouvrage Les Français peints par eux-mêmes, à titre d’exemple on citera Balzac et sa « Physiologie du mariage ».

L’étude de la physiologie humaine remonte à au moins 420 avant J.-C. avec Hippocrate. La pensée critique d’Aristote et son accent sur la relation entre la structure et la fonction a marqué le début de la physiologie dans la Grèce antique, tandis que Claude Galien est le premier à réaliser des expériences pour étudier le fonctionnement de l’organisme, faisant de lui le fondateur de la physiologie expérimentale.

Au XVIIe siècle naît la « première révolution biologique » : la cabinet d’études du physiologiste s’équipe de nombreux instruments de mesure (balance thermomètre, baromètre) qui permettent de mesurer les paramètres biologiques des animaux sacrifiés mais les résultats de ces études ne sont pas mis à profit par les médecins qui appliquent toujours le Primo saignare, deinde purgare, postea clysterium donare (« d’abord saigner, ensuite purger, postérieurement seringuer »).

Lui succède au XIXe siècle une seconde révolution, la médecine expérimentale dont les bases ont été formulées et théorisées par le physiologiste français Claude Bernard.

Système nerveux autonome :

Le système nerveux autonome est un système en réseau formé des organes des sens, des nerfs, du cerveau, de la moelle épinière, etc. Avec le système endocrinien (qui est l’ensemble des glandes sécrétant des hormones), il assure l’homéostasie de l’organisme en agissant par des impulsions électriques exerçant une action sur les muscles ou les organes.

Neurophysiologie :

La neurophysiologie, physiologie du cerveau et des cellules nerveuses (neurone et cellule gliale), est la partie de la physiologie qui traite du système nerveux pouvant être séparé en deux parties :

  • système nerveux central
  • système nerveux périphérique

Physiologie sensorielle :

  • Perception
  • Goût
  • Odorat
  • Ouïe
    • Audition
    • Oreille
  • Vue
    • Œil
  • Somesthésie

Système reproducteur chez les humains :

Le système reproducteur chez les humains est l’ensemble des organes qui concourent à la reproduction d’un organisme. Le développement du système reproducteur et son bon fonctionnement dépendent de glandes sécrétant des hormones endocrines.

  • Appareil reproducteur
  • Reproduction (biologie)
  • Physiologie de la reproduction
  • Menstruation

Système circulatoire

Le système circulatoire, dont l’organe moteur est le cœur, transporte les matières chimiques, les gaz respiratoires et la chaleur dont l’organisme a besoin. Il sert donc au maintien de l’homéostasie. Il est composé de deux sous-systèmes :

  • le système cardio-vasculaire :
    • cœur
    • sang
    • circulation sanguine
  • le système lymphatique :
    • lymphe

Le système circulatoire est essentiel au fonctionnement des autres systèmes, respiratoire, nutritif, immunitaire, endocrinien et thermorégulateur.

Système respiratoire

Pour un organisme animal, le système respiratoire permet l’approvisionnement des cellules en oxygène et le rejet du CO2. Le système respiratoire assure ces échanges de gaz vitaux au niveau des poumons ; tandis que le système circulatoire les transporte des cellules aux poumons.

  • Poumon
  • Bronche
  • Lobe pulmonaire
  • Respiration
  • Respiration humaine
  • Ventilation pulmonaire

Système moteur, locomotions diverses

  • Réflexe (réaction motrice)

  • Activités posturales

  • Mouvement volontaire

  • Muscle

  • Squelette

Système digestif, alimentation et excrétion

Le système digestif digestion a pour fonction de transformer les aliments en des formes physiques et chimiques capables d’être absorbées et transportées dans le système circulatoire (sang et lymphe) pour répondre aux besoins en glucides, lipides, protéines, vitamines, sels minéraux et eau des cellules d’un organisme.

  • Nutrition
  • Digestion
  • Réserves énergétiques
  • Excrétion

Thermorégulation :

La thermorégulation permet à un organisme de conserver une température constante. Elle est le résultat de productions et de déperditions de chaleur. On distingue les organismes homéothermes des poïkilothermes. Les poïkilothermes sont les animaux dont la température interne varie en fonction de la température externe.

La thermorégulation comprend deux phénomènes :

  • thermolyse (biologie) (perte de chaleur)
  • thermogenèse (production de chaleur)

Physiologie végétale :

La physiologie végétale, ou phytobiologie, est la science qui étudie le fonctionnement des organes et des tissus végétaux et cherche à préciser la nature des mécanismes grâce auxquels les organes remplissent leurs fonctions. Elle cherche en somme à percer les secrets de la vie chez les plantes.

Les domaines d’étude de la physiologie végétale sont très diversifiés et concernent notamment :

  • La nutrition, en particulier l’absorption des éléments minéraux et les fonctions de synthèse :
    • Nutrition carbonée ;
    • Nutrition azotée ;
    • Nutrition minérale ;
    • Photosynthèse.
  • La respiration et les échanges gazeux chez les plantes.
  • La transpiration est affectée par la chaleur et par une circulation d’air sec et chaud, donc perte de H2O chez les plantes.
  • Les relations des végétaux avec leur environnement.
  • La croissance et le développement.
  • La reproduction, végétative ou sexuée.

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Paix et sincérité à tous !

Eveil-delaconscience

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