Publication mise à jour le 23 JUILLET 2017

Attention… ✈ toutes les allusions qui seront présentées dans mes publications et vidéos, proviennent d’un consortium de brevets et de rapports permettant aux entreprises de définir le climat comme un laboratoire ou l’on peut analyser – modifier – répertorié dans un ATLAS DE L’ONU – OMM – Organisation météorologique mondiale.

Atlas international des nuages (artificielles)
Manuel de l’observation des nuages et des autres météores – ONU – OMM

Bienvenue sur le site officiel de l’Atlas international des nuages de l’Organisation météorologique mondiale (OMM). Cet Atlas décrit le système de classification des nuages et des phénomènes météorologiques utilisé par tous les Membres de l’OMM. Les classifications traitent également des météores autres que les nuages – les hydrométéores, les lithométéores, les photométéores et les électrométéores. https://cloudatlas.wmo.int/fr/home.html

L’Atlas international des nuages (ou plus simplement Atlas des nuages) est un ouvrage consacré aux nuages, publié pour la première fois en 18961. Ses objectifs initiaux étaient d’aider à la formation des météorologistes et de promouvoir un vocabulaire plus cohérent pour la description des nuages. La première édition comprenait des planches de photographies en couleurs, ce qui était alors une technologie nouvelle. De nombreuses éditions ont été publiées par la suite.

En 1802 (an X de la République), Jean-Baptiste Lamarck proposa une classification des nuages suivant leurs formes, qui étaient au nombre de quatre2.

En 1803, Luke Howard fut le premier à proposer une classification simplifiée des nuages construite sur leur apparence selon deux « genres » de nuages, cumulus et stratus, et en les divisant en quatre groupes selon la hauteur de leur base, non l’altitude de la cime3. À cela s’ajoutèrent des «espèces », qualificatifs pour des variations particulières. Le météorologue anglais Ralph Abercromby influença le suédois Hildebrandsson qui publia en 1890, avec Wladimir Köppen et Georg von Neumayer, l’Atlas des nuages4.

Durant le XIXe siècle, le monde de la météorologie s’organisait et, en 1873, l’Organisation météorologique internationale vit le jour. Son Comité météorologique international forma la commission sur d’étude les nuages comprenant des météorologues de renom dont Hugo Hildebrand Hildebrandsson (en), Albert Riggenbach (en), Léon Teisserenc de Bort, Julius von Hann, Henrik Mohn et Abbott Lawrence Rotch (en)5. À la suite de ses délibérations, la commission commandita la première édition de l’Atlas international des nuages sous la direction des trois premiers. Elle était trilingue (français, anglais et allemand) et décrivait pour la première fois la nomenclature unifiée des nuages à l’aide de photos, telle que proposée par la commission. Qui plus est, les images représentant les nuages étaient pour la plupart des photographies en couleur, au lieu de photos colorées à la main, un procédé compliqué et dispendieux à l’époque. Seulement quelques-unes étaient des peintures, lorsque des photographies n’étaient pas disponibles. La couverture de l’ouvrage comportait la photo d’un cirrus1.

Les commentaires à cette première édition furent élogieux. Un commentateur nota « Les illustrations sont brillamment colorées et en plus de sa grande valeur pour la météorologie, l’Atlas en lui-même vaut le prix demandé juste pour ces illustrations »6.

L’Atlas international des nuages fut de nombreuses fois réédité depuis 18967, soit en 1911, 1932 et 19398 par l’Organisation météorologique internationale ; puis en 1956, 1975 et 1995 (réimpression) par son successeur l’Organisation météorologique mondiale. Son nom changea quelques fois : la version de 1932 fut publiée sous le nom d’Atlas international des nuages et de l’état du ciel, celle de 1939 sous le titre d’Atlas international des nuages et des types de ciels. L’édition de 1956 est la première à être publiée en deux volumes, séparant le texte des photos, ce qui abaissa son coût et facilita sa traduction dans plus de langues. Ainsi, une édition norvégienne vit le jour en 1958 (Internasjonalt skyatlas 1956), polonaise en 1959 (Międzynarodowy atlas chmur; atlas skrócony) et néerlandaise en 1967 (Wolkenatlas. Bewerkt naar de Internationale verkorte wolkenatlas van de Meteorologische Wereldorganisatie).

La version de 1896 de l’Atlas fut retranscrite et modifiée en 1897 par la US Navy et a pour titre Illustrative cloud forms for the guidance of observers in the classification of clouds, qui était composée de seize planches9.

L’édition de 1975 fut publiée en deux volumes : le premier en 1975 (texte)10 et le second en 1987 (photos)11. Elle contenait plusieurs innovations, dont un nouveau chapitre de description des nuages en vue plongeante comme d’un avion. La classification des hydrométéores fut remplacée par une plus générale des météores : hydrométéores (eau sous forme liquide ou solide dans l’atmosphère), lithométéores (particules solides comme les aérosols et poussières), photométéores (phénomènes lumineux dans l’atmosphère comme l’arc-en-ciel) et électrométéores (phénomènes électriques comme la foudre).

Une nouvelle édition était en préparation en 201612 et fut publiée le à l’occasion de la journée météorologique mondiale13. Cette nouvelle édition est toujours construite sur l’observation visuelle des nuages et non sur les paramètres physiques de l’atmosphère. De nouvelles propriétés sont ajoutées. Par exemple, le nuage-mur s’appelle maintenant cumulonimbus murus. De la même manière l’asperatus a été rejeté en tant que genre de nuage et a été accepté comme une caractéristique supplémentaire appelée asperitas. L’usage de célomètres ou de radars est à peine mentionné. L’édition de 2017 ajoute douze formations nuageuses. Elle est consultable en ligne14,13.

source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Atlas_international_des_nuages

Atlas international des nuages, vol. I, Organisation météorologique mondiale, , 183 p. (ISBN 978-92-63-20407-3, lire en ligne [PDF]).

Vidéos :

Brevets et rapports :

De nombreux brevets attestent mes propos, je vous les joints dans la vidéo, vous les transmets dans mes autres publications. Concernant la modification du climat, vous devez regardez les avions qui épandent des traces chimiques et ceux qui ne font rien. Comparé avec ONU-OMM, ma vidéos dont les brevets et dites moi si cela est une théorie.

Chemtrails est un néologisme anglophone construit à partir de plusieurs spécificités :

dérivé du terme anglophone  » Contrails « ( traces en condensation ) qui désigne cette trace blanche laissée derrière des avions, que l’on peut voir dans le ciel. Elles ne sont pas faites de gouttelettes d’eau qui restent en suspension –

https://www.youtube.com/watch?v=jLzLlKiGUNM

https://www.youtube.com/watch?v=dY-XMyJHq54

Ne négliger jamais ce qui a été dis.

Quand les hommes cesseront de se mentir, ils cesseront de mentir aux autres. Ce sera le commencement de la véritable humanité. C’est ce que nous défendons.

Partagez ce savoir à vos proches.

Paix et sincérité à tous !

Eveil-delaconscience

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