J’ai fait des recherches au sujet de la franc maçonnerie, des sociétés secrètes réparties dans le monde : La où règne l’influence, les francs maçons déposent des édifices. Si vous connaissez pas ce qui fait partie de notre monde, je vous suggère de l’approfondir et de mieux le comprendre avec moi. N’oubliez pas, si vous ne le savez pas, c’est bien qu’il existe des gens qui ne veulent pas que vous sachiez – les médias font partie de l’échiquier.

Je fais une remarque avant d’aller plus loin : Les informations fournis ne proviennent pas que de L’auteur; comme présenté sur le présent lien https://www.eveil-delaconscience.com/bienvenue-sur-eveil-delaconscience – Elles ( les informations ) proviennent directement de site internet gouvernementaux, comme diverses magazines. Pour éviter de tout vous mettre en un seul article, je vous invite à voir l’histoire de la Franc maçonnerie Française sur wikipédia ou sur La GLDF ( Grande loge de France ) : https://www.gldf.org/

Les Loges sont réparties dans le monde et font partie intégrante des pays inscrit dans le centre névralgique : L’organisation des nations unies compte 130 pays. Je ferais seulement allusion a La France et la Franc maçonnerie.

La France et la Franc maçonnerie

La Franc-maçonnerie en France daterait de la fin du XVIIe siècle avec l’arrivée des jacobites expulsés de Grande-Bretagne. Cette information a été donnée lors de l’intégration en 1777 de la loge « La Parfaite Égalité », Orient de Saint-Germain-en-Laye, au jeune Grand Orient de France sans qu’aucune vérification n’ait à l’époque été faite (Cf. Acte d’intégration).

En 2005, il y a 135 000 adhérents aux diverses obédiences maçonniques. Toutes les obédiences ne se reconnaissent pas toujours comme telles les unes les autres, en fonction de certains critères.

Jusqu’au milieu du XXe siècle l’histoire de la franc-maçonnerie fut exclue du champ de l’histoire universitaire classique. Particulièrement en France, l’historiographie maçonnique se partageait alors presque exclusivement entre des auteurs nettement hostiles à la franc-maçonnerie et d’autres qui lui étaient résolument favorables et qui étaient souvent maçons eux-mêmes.

Depuis, son influence politique s’est amoindrie et son conflit historique avec l’Église catholique romaine en France, elle aussi devenue politiquement moins puissante, s’est sinon résolu du moins apaisé. Dans ce climat devenu plus favorable à l’application des principes et méthodes de l’érudition classique, l’historiographie maçonnique a pu se développer et se constituer en une discipline autonome, la maçonnologie, consacrée à une étude plus large et plus neutre de l’univers culturel et intellectuel très varié que constitue la franc-maçonnerie européenne en général, et la franc-maçonnerie française en particulier.

La franc-maçonnerie française offre à l’historien de nombreux documents (manuscrits, diplômes, gravures, caricatures, articles de journaux, imprimés). Elle a produit également un grand nombre d’objets rituels (tabliers maçonniques, tableaux de loge, vaisselle, médailles commémoratives, etc.), mais également de la vie courante (montres, pipes, tabatières, sujets en faïence) exposés au public dans plusieurs musées ou expositions permanentes.

Mais les sources principales restent celles des manuscrits et en tout premier lieu le cabinet des manuscrits de la Bibliothèque nationale de France et celui de la Bibliothèque municipale de Lyon. En 2001, le gouvernement russe a par ailleurs restitué aux obédiences françaises, qui les mettent à la disposition des historiens, la totalité des archives qui avaient été confisquées aux loges pendant l’occupation allemande et qui étaient conservées à Moscou depuis la libération.

D’après une tradition remontant à 1777, la première loge maçonnique apparue en France aurait été fondée en 1688, au sein du régiment « Royal Irlandais » arrivé en France à la suite de l’exil de Jacques Stuart, sous le nom de « La Parfaite Égalité » de Saint-Germain-en-Laye. Les historiens estiment que la chose est très vraisemblable, notamment du fait de la présence sur place de très nombreux aristocrates écossais francs-maçons, mais elle n’a jamais pu être totalement démontrée.

De même, la première loge de source anglaise aurait été « l’Amitié et Fraternité » fondée en 1721 à Dunkerque.

La première loge dont l’existence est historiquement bien documentéefut fondée par des Britanniques à Paris « vers l’année 1725 ». Elle se réunissait chez le traiteur anglais Barnabé Hute, rue des Boucheries, « à la manière des sociétés angloises », et regroupait principalement des Irlandais et des exilés stuartistes. C’est assez probablement cette même loge qui recevra en 1732 des patentes officielles de la Grande Loge de Londres sous le nom de loge « Saint Thomas no 1 », se réunissant à l’enseigne du « Louis d’Argent », toujours rue des Boucheries.

Napoléon Ier et la franc-maçonnerie :

Parmi l’entourage militaire et intellectuel proche de Napoléon beaucoup sont franc-maçons (le général Kléber qui fonde la loge « Isis » au Caire, Dominique Vivant Denon, membre de l’Ordre sacré des Sophisiens et de la loge « La Parfaite Réunion », Gaspard Monge membre notamment de la loge militaire « L’Union parfaite »). Aussi une rumeur affirme que Bonaparte a pu être initié à la franc-maçonnerie lors de la campagne d’Égypte dans la loge « Isis », comme le suggère notamment le manuscrit Le miroir de la Vérité dédié à tous les maçons, le fait qu’il soit louveteau (c’est-à-dire fils de franc-maçon, Charles Bonaparte) et qu’il ne conteste pas de se faire par la suite appeler « frère » par différents membres des 1200 loges maçonniques qui se développent pendant le Premier Empire, néanmoins les critiques envers les francs-maçons qu’il tient lors de son exil à Sainte-Hélène semblent prouver le contraire .

Gilbert du Motier de La Fayette :

Gilbert du Motier, marquis de La Fayette, dit « La Fayette », né le 6 septembre 1757 à Saint-Georges-d’Aurac (province d’Auvergne, actuellement Chavaniac-Lafayette dans la Haute-Loire) et mort le 20 mai 1834 à Paris (ancien 1er arrondissement), est un aristocrate d’orientation libérale, officier et homme politique français, qui a joué un rôle décisif dans la guerre d’indépendance des États-Unis et l’émergence d’un pouvoir royal moderne, avant de devenir une personnalité de la Révolution française jusqu’à son émigration en 1792 puis un acteur politique majeur des débuts de la monarchie de Juillet.

Après la révolution de 1789, La Fayette décide de signer tous ses courriers d’un « Lafayette » en un seul mot, en réaction contre le système nobiliaire. C’est aussi la graphie utilisée par ses contemporains jusqu’à sa mort.

En août 1775, le capitaine Gilbert de La Fayette est envoyé par son beau-père, le duc d’Ayen, en garnison à Metz pour y parfaire sa formation militaire. Il raconte dans ses Mémoires qu’il participe le 8 août à un grand souper offert par le comte de Broglie, gouverneur de la ville, au duc de Gloucester, frère du roi d’Angleterre, qui y évoque le soulèvement des Insurgents.

C’est le jour même de ce « fameux dîner de Metz » que le jeune officier prend la décision de partir combattre pour l’indépendance de l’Amérique.

De retour à Paris à l’automne, La Fayette participe à des sociétés de pensée qui débattent de l’engagement de la France dans la Révolution américaine. Lors de ces réunions, un conférencier, l’abbé Raynal, insiste sur les « Droits de l’homme » et la fin des colonies, critique le clergé comme la noblesse. Censuré, il exprime dès lors secrètement ses vues auprès de loges maçonniques, entre autres celle dont La Fayette est membre.

Les contacts avec Bonaparte :

La Fayette passe ensuite dans les Provinces-Unies, où il est bien accueilli, et se fixe quelque temps à Utrecht, épiant avec impatience l’occasion de rentrer en France, où un parti puissant, ayant à sa tête l’ancien constituant Sieyès, s’agite en sa faveur. C’est là qu’il apprend le débarquement de Napoléon Bonaparte, au port de Fréjus, d’où sa marche vers Paris n’a été qu’une course triomphale.

La Fayette écrit à Bonaparte pour le complimenter sur son retour ; mais cette démarche, probablement intéressée, n’amène aucun résultat. Ses relations avec Napoléon sont complexes. Ainsi il lui exprime par écrit sa gratitude pour sa libération et il le félicite aussi lors de son retour d’Égypte. Mais Napoléon, sans l’avoir rencontré, lui est hostile et lui interdit de s’installer à Paris.

En 1728,

les francs-maçons français décident de reconnaître comme « grand maître des francs-maçons en France », Philippe, Duc de Wharton (1698-1731), qui séjourne à Paris et à Lyon de 1728 à 1729, et qui avait déjà été, en 1723, grand maître de la Grande Loge de Londres. Les jacobites James Hector MacLean (1703-1750) qui proclame les Règlements généraux le 27 octobre 1735 (c’est dans ce texte que le terme « Grande Loge » apparaît) puis Charles Radclyffe(en), Duc de Derwentwater (1693-1746), lui succéderont. La nomination de Wharton, antérieure à la transformation de la « Grande Loge de Londres » en « Grande Loge d’Angleterre » en 1738, est considéré par une partie des historiens comme le point de départ d’une franc-maçonnerie française indépendante de celle de Grande-Bretagne.

Si l’existence d’un grand maître en France est ainsi attestée dès 1728, il faudra cependant attendre dix ans de plus pour qu’une véritable assemblée des représentants de toutes les loges « anglaises » et « écossaises » constitue pleinement la première Grande Loge de France le 24 juin 1738 et institue Louis de Pardaillan de Gondrin (17071743), deuxième duc d’Antin, « Grand Maître général et perpétuel des maçons dans le royaume de France ». La proclamation du duc d’Antin, prince de sang, à ce titre, aura pour effet rapide d’alléger les opérations de surveillance que la police commençait à conduire sur la « société secrète » et son influence convaincra probablement le roi Louis XV d’oublier de faire enregistrer la bulle papale de Clément XII, condamnant la franc-maçonnerie, par le Parlement.

En décembre 1736, le chevalier de Ramsay prononce un discours développant l’idée d’une origine chevaleresque de la franc-maçonnerie. Cette idée aura par la suite une influence certaine sur l’apparition dans la période 17401770 de très nombreux hauts grades maçonniques qui seront regroupés par la suite au sein des différents rites maçonniques.

Groupe de reconnaissance de la « Maçonnerie française »

Les obédiences de ce groupe sont rangées dans un ordre protocolaire, fondé sur leur ancienneté :

  • la Grande Loge féminine de France (féminine mais accepte les Frères comme visiteurs) : Créée en 1952 par transformation de l’Union maçonnique féminine de France (1945), 14 000 adhérentes (en 2010), 400 loges.

NB : la Grande Loge de France s’est retirée de ce groupe en 2006.

Le cas particulier de la Grande Loge de France :

Il existe en France une autre obédience historique, la Grande Loge de France, dont le statut est un peu particulier, puisqu’elle revendique son indépendance par rapport aux deux grands pôles de reconnaissance mentionnés plus haut. Strictement masculine, ayant obtenu en 1894 son indépendance du Suprême Conseil de France fondé en 1821, elle est composée de 28 000 adhérents en 2010. Dans la querelle du Grand Architecte de l’Univers, elle s’en est toujours tenue à la position du convent de Lausanne de 1875 sans condamner pour autant le Grand Orient de France ni les autres obédiences dites « libérales ». Chef de file en France du courant maçonnique déiste, elle propose une voie intermédiaire axée sur un travail spirituel et philosophique entre les groupes maçonniques théistes proches des anglo-saxons et les obédiences plus marquées par des thématiques sociétales.

En amitié avec des obédiences libérales à travers le monde, elle cherche à développer son particularisme en créant directement des loges à l’étranger, ou par le biais de relations internationales notamment au sein de la Confédération des Grandes Loges Unies d’Europe ou par ses liens avec certaines obédiences Prince Hall  aux États-Unis.

Pourquoi être ou devenir Franc-Maçon de la GLDF aujourd’hui ? 

Pour se construire et s’épanouir dans l’existence, à la fois dans la réflexion et l’action.  Vivre c’est réfléchir et agir, concevoir et réaliser, donner et construire un sens à sa vie et contribuer à l’évolution positive du monde qui nous entoure . On peut trouver du sens dans des convictions parfois dogmatiques et des idéologies parfois réductrices. Mais on peut aussi vouloir dépasser les standards et les prêts à penser de toutes sortes et de toutes origines.

À ceux qui sont en recherche de conception et de construction de sens, la Grande Loge de France propose une démarche originale : l’initiation. Il s’agit donc par l’initiation :  – de se construire soi-même pour construire le sens de sa vie.

Le but de la Franc-maçonnerie et de la Grande Loge de France est de donner un espace de réflexion et d’action à des hommes qui souhaitent construire un sens à leur vie en complétant sans jamais contredire ce qu’ils édifient par ailleurs dans leur cadre familial, professionnel ou relationnel. – de le faire en exerçant sa liberté de conscience religieuse et citoyenne tout en respectant celle des autres Il s’agit d’une démarche d’absolue liberté  de conscience religieuse et de conscience citoyenne :

La Grande Loge n’oblige à la croyance ou à la pratique – ni n’interdit la croyance ou pratique – d’aucune religion, philosophie ou courants de pensée particuliers. De même elle ne se revendique d’aucune position politique particulière.

http://www.gldf.org/fr/qui-sommes-nous/pr%C3%A9sentation

Grande loge traditionnelle et Symbolique opéra :

Fondée en 1958, mais issue d’une histoire remontant au 18ème siècle, la Grande Loge Traditionnelle et Symbolique Opéra est une obédience maçonnique qui réunit aujourd’hui près de 300 loges. Les Frères qui les composent travaillent à six rites différents mais sont tous rassemblés autour des mêmes principes : souci d’un sincère perfectionnement moral et intellectuel de soi-même, désir d’une vraie liberté, attention au bien-être d’autrui, recherche d’une authentique spiritualité, esprit de fraternité et d’universalité, croyance ouverte et tolérante en un Grand Architecte de l’Univers.

Les pages de ce site ont pour vocation de présenter la franc-maçonnerie telle que nous la concevons et que nous la pratiquons. Elles offrent des informations générales sur ce que nous sommes et ce que nous voulons, sur notre passé, sur notre actualité ; elles répondent à des questions que l’on peut se poser. Mais il faut savoir qu’avant tout la franc-maçonnerie se vit, qu’elle est, surtout, un engagement et une manière d’être au monde.

Rites :

Le Rite écossais rectifié est le rite majoritaire de la GLTSO ; il est son rite officiel (65 % de loges travaillent avec celui-ci). Ceci signifie que les cérémonies officielles se déroulent au RER.

Elle pratique également (par ordre d’importance numérique) :

  • Le Rite émulation
  • Le Rite français traditionnel
  • Le Rite écossais ancien et accepté
  • Le Rite standard d’Écosse
  • Le Rite d’York

Voir aussi

Photos : ( qui sera inclus avec sont article – cliquer dessus )

DANIEL KELLER, GRAND MAITRE DU GRAND ORIENT DE FRANCE

DANIEL KELLER, GRAND MAITRE DU GRAND ORIENT DE FRANCEManuel Valls franc Macon et ami d'Alain Bauer

Documentaires :

Émission spéciale Franc-maçonnerie :

François Hollande est Franc Maçon (GODF)

Symboles Illuminati Francs-Maçons sur les pochettes d’album et signes sataniques chez les stars :

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