1_Laurent LOUIS dénonce l'industrie pharmaceutiques 

Laurent LOUIS accuse la Ministre socialiste de la Santé, Laurette Onkelinx, d’autoriser à la vente certains produits comme l’aspartame alors que de nombreuses études ont démontré leur dangerosité pour la santé des consommateurs.

L’empoisonnement des citoyens est encouragé par les responsables politiques qui sont totalement corrompus par les lobbys pharmaceutiques et agro-alimentaires. Nos assiettes sont pleines de poisons !

Il est temps de réagir !

Laurent LOUIS :

né le 29 février 1980 à Nivelles, est un homme politique belge.

Il devient en 2010 député fédéral belge suite à son élection sur la liste du Parti populaire, dont il est le seul parlementaire. Six mois après son élection, il est exclu de son parti, et siège ensuite comme indépendant.

Il crée alors le Mouvement libéral démocrate (MLD). En janvier 2013, il dissout le MLD puis, quelques mois plus tard, rejoint le parti Islam, dont il est exclu au bout de quelques semaines. En novembre 2013, il fonde un nouveau mouvement, Debout les Belges, qu’il dissout après avoir perdu son siège lors des élections de mai 2014.

Homme politique très controversé, Laurent Louis se signale principalement par de nombreuses provocations, et par la diffusion de rumeurs visant diverses personnalités.

Carrière politique :

Il est d’abord membre du Mouvement réformateur pendant 3 ans ; il dit cependant avoir été déçu à la fois par l’évolution idéologique du MR, et par le manque de place accordée aux jeunes en son sein. Il est un temps collaborateur de la députée Florence Reuter et président des Jeunes MR de Nivelles, où il semble avoir connu d’importants problèmes relationnels avec des militants locaux, qui le décrivent après coup comme « très instable et incohérent ». Il décide, en février 2010, de quitter le Mouvement réformateur pour rejoindre le Parti populaire – créé trois mois auparavant – afin de s’engager selon ses dires dans « un vrai parti de droite ».

Quelques mois après son adhésion au Parti populaire, il obtient la tête de liste de ce mouvement dans la circonscription du Brabant Wallon, en vue des élections législatives de juin 2010 :

c’est la première fois que ce militant de trente ans, alors totalement inconnu du public, se porte candidat à un scrutin. Il n’obtient que 1 345 voix de préférence, mais il est cependant élu grâce au mécanisme de l’apparentement au détriment du CDH, devenant ainsi le premier député du Parti populaire à la Chambre des représentants de Belgique.

Laurette Onkelinx :

née le 2 octobre 1958 à Ougrée, en Belgique, est une femme politique belge membre du Parti socialiste. Elle est actuellement députée fédérale.

Laurette Onkelinx est la fille du député-bourgmestre PS Gaston Onkelinx et syndicaliste à Cockerill originaire du Limbourg et installé depuis 1950 à Ougrée, et de Germaine Ali Bakir, originaire de Kabylie (Algérie). Elle est également la sœur cadette du politicien Alain Onkelinx.

Elle fait ses études secondaires à l’athénée d’Angleur (école pilote de l’enseignement « rénové ») et poursuit le droit à l’université de Liège. Après un premier mariage avec Abbès Guenned dont elle a divorcé, Laurette Onkelinx épouse, le 20 novembre 19991, l’avocat et constitutionnaliste Marc Uyttendaele.

Son passage à la présidence de la Communauté française de Belgique et ministre de l’Enseignement en 1993-1999, en pleine crise budgétaire, est notamment marqué par un long conflit social avec les syndicats d’enseignants après l’annonce de la suppression de 3 000 postes.

 

Depuis juillet 1999, Laurette Onkelinx assume la présidence de Beliris, un accord de coopération qui lie l’État Fédéral et la Région de Bruxelles-Capitale. Cet accord se concrétise par l’apport d’un budget annuel destiné à promouvoir le rôle national et international de Bruxelles, par le biais de travaux de réaménagement de la Région de Bruxelles-Capitale.

Elle a initié un plan pour l’emploi des jeunes, baptisé « plan Rosetta », du titre de la Palme d’or des frères Dardenne.

Devenue une des figures de proue du Parti socialiste belge francophone, elle occupe depuis 1999 le poste de vice-Première ministre au sein du gouvernement fédéral belge au portefeuille de l’Emploi dans le gouvernement Verhofstadt I (1999-2003), de la Justice dans le gouvernement Verhofstadt II (2003-2008) et de la Santé dans le gouvernement Leterme I (2008-2011).

En octobre 2006, elle est une des candidates les plus en vue des élections communales à Schaerbeek. Opposée au bourgmestre en titre, le FDF Bernard Clerfayt, la campagne se transforme en un combat politique. Et si finalement, elle double le score local de la liste socialiste, elle reste très loin d’être aussi populaire que son adversaire.

C’est une des raisons qui poussera la tête de liste Ecolo Isabelle Durant à s’allier avec ce dernier, excluant par là Laurette Onkelinx du maïorat schaerbeekois, avec qui pourtant existait un accord secret qui sera dénoncé. Une autre explication du rejet de la liste PS dans l’opposition est le manque de confiance d’Isabelle Durant envers une majorité fragile incluant un élu PS proche de l’extrême droite turque.

Selon un article publié par La Dernière Heure en 2003, certains expliqueraient qu’elle serait peut-être membre de la franc-maçonnerie belge.

Après les élections fédérales de 2014, elle redevient députée ; elle dirige le groupe socialiste à la Chambre des représentants.

7_La franc-maçonnerie d'état expose ses "œuvres d'art" satanistes dans les écoles

 

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