Dans le discours de Mme Rossignol (Membre du Parti socialiste ), à l’émission de « Ce soir ou jamais », vous pourrez comprendre que « Les enfants n’appartiennent pas à leurs parents, ils appartiennent à l’état.»

Les personnes haut placés ne vous le diront pas, ils vous le font entrevoir, comme l’atteste Mme Rossignol.

Est-ce une vérité quand elle dit que les enfants appartient à l’état ?

Après quelques recherches au sujet de la « Fraude du NOM » vous devez bien comprendre : dès lorsque vous avez un numéro de sécurité sociale, vous êtes inscrits en tant que numéro – Si aucun enfant est déclaré par le médecin à l’état au moment de son accouchement, vous êtes hors la loi. Il faut donc, que votre enfant soi enregistré par les médecins ( corrompus par le système dès le diplômes en main par un organisme agrée par l’état) pour qu’ils puissent exister et pouvoir faire partie de la société et contribuer pour les autres. Si l’enfant n’est pas déclaré, ils vous sera enlevé, car il ne paye pas sa contribution dans le présent, le futur, pour le bien être de l’état et de sont fonctionnement.

Notez que toutes les entreprises travaillant dans le domaine de la santé ( l’Urssaf,la sécurité sociale et L’OMS) ont un numéro de Siret : « Ce sont des entreprises et organismes privées à l’aide des états ( qui ont une relation intime, car ils ont placés leurs familles, dirigeant la plupart des organes fondamentales pour suivre l’agenda) qui stockent toutes nos données personnelles. »

Votre nom

Votre prénom

Votre adresse

Votre état de santé (  via le médecin et sécurité sociale)

votre fiche de salaire

Votre impôts

Votre carte d’identité

FAIT DE VOUS UN ÊTRE DOTÉ DE CHAIR ( Biologique) ET D’UN ÊTRE DOTÉ D’UN CODE NUMÉRIQUE (INFORMATIQUE) ENREGISTRÉ PAR L’ÉTAT.

Ce ne sont donc pas l’état qui vous tue à petit feu, mais les organismes de santé qui vous introduisent dans cette société et qui font de vous un être doté d’un numéro de reconnaissance informatique.

Ne croyez point : le système qui inclus les juges, l’économie, la sécurité sociale etc… font partie de l’échiquier.

Vidéo de Laurence Rossignol  ↓

Laurence Rossignol,

née le à La Garenne-Colombes (Hauts-de-Seine), est une femme politique française.

Membre du Parti socialiste, elle est sénatrice de l’Oise, vice-présidente du conseil régional de Picardie, secrétaire nationale du Parti socialiste chargée de l’environnement, porte-parole ;elle est aussi connue pour son engagement féministe.

En 2014, elle est nommée au gouvernement de Manuel Valls secrétaire d’État chargée de la Famille et des Personnes âgées ; secrétaire d’État chargée de la Famille et des Personnes âgées.

Elle est titulaire d’un DEA de droit (université Panthéon-Sorbonne) et chargée de TD en droit de la sécurité Sociale à Paris .Laurence Rossignol a également travaillé comme journaliste juridique à La Vie ouvrière, le journal de la CGT, avant d’intégrer les cabinets socialistes. En 1983, elle est chargée par Pierre Joxe président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale de suivre les questions législatives à caractère social.

En 1988, elle occupe successivement les postes de chargée de mission et de chef de cabinet auprès de Laurent Fabius, président de l’Assemblée nationale. Puis elle intègre en 1991, le cabinet de Frédérique Bredin ministre de la Jeunesse et des sports comme conseillère technique chargée des Relations avec le Parlement.

En 1993, elle devient chargée d’étude à la MNEF, devenue la LMDE.

Entre 1999 et 2004 Laurence Rossignol siège au Conseil économique et social.

Autres fonctions :

  • Rapporteure de la Commission spéciale sur la lutte contre le système prostitutionnel
  • Membre de la Commission d’enquête sur le rôle des banques et acteurs financiers dans l’évasion des ressources financières en ses conséquences fiscales et sur les équilibres économiques ainsi que sur l’efficacité du dispositif législatif, juridique et administratif destiné à la combattre
  • Membre de la Commission nationale du débat public
  • Vice-présidente de Globe International

Globe International est une coalition de parlements nationaux qui favorise la mise en œuvre de politiques nationales pour la lutte et l’adaptation au changement climatique, en vue de faciliter la coopération internationale en la matière.

Elue Vice-présidente en charge de la Politique au Sommet de Globe du 27-28 février à Washington, Laurence Rossignol participe avec les députés, Jean-Paul Chanteguet, et Sophie Errante, aux travaux de l’organisation afin de faire le lien entre la politique française et la coopération internationale sur le climat.

Secrétaire d’État :

Le , elle est nommée secrétaire d’État, chargée de la Famille, des Personnes âgées et de l’Autonomie, auprès de Marisol Touraine dans le gouvernement de Manuel Valls. Elle succède à Dominique Bertinotti (famille) et Michèle Delaunay (personnes âgées).

Engagements féministes et associatifs :

Dans les années 1970, Laurence Rossignol s’engage dans le combat féministe. On la retrouve parmi les Pétroleuses du MLF. Elle milite pour la cause des femmes et notamment, le droit à l’IVG. Tout au long de sa carrière politique, elle restera marquée par ce combat. Elle participera à de nombreuses commissions consacré au droit des femmes, notamment au secrétariat du Parti socialiste.

Mais elle participe aussi au débat public, comme en 2005, lorsqu’à l’occasion du congrès PS du Mans elle dépose avec d’autres femmes un texte volontairement provocateur intitulé : La Femme, le fou et le colonisé.

Dans ce texte, elle développe l’idée que les femmes, comme les descendants de colonisés, sont toujours victimes des stéréotypes véhiculés par les anciennes générations (colonisateur dans un cas, machistes dans l’autre).

Loin d’épargner son propre parti, elle l’égratigne en citant par exemple au début du texte ce proverbe africain : « Quand les éléphants se battent, l’herbe est écrasée ».

En 1984, elle participe à la fondation de SOS Racisme.

Laurence Rossignol, dans une tribune publiée le 6 avril 2012 sur le site Mediapart a défendu la position de Najat Vallaud-Belkacem favorable à l’abolition de la prostitution.

L’engagement lycéen et étudiant :

Laurence Rossignol s’engage tôt en politique, puisqu’en 1973, alors qu’elle est encore collégienne, elle participe au mouvement contre la loi Debré sur le service militaire. Par la suite, elle participera à d’autres mobilisations comme le mouvement contre la réforme Saunier-Seité en 1976.

Les contacts qu’elle prend lors de ces activités militantes la conduisent alors à adhérer à la Ligue communiste révolutionnaire (LCR).

En 1976, elle obtient son bac et poursuit ses études à l’université de Dijon. Elle y passe sa licence de droit avant de s’inscrire à l’université Paris I Sorbonne où elle obtient un DEA de droit. Elle adhère au Mouvement d’action syndicale (MAS).

En 1980, l’ensemble de la gauche syndicale non communiste décide de s’unir dans une organisation commune, l’UNEF-ID. Le MAS participe donc au mouvement.

Mais la direction de ce syndicat n’ayant pu s’entendre avec la direction de l’UNEF-US, elle forme une tendance d’opposition appelée « Tendance luttes étudiantes action syndicale ». Laurence Rossignol participe alors à l’animation de celle-ci.

À l’automne 1981, Laurence Rossignol, quitte la LCR pour le Parti socialiste. À l’UNEF-ID, aux côtés de Julien Dray, cela se traduit par leur passage à la Tendance Plus où les nouveaux venus sont intégrés parmi le cercle des dirigeants. Laurence Rossignol, quitte le syndicalisme étudiant en 1983.

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Paix et sincérité à tous !

Eveil-delaconscience

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