Marie Antoinette et Le complot Maçonnique

Certaines personnes se prennent pour des défenseurs de l’humanité, pourtant il en est tout autreEt s’il faisait partie d’une société ( qui a pour but de faire, détruire et refaire) que dirait la population à ce sujet ? Il faut le savoir, les initiés ( personnes qui connaissent les événements passé comme présent – les illuminés ) ont toujours voulût avoir la mainmise sur tous les fronts. Pourquoi personne n’est au courant ? Est-ce un secret ? Marie Antoinette et le complot Maçonniques.

Pour comprendre les évènements suivants , un PDF dont un Documentaire ( en bas de page seront a voir, lire. )

L’expression théorie du complot,

également désignée, de façon plus récente, par les néologismes conspirationnisme ou théorie conspirationniste, désigne une interprétation spéculative d’événements suivant un plan concerté et orchestré secrètement par un groupe, généralement considéré comme malveillant par les tenants de ces théories.

La conspiration secrète civile, criminelle ou politique, visée par la théorie du complot, agirait généralement dans l’objectif de détenir ou conserver une forme absolue de pouvoir (politique, économique ou religieux).

Du point de vue majoritaire des observateurs en sciences sociales, la théorie du complot tend à se soustraire à la réfutation, toute démonstration contraire pouvant être interprétée comme un faux réalisé par les conspirateurs, et discrédite donc les explications dites officielles, établies par les pouvoirs publics et relayées par les grands médias d’information.

Pour certains philosophes et sociologues, c’est un concept aux limites floues, dont l’usage abusif viserait parfois à déconsidérer une thèse.

Marie-Antoinette

Josèphe Jeanne de Habsbourg-Lorraine (en allemand, Maria Antonia Josepha Johanna von Habsburg-Lothringen), archiduchesse d’Autriche, princesse impériale, princesse royale de Hongrie et de Bohême, (née le 2 novembre 1755 à Vienne – morte le 16 octobre 1793 à Paris), fut la dernière reine de France et de Navarre (1774–1792), épouse de Louis XVI, roi de France et de Navarre.

Fille de l’empereur François Ier du Saint-Empire, et de Marie-Thérèse d’Autriche, reine de Hongrie et de Bohême, était par son père, arrière-petite-fille de Philippe, duc d’Orléans, frère de Louis XIV, donc une lointaine descendante des rois de France Henri IV et Louis XIII.

Le roi Louis XV meurt le 10 mai 1774 et Marie-Antoinette devient reine de France et de Navarre à 18 ans. Toujours sans héritier à offrir à la France et toujours considérée comme une étrangère même par la famille royale qu’elle n’aime pas (en fait le mariage entre elle et Louis XVI met sept ans à être consommé), la reine devient, dès l’été 1777, la cible de premières chansons hostiles qui circulent de Paris jusqu’à Versailles.

Une véritable coterie se monte contre elle dès son accession au trône, des pamphlets circulent, d’abord de courts textes pornographiques puis des libelles orduriers.

Ses déboires conjugaux étant publics, on l’accuse d’avoir des amants (le comte d’Artois son beau-frère, le comte suédois Hans Axel de Fersen) ou même des maîtresses (la duchesse de Polignac, la princesse de Lamballe), de dilapider l’argent public en frivolités (robes de Rose Bertin, parfums de Jean-Louis Fargeon) ou pour ses favoris, de faire le jeu de l’Autriche, désormais dirigée par son frère Joseph II.

Elle y est clouée au pilori comme une nymphomane perverse et insatiable et bien vite la certitude de son insatiable érotisme se répand. Elle est décrite comme une « prostituée babylonienne », une « infâme tribade » ayant l’habitude, à Trianon, d’épuiser quotidiennement plusieurs hommes et plusieurs femmes pour satisfaire sa « diabolique lubricité ».

De plus, le couple royal n’arrive pas à procréer, ce qui alimente les rumeurs sur l’impuissance de Louis XVI ou la stérilité de Marie-Antoinette. Le premier se révèle en fait inexpérimenté et intimidé par sa femme avec qui il ne s’entend pas. Cette dernière, peu attirée par son époux, se montre réticente à accomplir le devoir conjugal.

Sa mère Marie-Thérèse, craignant pour la survie de l’Alliance franco-autrichienne et que sa fille puisse être répudiée, envoie son fils aîné Joseph le 19 avril 1777 à la Cour de France afin d’analyser au mieux la situation du couple. Un an plus tard, le couple donne naissance à leur première fille, Marie-Thérèse-Charlotte mais cette naissance tant attendue apparaît suspecte et fait naître la rumeur de bâtardise de l’enfant, la paternité de la princesse étant attribuée au Comte d’Artois ou au duc de Coigny.

La reine en 1775 à 20 ans

L’exécution

Marie-Antoinette conduite à l’échafaud, croquis attribué à Jacques-Louis David.Marie Antoinette et Le complot Maconnique - Exécution de Marie-Antoinette à la Place de la Révolution, le 16 octobre 1793. (Anonyme. Musée Carnavalet).

Jeton dénonçant la mort de la reine le 16 octobre 1793

Exécution de Marie-Antoinette à la Place de la Révolution, le 16 octobre 1793. (Anonyme. Musée Carnavalet).

Marie-Antoinette est exécutée le même jour à midi et quart. Le matin du 16 octobre, Marie-Antoinette est menée, mains entravées et sur une charrette – alors que Louis XVI avait eu droit à un carrosse –, de la Conciergerie, jusqu’à la place de la Révolution (ancienne place Louis-XV, actuelle place de la Concorde).

D’après certains historiens, elle subit avec dignité les sarcasmes et les insultes lancés par la foule massée sur son passage (elle mettra une heure pour traverser la place et monter à l’échafaud). Le peintre et révolutionnaire Jacques-Louis David, observant le cortège depuis la rue Saint-Honoré, en dessine un croquis resté légendaire. Selon ces mêmes historiens, c’est avec courage qu’elle monte à l’échafaud. En marchant sur le pied du bourreau Sanson, elle lui aurait demandé pardon. Ce seront ses dernières paroles.

Selon une légende, ses cheveux auraient entièrement blanchi (phénomène connu sous le nom de « syndrome de Marie-Antoinette ») les jours suivant son retour de Varennes35.

Le jour de son exécution, la reine aurait trébuché et perdu un escarpin, récupéré par un fidèle et conservé actuellement au musée des Beaux-Arts de Caen. Cette chaussure a fait l’objet d’une exposition en 1989.

Marie Antoinette et le complot Maçonniques :

Au XVIIIe siècle,

la Foi catholique et la France furent ensemble comme incarnées dans un être représentatif au plus haut degré : fille des Césars catholiques d’Autriche et femme du Roi Très-Chrétien, Marie-Antoinette eut ce douloureux honneur.

Elle l’a porté au comble par son martyre sur l’échafaud. Et vingt ans auparavant, elle était l’idole de la France ! Qui avait changé l’âme des Français ? Qui avait transformé les Français catholiques en blasphémateurs et sacrilèges ?

les Français amoureusement fidèles à leur dynastie séculaire en régicides ? Le but de ce livre est de montrer que l’agent de ces œuvres de mort fut la Franc-maçonnerie. Lors de l’avènement de Louis XVI et de Marie-Antoinette, le peuple de France idolâtrait ses jeunes souverains.

La Reine surtout avait touché son coeur. Le 11 septembre 1774, Mercy-Argenteau, ambassadeur d’Autriche, écrivait à l’impératrice Marie-Thérèse, mère de Marie-Antoinette, une lettre où nous lisons : Il n’y a pas eu, dans la conduite de la Reine, la moindre nuance qui n’ait porté l’empreinte de l’âme la plus vertueuse… Personne n’est plus convaincu de cette vérité que le Roi…

Les grandes et vraiment rares qualités de la Reine ne sont pas moins connues du public ; elle en est adorée avec un enthousiasme qui ne s’est jamais démenti. (Lettre de Mercy-Argenteau à Marie-Thérèse, le 11 septembre 1774. – Correspondance secrète…

publiée par A. d’Arneth et A. Geffroy, Paris, 1874, t. II, p. 232.) Le 8 juin 1773 avait eu lieu l’entrée solennelle de Louis XVI, encore dauphin, dans la ville de Paris, avec la Dauphine. L’enthousiasme de la foule allait au délire. Les maisons étaient en fleurs, les chapeaux volaient dans les airs. Des acclamations ininterrompues :

« Vive Monseigneur le Dauphin ! Vive Madame la Dauphine ! » se répétaient en mille échos. « Madame, disait le duc de Brissac, vous avez là deux cent mille amoureux ». Marie-Antoinette voulut descendre dans les jardins, se mêler directement à la foule, remercier de plus près, serrer les mains qui se tendaient à elle.

Et elle écrit à sa mère une lettre où bat son coeur « … Ce qui m’a touchée le plus, c’est la tendresse et l’empressement de ce pauvre peuple qui, malgré les impôts dont il est accablé, était transporté de joie de nous voir…

Au retour, nous sommes monté sur une terrasse découverte. Je ne puis vous dire, ma chère maman, les transports de joie, d’affection, qu’on nous a témoignés dans ce moment… » (M. FUNCKBRENTANO, L’Affaire dit Collier, 6e édit., pp. 51, 52.).

Vingt ans après, en 1793, ce n’est plus d’amour mais de haine que la France parait enivrée. Avant d’être menée à l’échafaud dans la charrette, « cette bière des vivants », la Reine écrivit à Mme Élisabeth, sa belle-sœur, une lettre aussi admirable que navrante.

En voici le début : Ce 16 octobre, à quatre heures et demie du matin, C’est à vous, ma sœur, que j’écris pour la dernière fois. Je viens d’être condamnée, non à une mort honteuse, elle ne l’est que pour les criminels, mais à aller rejoindre votre frère.

Comme lui innocente, j’espère montrer la même fermeté que lui dans ses derniers moments. Je suis calme, comme on l’est quand la conscience ne reproche rien. J’ai un profond regret d’abandonner mes pauvres enfants…

Auteur : Daste Louis

PDF :  Daste_Louis_-_Marie-Antoinette_et_le_Complot_Maconnique

Marie_Antoinette -

Pin It on Pinterest

Shares
Share This
%d blogueurs aiment cette page :