Qui demande l’exigence de cette demande : avoir des gens qui ne savent même plus ce qu’ils sont ? Les médias avec leurs propagandes, les entreprises qui cherchent à vendre leurs produits afin de faire de vous ce que vous souhaitez être ? les francs maçons qui veulent vous diviser de la réalité ?

Choisir c’est faire le choix. Vouloir changer, c’est ne plus accepté ce que l’on est au fond de nous. C’est psychologique et préconçue selon un ordre d’idées reçus; n’importe qu’elle psychologue vous le dira : si l’on vous fait croire que c’est bien pour vous, pourquoi ne pas le faire ? Ceci dépens surtout de comment notre reflet ( notre façon de voir le monde ) se projette dans ce bas monde vis-à-vis de ce que les autres peuvent faire et/ ou nous démontré : Le miroir de notre monde ( les personnes, le postulat ) doit se coordonner avec la réalité et ne doit pas nous faire vivre dans l’illusion.

Pour éveiller notre conscience nous ne devons en aucun transformer notre corps et paraître, sinon nous sommes plus ce que nous sommes à la base : Nous modifions ce que la nature nous a apporté, permis,  ou permettra de devenir à un moment donné : un être humain accomplit doté d’un cerveau qui progresse et qui est capable d’avoir du discernement.

Quand vous avez des personnes mondialement connu qui font l’apologie du Transgendérisme comme Counchita wurts ( Mr Thomas Neuwirth ) avec Lagarfield, des mannequins ou l’on en peut même plus reconnaitre si c’est un homme ou une femme (IL OU ELLE ?? ), que penserons nos enfants dans un monde future ? Que tout ceci est normale . Je rajouterais qu’une chose :

« Ce n’est pas parce que tous le monde fait la même chose que c’est la bonne chose à faire. »

Définition du Transgendérisme :

Le transgendérisme est un terme qui englobe tout le spectre des personnes qui ont une identité de genre différent à la norme, allant du travesti au transsexuel.

Le terme est aussi parfois utilisé pour signifier une option entre travesti et transsexuel.

Le concept est également profondément enraciné dans l’antique tradition de l’androgynie.Le transgendérisme est devenu un lieu de conscience entre les travesti(e)s et les transsexuel(le)s qui se sentaient inutilement désunis au sein de leur propre subculture.

Ces dernières années il a été inclus dans l’acronyme LGBT – auparavant LGB (lesbiennes, gays, bisexuel(le)s) – pour montrer un nouveau aspect politique en ce qui concerne la revendication des droits pour, et la prise en compte de ce groupe qui est encore souvent mal compris par le grand public.

Beaucoup de gens confondent le sexe avec le genre. Le sexe est d’ordre biologique alors que le genre est d’ordre psychosocial. Donc, si la biologie ne dicte pas réellement le genre ou la personnalité, la dichotomie faite entre masculin et féminin n’est que le moyen de comprimer ou de restreindre toutes les variétés potentielles de la manière d’être humain.

On désigne, comme travesti(e)s (ne pas oublier les drag kings et autres FtM) des personnes qui se considèrent comme « hommes » (ou comme femmes) tout en pratiquant plus ou moins intensément le crossdressing. Les travestis masculins ont été stigmatisés et assimilés à des hommes anormaux, non intégrés ou même des fétichistes pervers. Les travesties sont elles demeurées presque invisibles pendant des siècles. Ce n’est que récemment que l’existence des drag kings leur a donné un peu de visibilité.

Surtout en début de parcours, il arrive souvent que des personnes transsexuelles mettent de côté leur côté féminin (pour les transsexuels) ou leur côté masculin (pour les transsexuelles), ce qui peut donner l’image d’un comportement stéréotypé.

Cette tendance est d’autant plus forte que ces personnes doivent faire face à des psychiatres peu respectueux qui exigent d’elles ces mêmes comportements stéréotypés. Par ailleurs, ces comportements sont assez semblables à ceux que l’on observe chez les adolescents, à un moment de leur vie d’intense exploration.

De même que les adolescents passent à l’âge adulte, une fois la transition achevée, une fois que la personne ne peut plus être mise en danger par les psychiatres, au moment où elle trouve sa place dans la société, il est fréquent qu’elle intègre ses diverses potentialités sans plus se demander si elles sont masculines ou féminines.

Une femme célèbre ayant eu un passé transsexuel fait du motocross, d’autres font du tir ou des arts martiaux, certains hommes ayant un passé transsexuel ne dédaignent pas le repassage, etc.. Cette évolution est d’autant plus rapide et facile que la personne a une bonne sécurité intérieure.

Certains personnes transgenres ont une forme d’identité qui leur est propre, en ce sens que nombre d’entre elles s’identifient à la fois comme hommes et comme femmes. Une opération de réattribution de sexe n’aurait, de ce fait, pas de sens à leurs yeux car elle ne résoudrait rien. Leur transition est aussi spécifique en ce sens qu’elle mêle intimement les multiples aspects de leur identité sexuelle.

Le terme transgenre est parfois utilisé dans un sens large – pour inclure toute personne d’identité de genre non conventionnelle – parfois dans un sens restreint pour signifier une personne vivant, à plein temps, dans le rôle d’une personne du sexe biologique opposé, mais ne pas souhaitant se faire opérer ou de prendre des hormones – c’est-à-dire, se situant sur la gamme des identités de genre, quelque part entre un travesti (qui typiquement ne se travestit pas à plein temps) et un transsexuel.

L’androgynie n’est pas un concept nouveau, mais a récemment resurgi dans notre conscience collective en tant qu’idée véhiculant un énorme potentiel de développement individuel et social.

Elle a été appelée la « 11e méga-tendance ». Les personnes qui veulent souligner le fait qu’elles ne se considèrent ni tout à fait masculines ni tout à fait féminines (ou bien qu’elles se considèrent comme les deux à la fois, ou parfois plus l’un, parfois plus l’autre) peuvent se qualifier d’androgyne, ou bien d’intergenre.

Les gens qui veulent insister sur le fait que parfois ils se sentent masculins, parfois féminins (peut-être, en partie, selon l’apparence qu’ils ont choisi de se donner à un moment donné, ou le contexte social où ils se trouvent) s’appellent parfois bigenre.

Personnalité :

Geena Rocero

Geena Rocero est mannequin depuis ses 15 ans et a changé de sexe à l’âge de 19. En 2014, elle fait son coming-out pour s’affirmer publiquement en tant que transgenre, une déclaration fortement saluée. Pour soutenir les transgenres à travers le monde elle a créé sa propre fondation : Gender Proud.

Le premier officier transgenre de l’armée britannique

Hannah Winterbourne, une femme transsexuelle s’est mariée vendredi dernier à Londres, avec l’acteur Jake Graf, lui aussi transgenre. Célèbre au Royaume-Uni, le couple avait déjà annoncé leur mariage l’année dernière. Ils veulent désormais fonder une famille, même s’ils sont conscients des difficultés que cela comporte.

Hannah Winterbourne, officier britannique de 30 ans, a décidé de devenir une femme en 2013. C’est à son retour d’une mission en Afghanistan, à l’âge de 25 ans, qu’il a décidé de changer de sexe. Elle est ainsi devenue le premier officier transgenre de l’armée britannique.

Jake Graf, 40 ans, est un réalisateur et scénariste anglais engagé qui se bat au quotidien pour la visibilité des LGBT dans les médias, les séries et au cinéma. Il a pris la décision de changer de sexe il y a 11 ans. À travers ses films, il essaye de donner une autre image des homos et des personnes trans. Il est notamment connu pour son rôle dans le film The Danish Girl, au côté de l’acteur Eddie Redmayne.

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