Vendredi 5 décembre était fêté le premier anniversaire de la mort de Nelson Mandela, père de la nation « Arc-en-ciel », une journée où les propagandistes ont eu du pain sur la planche.

Nos amis des merdias, avec près de 250 articles, se sont tués à la tâche… pourquoi ? Qu’est-ce qui peut bien pousser les journalopes à plébisciter quelqu’un, et ce à l’unisson ? Roger la Mouche, imbattable quand il s’agit de repérer les informations nauséabondes, nous invite à faire quelques petites recherches.

2_Nelson mandela

Quand on tape Nelson Mandela sur Google et qu’on filtre pour n’obtenir que des images, on tombe sur les photos d’un homme souriant d’origine africaine aux cheveux poivre et sel, et d’où émane une espèce de bienveillance, une aura quasi mystique concordant parfaitement avec les propos des journalopes. Ainsi Le Monde rapporte qu’on l’a comparé, et on l’identifiera plus encore maintenant qu’il est mort, au Mahatma Gandhi, au dalaï lama, à Martin Luther King… Selon RFI, il a passé sa vie entière à la lutter contre le régime de l’apartheid en Afrique du Sud. Mais ce torrent d’éloges à faire vomir doit nous mettre la puce à l’oreille, pour nous signifier qu’en réalité, ce bonhomme ne peut pas être blanc comme neige.

Suite à une dénonciation apparue à première vue comme calomnieuse, nous fûmes invités à associer le nom de Mandela au vocable « franc-maçonnerie ». Et voilà ce que l’on découvre :

3_Nelson mandela.

Stupéfaction ! Le chantre de la paix raciale se déguiserait-il en membre du Klu Klux Klan ?

Heureusement non, il ne s’agit pas d’une tenue du KKK, mais d’une toge porté par les membres de l’Ordre des Chevaliers de Malte, ce qui n’en est pas moins grave.

Les membres de cet ordre, fondé au Moyen-Âge et encore actif aujourd’hui, se présentent comme des chrétiens militaires et religieux, et ne sont en fait qu’une des nombreuses société secrètes qui compose la franc-maçonnerie. Les Chevaliers de Malte ont commencé leurs opérations en tant que milice chrétienne, dont la mission première était de défendre la terre conquise par les Croisés.

Franc-Macon LA PIRAMYDE

L’Ordre des Chevaliers de Malte se trouvent à la 12e position sur 13 du Rite d’York, l’un des rites maçonniques les plus pratiqués aux États-Unis et dans le monde anglo-saxon. Un niveau difficile à atteindre et qui compterait dans ses rangs environ 10 000 individus ayant la particularité de se démarquer du reste de la société, pour le bien mais aussi pour le pire.

C’est ainsi que William Casey, chevalier de Malte et ex-directeur de la CIA (Central Intelligence Agency) de 1981 à 1987, fut englouti par le scandale de la vente d’armes aux Contras. En effet, ces transactions avec un mouvement contre-révolutionnaire nicaraguayen de lutte armée, interdites par le Congrès américain, furent couvertes par cet éminent responsable de la Sécurité de la Nation américaine. Une bourde tactique payée par Ronald Reagan, alors président des États-Unis, qui avait honteusement menti au peuple américain.

Ce petit exemple doit malheureusement se répéter quand on voit le nom des titulaires de ce grade :

  • La reine Élisabeth II du Royaume-Uni

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  • Amschel Mayer von Rothschild

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  • L’ex-reine Béatrix des Pays-Bas

6_Nelson mandela - bretarice-dhollande

    • Silvio Berlusconi, magnat italien des médias
    • Michael Bloomberg, milliardaire et maire de New York de 2002 à 2013
    • Georges Bush père et les fils W et Jeb, membres également des Skulls and Bones
  • Juan Carlos, ex-roi d’Espagne
  • Bill Clinton, ex-président des États-Unis et membre de la loge para-maçonnique de l’Ordre de DeMolay
  • Valéry Giscard d’Estaing
  • Joseph Edward Schmitz, patron de Blackwater Worldwide, une société militaire privée américaine, renommée Xe en février 2009, puis Academi en décembre 2011 ;
  • Nelson et David Rockefeller, membres de la Commission trilatérale
  • Rupert Murdoch, milliardaire et magnat de la presse
  • Henry Kissinger, politique et diplomate américain, juif allemand de naissance. Membre important de la Commission trilatérale
  • Oliver North, lieutenant-colonel américain impliqué dans le scandale des Contras

Une liste malheureusement longue, disponible sur le site de résistance italienne Ecplanet.com.

Nelson Mandela avec ses 27 années de « prison » est-il une icône de la lutte anti-raciste ? Ou bien le fait d’avoir posé en tenue de Chevalier de Malte en compagnie de Frederik Willem de Klerk, président en fonction au moment de la libération du prisonnier Mandela, sans oublier les efforts et le temps qu’il faut pour accéder à ce grade dans le rite d’York, révelent-ils une autre réalité ?

À vous de juger !

Source : 

Source : Le Point.fr

http://quenelplus.com/quenel-actu/deja-un-an-que-nelson-mandela-est-mort.html

Nelson Rolihlahla Mandela ;

dont le nom du clan tribal est « Madiba », né le 18 juillet 1918 à Mvezo (province du Cap) et mort le 5 décembre 2013 à Johannesburg (Gauteng), est un homme d’État sud-africain ; il a été l’un des dirigeants historiques de la lutte contre le système politique institutionnel de ségrégation raciale (apartheid) avant de devenir président de la République d’Afrique du Sud de 1994 à 1999, à la suite des premières élections nationales non raciales de l’histoire du pays.

Nelson Mandela entre au Congrès national africain (ANC) en 1943, afin de lutter contre la domination politique de la minorité blanche et la ségrégation raciale menée par celle-ci.

Devenu avocat, il participe à la lutte non-violente contre les lois de l’Apartheid, mises en place par le gouvernement du Parti national à partir de 1948. L’ANC est interdit en 1960, et la lutte pacifique ne donnant pas de résultats tangibles, Mandela fonde et dirige la branche militaire de l’ANC, Umkhonto we Sizwe, en 1961, qui mène une campagne de sabotage et des actions terroristes contre des installations publiques et militaires.

Le  août 1962, il est arrêté par la police sud-africaine sur indication de la CIA, puis est condamné à la prison et aux travaux forcés à perpétuité lors du procès de Rivonia. Dès lors, il devient un symbole de la lutte pour l’égalité raciale et bénéficie d’un soutien international croissant.

Après vingt-sept années d’emprisonnement dans des conditions souvent très dures, et après avoir refusé d’être libéré pour rester en cohérence avec ses convictions, Mandela est relâché le 11 février 1990. S’inspirant alors de la pensée ubuntu dans laquelle il a été élevé, il soutient la réconciliation et la négociation avec le gouvernement du président Frederik de Klerk. En 1993, il reçoit avec ce dernier le prix Nobel de la paix pour avoir conjointement et pacifiquement mis fin au régime de l’apartheid et jeté les bases d’une nouvelle Afrique du Sud démocratique.

Après une transition difficile où de Klerk et lui évitent une guerre civile entre les partisans de l’apartheid, ceux de l’ANC et ceux de l’Inkhata à dominante zoulou, Nelson Mandela devient le premier président noir d’Afrique du Sud en 1994.

Il mène une politique de réconciliation nationale entre Noirs et Blancs ; il lutte contre les inégalités économiques, mais néglige le combat contre le sida, en pleine expansion en Afrique du Sud. Après un unique mandat, il se retire de la vie politique active, mais continue à soutenir publiquement le Congrès national africain tout en condamnant ses dérives.

Impliqué par la suite dans plusieurs associations de lutte contre la pauvreté ou le sida, élevé au rang de patrimoine commun de l’humanité, il demeure une personnalité mondialement écoutée au sujet des droits de l’homme et est salué comme le père d’une Afrique du Sud multiraciale et pleinement démocratique, qualifiée de « nation arc-en-ciel », même si le pays reste confronté à de graves problèmes d’inégalités économiques, de tensions sociales et de replis communautaires.

Vidéo :

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