Vous buvez du lait, mangez du fromage, des yaourts ?
Voici comment sont traitées les vaches, toute une vie d’esclave : emprisonnées, violées, inséminées de force, vidées de leur lait, leurs enfants arrachés dès la naissance,… et pour terminer égorgées …
Ce sont des scientifiques chinois de l’Université d’Agriculture qui sont à l’origine de cette lubie innovation. Ce lait semblerait présenter les mêmes caractéristiques que le lait maternel, notamment les mêmes qualités anti-bactériennes.
Pour ce faire, ils ont introduit des gènes humaines dans l’embryon des vaches GM, c’est d’ailleurs ce même procédé qui a été utilisé pour mettre au monde Dolly .
Toujours selon ce même article, il semblerait qu’il ne manque plus que la validation du gouvernement avant qu’il ne se retrouve dans les rayons. On peut alors se demander ce que ce lait génétiquement modifié apporterait de plus…
En plus du lait produit, ces mêmes vaches seraient plus résistantes aux maladies et produiraient une viande de meilleure qualité (sic).
Le directeur de recherche, Li Ning appuie sa démarche en soulevant la problématique de la faim dans le monde (reste à savoir si ce lait GM aux caractéristiques similaires au lait humain aidera dans ce sens…).
J’ai cru comprendre qu’en Chine, il y a moins de réticence qu’en Europe quand il s’agit de la production et de la distribution de nourriture génétiquement modifiée, ce qui explique aussi l’abondance de recherches dans ce domaine en Chine .
À l’heure où les OGM font scandale en France, des chercheurs néo-zélandais sont allés encore plus loin dans les manipulations génétiques.
Ces derniers ont mis au point le premier lait hypoallergénique au monde en modifiant l’ADN d’une vache.
Ils ont cherché à obtenir un lait sans beta-lactoglobuline (BLG), une protéine absente du lait maternel humain, pouvant provoquer des réactions allergiques (digestive, respiratoire ou cutanée) chez les bébés.
« 2 à 3 % des nourrissons sont allergiques au lait de vache », écrivent les chercheurs dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences .
« Les allergies à la protéine BLG constituent la majeure partie de ce pourcentage ». Pour obtenir ce résultat, ils ont eu recours à la même technique utilisée pour Dolly la célèbre brebis : le clonage à partir d’un noyau de cellule.
D’autres protéines à éradiquer
Ce dernier a été modifié de manière à produire des molécules qui bloquent toute formation de beta-lactoglobuline. Puis il a été réimplanté dans un ovule, dont on avait déjà retiré le noyau originel, à son tour implanté dans une « vache porteuse ».
Résultat :
sur une centaine d’ovules modifiés implantés, « Daisy » la vache est née sans queue mais avec la capacité de produire un lait exempt de cette protéine la plus allergisante, et donc consommable pour des milliers d’enfants.Si certains de ces chercheurs parlent déjà d’une « découverte capitale », le chemin est long avant de parler d’un lait totalement hypoallergénique : d’autres protéines présentes comme la caséine ou l’alpha-lactalbumine sont également source d’allergies.
De plus, ce produit transgénique ne sera pas commercialisé en France avant longtemps car la législation européenne interdit la vente de produits issus d’animaux clonés.
D’après un expert en biotechnologies, des produits laitiers génétiquement modifiés similaires au lait humain apparaitront sur le marché chinois d’ici deux ans.Li Ning, un scientifique de l’Académie Chinoise d’Ingénierie et qui est aussi Directeur des Laboratoires Clés d’Etat pour l’Agro-biotechnologie à l’Université Agricole de Chine, a dit que les progrès dans ce domaine sont bien avancés.D’après M. Li, des scientifiques chinois ont créé un troupeau de plus de 200 vaches capables de produire du lait possédant les caractéristiques du lait humain.Il a précisé que cette technologie était à la pointe dans le monde et qu’elle permettrait d’assurer que « les protéines saines contenues dans le lait humain soient accessibles aux consommateurs ordinaires ».Des photos montrant ces vaches génétiquement modifiées ont été présentées lors d’une exposition, qui s’est tenue entre le 7 et le 14 mars à Beijing, montrant les réalisations technologiques majeures de la Chine pendant le 11e Plan Quinquennal (2006-2011).
« Dans la Chine ancienne, seuls l’empereur et l’impératrice pouvaient boire du lait humain tout au long de leur vie, ce qui était considéré comme le sommet de l’opulence », a dit M. Li. « Pourquoi ne pas faire en sorte que ce genre de lait soit disponible pour les gens ordinaires ».Le lait humain contient deux sortes de nutriments qui peuvent permettre d’améliorer le système immunitaire et le système nerveux central des enfants. Mais ces éléments ne se trouvent pas dans le lait produit par les chèvres et les vaches.M. Li a précisé qu’auparavant, le monde scientifique n’avait pas trouvé la manière de produire ces nutriments en masse. Le lait génétiquement modifié sera aussi sûr à boire que celui des vaches ordinaires, a t-il ajouté.Le Ministère de l’Agriculture a émis des certificats d’examen de bio-sécurité pour le troupeau génétiquement modifié en mars 2010, donnant à l’équipe scientifique une période de 22 mois pendant laquelle la technologie pourra être testée en laboratoire.
Le Ministère évaluera ensuite les résultats des tests avant de décider d’autoriser ou non le lait à la vente.« Ce lait a un goût plus prononcé que le lait normal », a dit M. Li. « Dans les dix ans qui viennent, les gens pourront acheter ces produits semblables au lait humain dans les supermarchés ».Xue Dayuan, expert en chef au Ministère de la Protection de l’Environnement, a dit que le Gouvernement mènerait une série de tests sur le gène transféré et sur la méthode de transplantation avant que les vaches génétiquement modifiées et leur lait ne soient déclarés sûrs.D’après Fang Lifeng, activiste pour le projet nourriture et agriculture chez Greenpeace Chine, il y a déjà eu une certaine opposition à la technologie des organismes génétiquement modifiés aux Etats-Unis et au Canada.
Des chercheurs argentins ont greffé deux gènes de femme à une vache pour que l’animal produise des enzymes spécifiques au lait maternel humain. Une avancée prometteuse qui suscite toutefois quelques réserves.Sur les photos, Rosita ISA ressemble à une jolie génisse, dotée du pelage fauve caractéristique de sa race, les «Jersey». Dans les faits, elle est une prouesse scientifique. Pour la première fois, des scientifiques ont réussi à modifier le génome d’une vache pour lui ajouter deux gènes humains contrôlant la production d’enzymes dans le lait.Cette innovation a été réalisée en Argentine, par des chercheurs de l’Institut national de technologie agricole et de l’université de San Martin. Rosita, qui résulte d’un clonage, est née le 6 avril.
Depuis, elle est surveillée 24 heures sur 24.Dans dix mois, les chercheurs devraient, en effectuant une simulation de grossesse, confirmer si les protéines humaines la lactoferrine et le lysozyme – sont bien présentes dans son lait.A l’âge adulte, Rosita devrait donner naissance à «des petits qui auront des gènes modifiés dans 25 à 30% des cas», puisque les gènes ne sont pas systématiquement transmis à la descendance, estime Nicolas Mucci, l’un des trois responsables des recherches. Soit autant d’animaux capables de produire ce lait amélioré.La lactoferrine existe chez tous les mammifères et permet d’améliorer l’absorption de fer pour la fabrication des globules rouges. Mais elle est spécifique à chaque espèce et la lactoferrine bovine n’agit pas sur les humains.
Le lysozyme est un agent anti-infectieux que l’on trouve peu dans le lait de vache, mais qui est très présent dans le lait maternel pendant la première semaine de lactation.Nicolas Mucci affirme que le lait ainsi produit changera la donne pour les bébés en les «protégeant contre des maladies et en améliorant l’absorption de fer».
Pas consommable par les nourrissons :
Le Pr Patrick Tounian, secrétaire général de la Société française de pédiatrie (SFP), met toutefois en garde contre les raccourcis séduisants.«Il s’agit d’une première étape très intéressante, mais le lait produit par cette vache est encore loin d’être du lait maternel», souligne-t-il.«Pour y parvenir, il faudrait transférer à la vache l’ensemble du génome régissant la production de lait chez la femme», soit bien plus de deux gènes,à considérer que cela soit possible.
«Ce lait reste donc impropre à la consommation des nourrissons, qui ne tolèrent que le vrai lait maternel et les laits maternisés, dont la composition est strictement réglementée», rappelle encore le pédiatre-nutritionniste.Selon lui, le principal attrait du lait de Rosita tient à son enrichissement en lactoferrine.
Cette enzyme améliore l’absorption par l’organisme du fer contenu dans le lait de vache, ordinairement mal assimilé.«La SFP recommande de donner aux enfants de 1 à 3 ans du lait de croissance,enrichi en acides gras essentiels, vitamines et minéraux.Mais dans un cas sur deux, les parents ne respectent pas ce conseil et donnent directement à leur enfant du lait de vache.Pour ceux-là, un lait enrichi en lactoferrine serait effectivement préférable à du lait ordinaire». Ce lait pourrait également être bénéfique aux adultes et adolescents qui consomment peu ou pas de viande.En mars, des chercheurs chinois avaient déjà annoncé avoir créé un troupeau de 200 vaches capables de produire du lait enrichi de trois enzymes humaines le lysozyme, la lactoferrine et l’alpha-lactalbumine grâce à une technique différente de celle utilisée par les Argentins.Les informations sont restées assez floues,mais le scientifique à la tête du projet, Li Ning, prévoyait une mise sur le marché d’ici une dizaine d’années.
Beaucoup de nourrissons sont allergiques au lait à cause d’une bactérie qui y réside.Pour lutter contre ce problème, des généticiens ont décidé de modifier l’ADN d’une vache pour qu’elle puisse produire du lait hypoallergénique…Une équipe de généticiens, en Nouvelle-Zélande, a annoncé dans une étude qu’ils avaient conçu un veau capable de produire du lait hypoallergénique que les nourrissons pourraient boire sans risque d’allergie.Pour cela, ils ont génétiquement modifié l’ADN d’une vache en injectant un codage du nouvel ADN dans le noyau cellulaire.Il a ensuite été transféré dans la cellule d’un ovule de vache qui a été fécondé et implanté dans une autre vache.
60 embryons ont subi cette intervention pour voir la naissance d’un veau femelle nommé Daisy, qui ne produit pas de bêta-lactoglobuline dans son lait,la fameuse protéine qui provoque des allergies.Mais le pauvre veau doit subir les effets secondaires de cette modification génétique et est né sans queue…Pour étudier plus précisément les effets de la sélection génétique, il faudra attendre quelques années pour que le veau atteigne l’âge adulte.L’équipe de généticiens est encore très loin de pouvoir finaliser cette expérience et commercialiser ce lait hypoallergénique.Certaines vaches auront peut-être le temps de s’exiler d’ici là !
Des scientifiques chinois du laboratoire clé d’Etat d’Agro-biotechnologie de l’Université d’Agriculture de Chine sont parvenus à greffer des gènes humains sur 300 vaches laitières afin de leur faire produire un lait aux qualités proches du lait maternel. Le lait ainsi produit est riche en alpha-lactalbumine, lactoferrine et lysozyme. Ces protéines qui sont en quantité abondante dans le lait maternel, sont facilement absorbées par le corps humain et stimule le système immunitaire.
Cela permettra ainsi de renforcer les défenses immunitaires des nourrissons et de réduire les risques d’infection. Le Pr. Li, chercheur à l’origine de cette expérience, précise toutefois que ce lait,qui manque d’anticorps et d’une protéine particulière qui stimulerait l’intelligence des bébés via le système nerveux, ne doit ainsi pas être vu comme le parfait substitut.Les scientifiques ont utilisé la technologie de clonage pour introduire des gènes humains dans l’ADN des vaches laitières de race Holstein, avant d’implanter les embryons génétiquement modifiés dans les vaches porteuses.Ils ont également révélé lors d’une exposition à l’Université d’Agriculture de Chine, qu’ils avaient augmenté la teneur en matières grasses d’environ 20% et également modifié le niveau des éléments solides du lait, rendant sa composition plus proche de celle du lait maternel comme de ses fonctions immunitaires.
L’équipe du Prof. Ning Li a travaillé avec la société Beijing GenProtein Biotechnology.
Le lait issu du bétail sera une source bon marché de ces protéines rares,qui sont des éléments précieux reconnus par les industries pharmaceutiques, cosmétiques et alimentaires.Le Prof. Ning Li précise que la commercialisation des premiers travaux de recherche sur le lait se fera dans les trois ans à venir en Chine.Le Ministère de l’Agriculture chinois a donné son feu vert pour tester le lait issu de cette manipulation génétique.Le lait modifié a en effet passé avec succès les tests de sécurité du Centre chinois de prévention et contrôle des maladies, qui l’a décrété plus sain que le lait de vache conventionnel. Il faudra toutefois attendre au moins dix ans avant que le consommateurpuisque goûter ce lait de vache. Car, même si les chercheurs ont réussi à obtenir trois générations de vaches génétiquement modifiées, sa commercialisation nécessite un nombre bien plus conséquent de vaches.Le génie génétique est une technologie de plus en plus étudiée par les industries pharmaceutiques et biologiques. Il est maintenant largement utilisé à travers le monde pour produire en masse vaccins et médicaments, comme l’insuline.
La Chine est désormais leader dans le domaine des recherches sur les aliments génétiquement modifiés, ce qui peut s’expliquer, en partie,par des règles vis-à-vis de cette technologie plus souples en Chine qu’en Europe. Il est important de mentionner qu’au cours des expériences, qui ont permis la naissance de 42veaux transgéniques, seulement 26 ont survécu. Dix veaux sont morts peu de temps après la naissance, la plupart de maladies gastro-intestinales, et six autres sont morts au cours de leur premier semestre. Ce n’est pas sans alimenter les nombreuses et vives réactions que cette expérience a suscité à travers le monde.
Adieu au steak : Doc Arte :
Des scientifiques néozélandais ont modifié génétiquement une vache, afin de produire le premier lait hypoallergénique au monde. Les résultats, qui seront publiés dans la revue américaine Proceedings of the National Academy of Sciences, avaient, jusqu’à présent, été gardés secrets par l’institut AgResearch.
Moins de bêta-lactoglobuline
L’étude, menée par le Dr Goetz Laible, révèle qu’il est possible de produire un breuvage contenant moins de protéines de lait, connues pour être allergènes. « Nous avons réussi à réduire considérablement la quantité de bêta-lactoglobuline (BLG) -protéine du lactosérum– absent du lait maternel humain et pouvant provoquer des réactions allergiques » explique Stefan Wagner, l’un des principaux auteurs de l’expérience, au New Zealand Herald.
Pour en arriver à de tels résultats, les scientifiques ont d’abord testé le processus sur des souris génétiquement modifiées: sur ces dernières, la réduction de ladite protéine était notable de 96%. La seconde étape consistait à effectuer le même exercice sur une vache nommée Daisy.
2 à 3% des nourrissons allergiques
Dans le lait collecté sur Daisy, on n’a détecté aucune protéine BLG. D’ailleurs, il contenait deux fois plus de caséine. Une victoire pour les scientifiques puisque, selon eux, 2 à 3% des nourrissons sont allergiques au lait de vache. Toutefois, à l’hôpital d’Auckland, on se veut prudent face à cette découverte. Si la protéine BLG est la principale source d’allergie au lait de vache, ce n’est pas la seule: d’autres protéines, comme l’alpha-lactalbumine ou la caséine, en sont également responsables.
Des scientifiques néozélandais ont modifié génétiquement une vache, afin de produire le premier lait hypoallergénique au monde. Les résultats, qui seront publiés dans la revue américaine Proceedings of the National Academy of Sciences, avaient, jusqu’à présent, été gardés secrets par l’institut AgResearch.
Moins de bêta-lactoglobuline
L’étude, menée par le Dr Goetz Laible, révèle qu’il est possible de produire un breuvage contenant moins de protéines de lait, connues pour être allergènes. « Nous avons réussi à réduire considérablement la quantité de bêta-lactoglobuline (BLG) -protéine du lactosérum– absent du lait maternel humain et pouvant provoquer des réactions allergiques » explique Stefan Wagner, l’un des principaux auteurs de l’expérience, au New Zealand Herald.
Pour en arriver à de tels résultats, les scientifiques ont d’abord testé le processus sur des souris génétiquement modifiées: sur ces dernières, la réduction de ladite protéine était notable de 96%. La seconde étape consistait à effectuer le même exercice sur une vache nommée Daisy.
2 à 3% des nourrissons allergiques
Dans le lait collecté sur Daisy, on n’a détecté aucune protéine BLG. D’ailleurs, il contenait deux fois plus de caséine. Une victoire pour les scientifiques puisque, selon eux, 2 à 3% des nourrissons sont allergiques au lait de vache. Toutefois, à l’hôpital d’Auckland, on se veut prudent face à cette découverte. Si la protéine BLG est la principale source d’allergie au lait de vache, ce n’est pas la seule: d’autres protéines, comme l’alpha-lactalbumine ou la caséine, en sont également responsables.
jusqu’où ira la folie des Hommes ? Nouvelle abomination : la Vache a Hublot !
Une séquence est introduite comme cela : « âmes sensibles, s’abstenir ». L’industrie ‘agricole’ hollandaise parvient à faire produire à des vaches 100.000 litres de lait par an.
En s’assurant qu’elles digèrent bien et que le taux d’acidité est correct. En créant dans leur flanc un orifice (d’un diamètre de +10-15 cm) dans lequel on introduit une sonde. Cet orifice est cerclé de plastique ou je ne sais quoi, afin que j’imagine l’orifice ne se rebouche pas, pour avoir en permanence accès à son estomac ….Le rumen est le premier des quatre estomacs de la vache. Pour avoir accès plus facilement à l’intérieur de cet estomac, on a cousu ce dernier à la peau et on a ensuite refermé le tout avec un hublot en plastique. Dans les fermes expérimentales, ce hublot permet de passer le bras profondément dans l’animal afin de prélever des échantillons du bol alimentaire.
Détail sordide :
lorsque ce hublot est ouvert par temps froid, une vapeur s’en dégage qui monte jusqu’au plafond. Cette vision, accompagnée des chuintements causés par la digestion, donne au visiteur profane l’impression d’un mauvais rêve.
La pratique de la fistulation (ou canulation) ruminale est attestée en 1831 dans le cadre des expériences de Marie-Jean-Pierre Flourens sur les mécanismes de la rumination.
Dans un mémoire de l’Académie des Sciences, Flourens décrit la manière dont il a pratiqué des ouvertures dans chacun des quatre « estomacs » de plusieurs moutons en établissant ce qu’il appelle des « anus contre-nature ».
Par la suite, cette opération est pratiquée sur d’autres animaux, principalement des ruminants. Son objet principal est en effet de fournir un accès aisé au rumen pour permettre l’étude de sa physiologie et le prélèvement d’échantillons sans sacrifice de l’animal. La première attestation de l’utilisation de cette technique sur des bovins date de 1854.
La technique connaît plusieurs évolutions au cours de la première moitié du XXe siècle. En particulier, le choix des matériaux pour la conception de la canule (aluminum, chrome, ébonite, lucite, etc.) a fait l’objet de plusieurs travaux scientifiques.
Il semble qu’aucun dispositif mécanique n’ait été prévu pour l’obturation de la canule avant les travaux de A. F. Schalk et R. S. Amadon en 1928. Les systèmes d’obturation doivent permettre de limiter la perte de fluides et de gaz, et donc de réduire au minimum les interférences dans le fonctionnement normal du rumen.
Utilisation :
La pratique de la fistulation ruminale est répandue dans le monde entier du fait de sa simplicité de mise en œuvre, du très faible risque d’infection et de l’absence apparente de perturbation de l’animal.
La pose d’une canule permet, entre autres :
l’étude du transit et des flux digestifs via l’infusion de marqueurs indigestibles
l’analyse des produits terminaux de la digestion
l’isolement et la quantification des populations bactériennes du rumen7
En France :
En 2013, en France, les vaches à hublot sont principalement utilisées par l’INRA. On en trouve notamment à l’Unité de recherche sur les herbivores de Theix, sur la commune de Saint-Genès-Champanelle.
Dans les années 2000, ces recherches ont permis de mener des expériences visant à diminuer la production de gaz à effet de serre en réduisant la méthanogenèse bovine.
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L’Ordre des médecins épinglé pour de multiples dérapages
Le Canard Enchaîné a dévoilé mercredi un rapport provisoire de la Cour des comptes qui étrille le Conseil national de l’Ordre des médecins. Celui-ci «conteste avec force» certains points relevés par l’hebdomadaire.
Abus sexuels non sanctionnés, séjours grandioses financés par des laboratoires, «comptabilité insincère», «rémunérations déguisées»… Dans son édition de mercredi, Le Canard enchaîné dévoile un rapport provisoire de la Cour des comptes qui dénonce une série de dérapages de la part de l’Ordre des médecins.
Liens opaques entre médecins et laboratoires
Le rapport pointe aussi des «rémunérations déguisées» des membres du Conseil national de l’Ordre des médecins, qui auraient atteint, selon Le Canard enchaîné, jusqu’à 90.000 euros par an pour certains membres du Conseil. De son côté, le Conseil national affirme qu’il «reconnaît et revendique l’augmentation mécanique du montant des indemnités», signe «de l’activité renforcée du Conseil». Il affirme en outre avoir pris des mesures «pour rationaliser l’ensemble des processus d’indemnisation et de remboursement des frais», qui ont une «base juridique», affirme l’Ordre, contrairement à ce qu’affirme Le Canard.
Lisez mes publications comme vous lisez un livre. Ce qui est créé par les humains, existe dans votre réalité, ne peut se raconter en quelques mots.
NWO / NOM – Comprendre L’oligarchie instauré dans le monde
Les gens en Europe doivent comprendre qu'il y a une guerre qui devient mondial et qui est dirigé contre la population civiles. Tout ceci à pour but de diviser pour régner ( Ordo ab Chaos ) contre les populations d'Europe du proche Orient, d'Afrique et du monde entier en réalité et de le faire soumettre à un ordre mondial qui ne sert pas les intérêts de la majorité des gens sur cette planète mais qui sert bien les intérêts de gouvernement de l'élite.
Il n' y a pas de guerres contre le terrorisme,
il y a une guerre qui est menée en utilisant des proxys , des groupes terroristes par proxy, qui sont utilisés contre des États nations qui résiste a l'hégémonie américaine et israélienne. ( Et ) qui sont utilisés comme outil pour dissiper la population active en Europe dans un contexte de chômage de masse et d’austérité.
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L’Organisation des Nations unies ( ONU regroupant 120 pays )
est une organisation internationale regroupant, à quelques exceptions près, tous les États de la planète. Distincte des États qui la composent, l’organisation a pour finalité la paix internationale. Ses objectifs sont de faciliter la coopération dans le droit international, la sécurité internationale, le développement économique, le progrès social, les droits de l’homme et la réalisation à terme de la paix mondiale.
Financement : ( retenez Mr Rockefeller )
Le financement de l'Organisation des Nations unies et de ses agences spécialisées est assuré par les contributions obligatoires des pays membres et par des contributions volontaires de toutes organisations, entreprises ou encore particuliers. Il existe notamment une tradition américaine de fondations qui supportent l'activité des Nations unies. Le site du siège des Nations unies à New York, par exemple, est un don de la fondation John D. Rockefeller Jr., Ted Turner a fait un don de 1 milliard de dollars US en 1998 à une fondation[Laquelle ?] qui défend la cause des Nations unies, et notamment le paiement des arriérés du gouvernement américain.
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Un discret panneau signale la manoeuvre : « Zone d’expérimentation de vidéoprotection ». En dessous, les mêmes phrases s’af chent en anglais et en mandarin. Nous sommes gare de Lyon, à Paris, en décembre 2020. Noël approche. Plus d’une centaine de milliers de passagers s’y pressent chaque jour sous le regard de dizaines de caméras.
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